Chelle-Spou

Chelle-Spou est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin.

Chelle-Spou

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
Noël Abadie
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65143
Démographie
Gentilé Chespouais
Population
municipale
113 hab. (2019 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 15″ nord, 0° 14′ 35″ est
Altitude Min. 279 m
Max. 491 m
Superficie 4,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chelle-Spou
Géolocalisation sur la carte : France
Chelle-Spou
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Chelle-Spou
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Chelle-Spou

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arros, l'Arriou-Darré et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Chelle-Spou est une commune rurale qui compte 113 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 450 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. .

    Ses habitants sont appelés les Chespouais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Chelle-Spou se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 11 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à km de Tournay[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tournay[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Artiguemy (1,1 km), Gourgue (1,8 km), Ricaud (2,2 km), Cieutat (2,7 km), Poumarous (3,0 km), Lanespède (3,9 km), Mauvezin (4,1 km), Ozon (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Chelle-Spou fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Carte de la commune de Chelle-Spou et des proches communes.
    Communes limitrophes de Chelle-Spou[6]
    Ozon Ricaud
    Cieutat Gourgue
    Artiguemy

    Hydrographie

    L'Arros, affluent de rive droite de l’Adour, traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec les communes de Ricaud et Gourgue.
    Le ruisseau de l'Espierra affluent de rive gauche de l’Arros, traverse la commune d’ouest en est et forme une partie de la limite sud avec la commune d’Artiguemy.
    Le ruisseau de l’Arriou Darré, affluent de rive gauche de l’Arros, traverse la commune d’ouest en est au sud du hameau de Spou et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Cieutat.
    Le ruisseau de Gascorre, affluent de rive gauche de l’Arros, traverse la commune d’ouest en est et forme la limite nord avec la commune d’Ozon.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 065 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tournay », sur la commune de Tournay, mise en service en 1970[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 998,7 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 22 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[19] :

    • les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[20] ;
    • le « cours de l'Arros » (1 675 ha), couvrant 41 communes dont 20 dans le Gers et 21 dans les Hautes-Pyrénées[21] ;
    • le « plateau et vallons des Coustalats » (7 832 ha), couvrant 25 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Chelle-Spou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 2],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

    Une croix.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,7 %), forêts (37,8 %), prairies (7,4 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 67[I 5].
    Parmi ces logements, 76.2  % sont des résidences principales, 19.0  % des résidences secondaires 4.8  % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D120.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Chelle-Spou au sud de Tournay

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[26] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    • Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806.

    Chelle

    Dénominations historiques :

    • A Siela, (v. 1200-1230, cartulaire de Bigorre) ;
    • Sila, (1256, contrat mariage Esquivat) ;
    • Augerius de Filie, … en Auger d’Essiela ; Gastonus de Filie, … Gasto d’Essiela, (1283, procès Bigorre) ;
    • Esfiele, (1285, Montre Bigorre) ;
    • Gasto d’Effiele, (1285, Balencie, procès Bigorre) ;
    • de Schela, (1300, enquête Bigorre) ;
    • De Shela, (1313, Debita regi Navarre) ;
    • De Xella Superiori, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
    • de Xella Superiore, latin (1379, procuration Tarbes) ;
    • Chelle-Dessus, (1770-1791, registres paroissiaux) ;
    • Chelle-Dessus, (1790, Département 1) ;
    • Chelle Dessus, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Nom occitan : Shèla.

    Spou

    Dénominations historiques :

    Étymologie : du gascon espon ; du latin sponda (= versant, talus, limite, talus faisant limite).
    Nom occitan : Espon.

    Histoire

    Le village est formé de Chelle-Dessus et de Spou, une ancienne baronnie en Arroustang.

    Les d'Asson d'Argelès résidèrent au château de Chelle rasé au XVIIIe siècle.

    Carte de Cassini

    Carte de Cassini du secteur vers 1750.



    La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au XVIIIè siècle, Chelle- Dessus est une paroisse située sur les hauteurs entre les vallées des ruisseaux Arriou Darré et L'Espierra.

    En plus de l'église, la petite tour surmontée d'un drapeau signifie que le village possèdait un château (aujourd'hui disparu).

    Au nord-est, Spou qui s'écrivait Espou n'était alors qu'un hameau sans église.

    Cadastre napoléonien de Chelle-Spou

    Le plan cadastral napoléonien de Chelle-Spou est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[27].

    Politique et administration

    La mairie en 2014.
    Le foyer rural en 2014.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1979 2008 Clément Cieutat    
    mars 2008 mars 2020 Patrick Darre    
    mars 2020 en cours Noël Abadie    

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, pays de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de Bagnères puis de Bourg (1790), de Lannemezan (depuis 1801). Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806[28].

    Intercommunalité

    Chelle-Spou appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31]. En 2019, la commune comptait 113 habitants[Note 8], en diminution de 2,59 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    305299329397414450396423402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    419416430413411370335318293
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    252261261212192186170139131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1251141039595918988110
    2015 2019 - - - - - - -
    118113-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Commencé après 1836, l'exode rural a particulièrement frappé Chelle-Spou jusqu'à la fin du XXe siècle où il s'est stabilisé.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[34].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]5,3 %9,1 %6,3 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 67 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (75 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 18,8 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 52, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 10].

    Sur ces 52 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de l'Assomption.
    Le puits.
    Le Monument aux morts municipal.

    Personnalités liées à la commune

    • Général Minvielle[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au premier d'azur à l'échelle à six échelons d'argent posée en bande et accompagnée en chef d'une étoile d'or, au second de gueules à la tour ronde d'argent maçonnée, ouverte et ajourée de sable.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Tournay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Chelle-Spou », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Tournay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Chelle-Spou et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Tournay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Chelle-Spou et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chelle-Spou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « cours de l'Arros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « plateau et vallons des Coustalats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    27. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Chelle-Spou en 1830
    28. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    29. « Liste des juridictions compétentes pour Chelle-Spou », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018 et 2019.
    34. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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