Lorry-lès-Metz
Lorry-lès-Metz est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Lorry (homonymie).
Lorry-lès-Metz | |
La mairie. | |
Héraldique |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Metz |
Intercommunalité | Metz Métropole |
Maire Mandat |
Philippe GLESER 2020-2026 |
Code postal | 57050 |
Code commune | 57415 |
Démographie | |
Gentilé | Lorriots |
Population municipale |
1 748 hab. (2019 ) |
Densité | 287 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 08′ 33″ nord, 6° 07′ 20″ est |
Altitude | Min. 189 m Max. 357 m |
Superficie | 6,09 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Metz (banlieue) |
Aire d'attraction | Metz (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton des Coteaux de Moselle |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.lorrylesmetz.fr |
Ses habitants s'appellent les Lorriots.
Ce village du Pays Messin situé à neuf kilomètres de Metz est souvent confondu avec Lorry-Mardigny, dit anciennement Lorry devant le Pont, d’où la confusion avec Lorry-lès-Metz, dit anciennement Lorry devant Metz.
Géographie
Communes limitrophes
Amanvillers | Saulny | Woippy | ||
Châtel-Saint-Germain | N | |||
O Lorry-lès-Metz E | ||||
S | ||||
Lessy / Plappeville | Metz |
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Saulny[Carte 1].
Le ruisseau de Saulny, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Saulny et se jette dans la Moselle en limite de Metz et de La Maxe, face à Saint-Julien-lès-Metz, après avoir traversé six communes[1].
La qualité du ruisseau de Saulny peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Lorry-lès-Metz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Metz, une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes[5] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,9 %), terres arables (21,5 %), zones urbanisées (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), prairies (13,5 %), cultures permanentes (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
- Anciennes mentions : Lauriacum (945), Lorez devant Metz (1130), Lorei (1320), Lorey devant Mes (1404), Lorrey (1440), Lorey devent Mets (1490), Lory (1491), Lori (1544), Lorri (1756), Lorry-lès-Metz (1801), Lorringen (1915–1918), Loringen (1940–1944).
Histoire
Village du Pays Messin, on y trouve au VIe siècle une villa royale nommée Lauriac (voir Brunehilde reine d'Austrasie).
Val de Metz dépendant du comté épiscopal de Metz puis de la République messine.
Lorry-lès-Metz est mentionné pour la première fois, en 945, dans une charte d’Adalbéron Ier, évêque de Metz (929-962), à l’abbatiale Sainte-Glossinde, sous le nom de Lauriacum. Comme Woippy – paroisse – et Lorry-lès-Metz – annexe – avaient une église commune, elle était sous le patronage du trésorier de la cathédrale de Metz qui avait droit de nomination à la cure et jouissait des avantages matériels attachés à ce titre. Ces avantages se réduiront au cours des siècles à la possession de moulins et de vignes.
Vers 1250, la seigneurie de l’Église glisse à des seigneuries laïques.
La première famille influente, les de Laitre, corégentera pendant un peu plus d’un siècle le village avec trois autres familles dont les Baudoche. Cette famille Baudoche prendra la suite des de Laitre de 1404 à la fin du XVIe siècle. C’est à elle que Lorry-lès-Metz doit, au début du XVe siècle, la construction de son église propre dédiée à sainte Barbe où s’affichent les armes des seigneurs de Lorry à la clef de voûte du chœur. Une magnifique cuve baptismale octogonale en pierre de la même époque offerte par Jean Gerais (Gérard), père de Philippe de Vigneulles, est aujourd’hui installée dans la travée ouest. Cultuellement, Lorry-lès-Metz est donc détaché de Woippy.
À partir de 1605, les Couët du Vivier administreront majoritairement jusqu’à la Révolution française les terres de Lorry-lès-Metz.
À la fin du XVIe siècle, le calvinisme est introduit par les seigneurs de Lorry, successeurs des Baudoche : les Busselot, de Goullon, Inguenheim, Couët du Vivier et il y perdurera au long du XVIIe siècle. Mais après la révocation de l’Édit de Nantes en 1685, les Lorriots rentrèrent sagement dans le giron de l’Église catholique (première abjuration le , Juliette Toussaint).
Durant ces siècles, le Pays messin passa du statut de république gouvernée par les Paraiges (patriciens messins) sous protectorat du Saint-Empire, à celui de place forte française sous Louis XIV après le traité de Münster (1648) rattachant le Pays messin à la France. Lorry-lès-Metz devient donc français.
Durant ces différentes périodes d’hostilités entre les Messins et différentes grandes maisons, le village est plusieurs fois pillé – 1442, 1493 et 1518 – puis s’ensuivirent la guerre de Trente Ans et ses dévastations en 1635 et 1642.
Le village fait partie du département de la Moselle en 1790 (Révolution française).
La Révolution française passée, le Premier Empire, dans le cadre de la réorganisation de la France, voit la commune de Vigneulles rattachée à Lorry-lès-Metz en 1809 à laquelle s’ajoutera peu de temps après la Ferme du Chêne. À cette époque, Lorry comptait 733 habitants répartis dans 125 maisons et Vigneulles, 66 habitants répartis dans 19 maisons.
Le 21 septembre 1870, durant la guerre franco-allemande, eut lieu le combat du bois de Vigneulles ou fut engagé le 15e régiment d'infanterie. Le , une escarmouche eut lieu où fut engagé le 2e bataillon de chasseurs à pied.
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Lorry-lès-Metz est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Au début du XXe siècle, le territoire de la commune était recouvert de 80 ha de vigne et donnait du vin de Moselle mais les ravages du phylloxéra obligèrent le village, à l'instar de son voisin Woippy, à se reconvertir dans la culture de la fraise.
Lorry-lès-Metz est de nouveau annexée de 1940 à 1944 au Troisième Reich allemand. Malgré la combativité des troupes allemandes de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armée de Knobelsdorff, Lorry-lès-Metz est libérée par la 5e DI de l'armée de Patton le [12], à la fin de la bataille de Metz, mettant ainsi fin à plus de quatre années de souffrance. Le village est décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze à la suite de la destruction d’une partie du village.
En 2007, le village est classé 2e au revenu total par habitant en Moselle juste derrière la commune voisine de Plappeville. En 2009 le village a célébré le bicentenaire du rattachement de Vigneulles à Lorry-lès-Metz. Un pèlerinage marial a lieu à l'écart du village à la chapelle dédiée à Notre-Dame du Gros Chêne.
Blasonnement
Blasonnement :
D’argent au laurier de sinople, mouvant de la pointe, fruité de gueules, au chef du même chargé de trois besants d’or, le premier chargé d’une croix pattée de même.
Commentaires : Le laurier est à l’origine du nom latin de Lorry-lès-Metz – Lauriacum. Ce sont des armes parlantes. Lorry-lès-Metz dépendait du Pays messin du Val de Metz, plus exactement, il était sous la domination du paraige de Saint-Martin qui portait : de gueules, à trois besants d’or, celui de dextre chargé d’une croix de gueules |
Politique et administration
La commune a rejoint le la communauté d'agglomération de Metz-Métropole.
Au , la communauté d’agglomération devient une Métropole : Metz-Métropole. Lorry-lès-Metz y est représentée par un membre titulaire et un membre suppléant. Le titulaire est Philippe Gleser, maire, et la suppléante Marie-Andrée Brulé, adjointe.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].
En 2019, la commune comptait 1 748 habitants[Note 3], en augmentation de 1,51 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,03 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Vie religieuse
Avant la Révolution française | ||
Début | Fin | Nom |
---|---|---|
Nommé le | 1689 | Antoine Darda |
Nommé le | 1692 | Jean-Mathieu Passel |
Nommé le | 1695 | Nicolas Marchand |
Nommé le | Décède le | Nicolas Malherbe |
Nommé administrateur le | Anselme Agnus | |
1744 | Jacques d'Aymard | |
Administrateur le | Guillaume Boulenger | |
Administrateur le | François Husson | |
Administrateur le | Louis Mayot | |
Nommé le | 1752 | François Arthaud |
Administrateur le
Curé le |
Quitte Lorry-lès-Metz en 1791 | Jean Chandellier |
Les prêtres jureurs | ||
Début | Fin | Nom |
Prête serment le | Renonce le | Claude Coinze |
1792 | 1802 | Dominique Jenot |
Administrateurs provisoires | ||
Début | Fin | Nom |
Nommé le | François Humbert | |
Charles-Dominique Rutan | ||
Nommé le | Hippolyte Millet | |
Prêtres résidents | ||
Début | Fin | Nom |
Nommé le | 1807 | Georges-Antoine Le Begue |
Nommé le | 1813 | Nicolas Caillous |
Administration par l'abbé Stephani, curé de Woippy | ||
1818 | Claude-Charles Thibiat | |
1831 | Étienne Friclot | |
Décède le | Christophe-Nicolas Remy | |
Vicaire le
Curé le |
Remy-Jean-Nicolas Iseler | |
Nommé le | Décède le | Jean-Dominique Étienne |
Administrateur le | Abbé Bigerel, curé de Woippy - pendant l'exil de l'abbé Étienne | |
Administrateur le | Nicolas Bentz - pendant l'exil de l'abbé Étienne | |
Nommé le | 1951 | François-Léon Huguet |
Nommé le | Décède le | Émile Jacquemin |
Victor Leitner | ||
Étienne Nicolas | ||
Alain Welsh | ||
Paul Grostefan |
Fin 1998, création de la communauté des Ponts, regroupant les églises suivantes :
- Saint-Sacrement (Metz Devant-les-Ponts) ;
- Notre-Dame-de-Lourdes (Metz Devant-les-Ponts) ;
- Sainte-Famille (Metz Patrotte) ;
- Saint-Clément (Lorry-lès-Metz) ;
- Sainte-Bernadette (Metz Quatre-Bornes) en paroisse annexe du Saint-Sacrement.
Début | Fin | Nom |
---|---|---|
Richard Amégnimon - vicaire | ||
Roland Dietrich | ||
Francis Shiefer | ||
Michel Billon | ||
2002 | 2003 | Prêtres remplaçants |
Alain Welsh | ||
Gilles Fund | ||
Daniel Piovesan |
En , fusion des communautés des Ponts et du mont Saint-Quentin appelée Les Monts-Les Ponts.
On ajoute les paroisses
- Sainte-Brigide (Plappeville) ;
- Sainte-Croix (Le Ban-Saint-Martin) ;
- Saint-Quentin (Longeville-lès-Metz) ;
- Saint-Symphorien (Longeville-lès-Metz).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges préhistoriques et antiques.
- Découverte d'un petit monument religieux de l'époque gallo-romaine.
- Maison des Plaids annaux : maison du XVIe siècle où l’on rendait la justice, bâtiment modifié vers 1860. Sise au 60 Grand’Rue.
- Maison forte ou Forte maison : imposante maison du début XVe siècle qui logeait une garnison (La tour de Lory devant Mets). On connaît son aspect grâce à une carte postale de 1906. Elle fut démolie en 1946 à cause de son délabrement. Anciennement sise dans la descente de Vigneulles.
- Maison Carré de Malberg : maison de famille de Caroline Colchen épouse Carré de Malberg, fondatrice de la Société des filles de saint François de Sales. Sise au 108 Grand’Rue.
- Maison de maître : surnommée Le château par les Lorriots, cette maison de maître construite au XIXe siècle possède une décoration intérieure néo-roman. Elle abrite un institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP) dénommé Le Château.
- Forts de la première ceinture fortifiée de Metz : 16 ouvrages militaires ont été construits sur le territoire de la commune.
- Lavoir de Vigneulles : sis sur la place de l’Âtre près de l’emplacement où se trouvait, vers 1500, la maison de Philippe de Vigneulles.
Édifices religieux
- Église Saint-Clément : ancienne église fortifiée construite au début du XVe siècle par les Baudoche. Annexe de l’église de Woippy et dédiée à sainte Barbe, elle devint église paroissiale et prit pour patron saint Clément en 1673. Elle présente des particularités architecturales intéressantes. Elle fut agrandie en 1852 et remaniée en 1903. Elle comporte un baptistère du début du XVe siècle, octogonal en pierre sculptée, et des vitraux de Schouler (1927-1984). En , un second saint patron est adjoint à saint Clément : saint Roch. L’orgue issu de la manufacture Dalstein-Haerpfer possède 15 jeux. Restauré en 1994, il est toujours en fonction. Dans le clocher, on peut admirer le mécanisme de l’horloge du clocher fabriqué par Jean-Baptiste Schwilgué datant de 1847. Il est désormais relayé par une horloge électronique.
- Chapelle Notre-Dame-du-Gros-Chêne : sise sur la route d’Amanvillers, cette chapelle construite en 1960 est un lieu de pèlerinage marial. Les vitraux sont de Camille Hilaire.
- Chapelle de l’ancienne école ménagère : cette ancienne propriété de madame de Thury est devenue une institution religieuse dispensant un enseignement ménager après l’Annexion. Depuis 1968, elle fait partie d'un collectif d’appartements privés. Elle ne se visite pas.
- Chapelle sépulcrale Saint-François-de-Sales de Caroline Colchen Carré de Malberg : cette chapelle est sise dans la cour de la maison de Madame Carré de Malberg. Ouverte au public
- Calvaires : sept calvaires de différentes époques situés en haut du village, au mur du Château, ruelle des Écoliers, Grand’Rue, au cimetière, Croix-de-Lorry et à Vigneulles.
- Maison de maître dite Le Château.
- Église Saint-Clément.
- Chapelle Notre-Dame-du-Gros-Chêne.
- Chapelle Thury de Chanteau et Simon Valette de l'ancienne institution religieuse de Vigneulles.
- Chapelle sépulcrale Saint-François-de-Sales de Caroline Colchen Carré de Malberg.
Personnalités liées à la commune
- Philippe de Vigneulles ( - 1528 [entre le et le 12 avril] à Metz) : né à Vigneulles, écrivain, chroniqueur et commerçant messin. Il a su décrire la vie de ses contemporains dans La chronique de Metz, qui constitue son œuvre majeure.
- Caroline Colchen épouse Carré de Malberg (1829-1891) : fondatrice de l’Œuvre des Filles de Saint François de Sales.
- Catherine-Jeanne Valette épouse de Henry-Jacques-Marie Héricart de Thury[18]. Elle est la quatrième présidente des Dames de Metz, œuvre qui perpétue la mémoire des soldats français morts pour la Patrie. Elle est à l’origine de la réalisation du monument du cimetière de Chambière. En 1921, elle lègue à l’évêché ses deux propriétés qui deviendront des institutions religieuses. Elle finance la grosse cloche, Jeanne-Suzanne qui sonne en ré et pèse 1395 kg. Elle sera la seule à échapper aux réquisitions de 1917.
- Ker-Xavier Roussel, né à la ferme du Chêne, il vécut à Paris, ses parents ayant fui l’Annexion. Appartenant au mouvement des nabis, il peignit beaucoup la nature agrémentée de personnages mythologiques.
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lorry-lès-Metz » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
Références
- Sandre, « le ruisseau de Saulny »
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Metz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- 1944-1945 : Les années liberté, Le Républicain lorrain, 1994 (p. 14: Recensement préfectoral sur les dates de libération
- Paul Pancré - Lorry-lès-Metz, village du pays lorrain - 1983
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Fils de Louis-Étienne Héricart de Thury – 3 juin 1776 à Paris, 15 janvier 1854 à Rome et de Marie Louise de NOÜE – 1801, 1884 à Saint-Cloud.
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