Comté de Blois
Le comté de Blois est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée dès la conquête de la Gaule romaine vers l’an 500 par le roi Clovis Ier. Il fut parmi l’un des plus puissants du royaume entre les VIIIe et XIIIe siècles, après être parvenu à encercler le domaine royal des Capétiens en intégrant la Champagne.
Statut | Féodalité (comté) |
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Capitale | Blois |
Langue(s) |
Ancien français (officiel de facto) Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique) |
Religion | Christianisme |
vers 500 | Chute du Royaume de Blois. Création d'un comté franc |
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832 | Création du titre de comte de Blois |
886 | Relégation en vicomté |
956 | Création du second comté |
1044 | Perte du comté de Tours |
1065 | Conquête du comté de Champagne |
1152 | Perte du comté de Champagne |
1397 | Rattachement au duché d'Orléans (apanage) |
1498 | Rattachement au domaine royal |
1626 | Rétablissement sous Gaston d'Orléans |
1660 | Rattachement au domaine royal |
832 - 834 | Guillaume d'Orléans (1er) |
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834 - 866 | Robert le Fort (2e) |
923 - 940 | Hugues le Grand (6e) |
956 - 977 | Thibaud Ier de Blois (7e) |
1465 - 1498 | Louis Ier d'Orléans (29e) |
1626 - 1660 | Gaston d'Orléans (30e) |
Entités précédentes :
Entités suivantes :
De sa création jusqu’en 1498, le comté a été dirigé sans discontinu par des comtes, accumulant parfois plusieurs titres plus ou moins importants, ou parfois déléguant leur travail à des vicomtes. Le comté exista jusqu’à son rattachement définitif aux terres du royaume en 1660, à la mort du duc Gaston d’Orléans, dernier comte de Blois en titre.
Histoire
Antiquité
Du Ier au Ve siècles, le Blésois dépendait de l'oppidum carnute d’Autricum[1] (actuelle Chartres), au sein de la province de la Gaule lyonnaise IV, et était administré par un consul de l’Empire romain[2]. À cette époque, Blois était en effet une petite cité en développement autour d’une forteresse qu’ont bâtie les Romains, Castrum Blesense[3]. La région aux alentours fut alors nommée pagus Blesensi[4].
En l’an 410, le chef breton Ivomadus aurait conquis Blois ainsi que Chartres[5] en battant le consul en place, un certain Odo, probablement d’origine germanique, puis instauré un état indépendant, le Royaume de Blois[6], au sein même de l’Empire, sous un Flavius Honorius déjà affaibli par les raids barbares à répétitions. Cette entité mal connue des historiens sembla rester indépendante près d’un siècle, en résistant à l’invasion du royaume wisigoth de Toulouse, mais fut finalement conquise par le roi franc Clovis entre 481 et 491[7].
Un premier comté franc
Les Francs ont ensuite établi un premier comté du nom de Comitatui blesensi[8], dont la capitale se tenait déjà à Blois, sur la rive droite de la Loire[9]. Les comtes de cette époque ne sont pas connus.
À la mort du roi Clotaire Ier, le comté est politiquement rattaché au Royaume d’Orléans et transmis à son fils aîné Gontran[10], jusqu’en 592, alors que les contrées voisines sont transférées à son frère Caribert Ier, sacré roi de Paris (dont le territoire inclut notamment Chartres et Tours).
Au niveau religieux, le diocèse de Blois dépend toujours de l’évêché de Chartres. Cette décision aurait été prise par les premiers rois francs afin de tenir le clergé de Chartres éloigné de la politique et de la gestion du domaine.
Durant cette période, Blois est régie par l’un des 7 maires du palais du royaume dont la mission fut de sélectionner un noble franc pour l’élever comte[11]. Le nom du comte choisi ne nous est pas parvenu, mais une guerre civile aurait éclaté dans le Chartrain, les Blésois s’étant joints aux Orléanais contre les Dunois alliés aux Carnutes[12].
Ce comté semble cependant avoir été administré directement par les comtes d’Orléans, dont le plus ancien connu, Adrien († avant 821), serait issu de la famille de Vintzgau. Sa famille est proche des Capétiens depuis que Charlemagne s’est marié en 771 avec Hildegarde[13], sœur d’Adrien et fille du comte Gérold Ier de Vintzgau (v. 730 – †784), qui se serait installé quelque part entre Blois et Chartres.
Le titre de comte de Blois aurait été officiellement créé en 832 par le roi Louis le Pieux, et transmis au fils d’Adrien, Guillaume, en tant que vassal du comte d’Orléans.[14] Celui-ci s’allia avec le roi Pépin Ier d’Aquitaine pour que celui-ci récupère son royaume, offert à son demi-frère Charles II, mais perdit la vie pendant l’opération[15]. De par sa dot, la fille restante d’Adrien aurait transmis le contrôle de ses comtés à son époux, transmettant de fait les droits des comtés de Blois mais aussi d’Orléans, d’Anjou, d’Auxerre et de Nevers, à son supposé fils, Robert le Fort[16].
Dans le contexte de la marche de Neustrie, Robert, alors comte de Blois, est nommé marquis en 861, mais conserva ses droits sur le Blésois. Mort en 866, ce-dernier léga ses titres à son ancien ennemi, le comte de Paris Hugues l’Abbé, qui éleva les deux fils de Robert. Le cadet Robert Ier succéda à son frère aîné Eudes, en accumulant les charges de roi des Francs, marquis de Neustrie, comte de Paris et de Blois.
Entre-temps, la contrée est pillée et incendiée à plusieurs reprises par le chef viking Hasting : en 851[17], en 854, et entre 856 et 857[18],[19]. Il repassa en 882, avant de se diriger vers Chartres où il sera fait vassal du roi Louis III. Un nouveau comté est né au nord de Blois : celui de Chartres.
Relégation au statut de vicomté
Vers l’an 900, le roi Robert Ier aurait décidé de déléguer l’administration d’un Blésois plus autonome à un vicomte. Il aurait ainsi choisi pour le suppléer un certain Garnegaud ou Eudes de Chartres, qui serait un descendant du comte Guillaume d’Orléans et qui aurait hérité du comté de Chartres que son frère aurait racheté à Hasting en 886, mais ce dernier mourut en 906. Robert délaissa le comté jusqu’à sa mort en 923, et son fils Hugues le Grand lui succède dans ses honneurs. Blois resta dans le domaine robertien jusqu’en 940, date à laquelle le roi Hugues aurait offert la vicomté à Thibaud l’Ancien, possible fils du précédent vicomte, Garnegaud[20]. Thibaud avait d’ailleurs déjà été fait vicomte de Tours en 909 en succession à Foulques Ier d’Anjou transféré à Nantes sur ordre du roi[21]. En 941, il fit de même que son suzerain en offrant la vicomté de Tours à son fils Thibaud Ier, dit le Tricheur. Thibaud l’Ancien finit sa vie à Blois en l’an 943, et son fils récupère les droits sur le Blésois.
Un second comté thibaldien
Au même titre que son père, Thibaud le Tricheur était politiquement proche des Robertiens et par conséquent, d’Hugues le Grand. Le roi des Francs fut même un temps l’oncle par alliance du Tricheur, via sa tante maternelle Rohaut du Maine. Son règne en tant que vicomte est plutôt calme jusqu’à la mort du roi des Francs en 956. L’héritier désigné d’Hugues le Grand était son fils, Hugues Capet, mais Thibaud a refusé de reconnaître se légitimité : Hugues n’avait alors que 15 ans mais, surtout, ils ne partageaient pas le même sang puisque la mère d’Hugues était Hedwige de Saxe (et non Rohaut). Ainsi, Thibaud proclama son indépendance vis-à-vis de son jeune suzerain en s’intitulant « Comte de Blois et de Tours », gagnant ainsi son épithète.
En 958, lors d’une rencontre avec son beau-frère Foulques II d’Anjou, alors nouvel allié depuis la mort du dernier roi de Bretagne, les deux hommes vont jusqu’à se présenter comme « gouverneurs et administrateurs du royaume de Neustrie » et « comtes par la grâce de Dieu », et non par celle d’un quelconque suzerain. À partir de 960, Thibaud s’associe de façon plus forte au carolingien Lothaire II, et affirme son influence en étendant son territoire jusqu’à Bourges, Chartres et Tours. Toutefois, il ne rompt pas avec Hugues et continue à fréquenter les deux cours, ducales et royales.
En 1019, son petit-fils Eudes II poursuit les conquêtes du Tricheur en ajoutant au domaine familial le comté de Meaux ainsi que celui de Troyes en 1023. À sa mort en 1037, les domaines qu’il administrait furent divisés, jusqu’à leur réunion en 1063 par le comte Thibaud III, fils d’Eudes II. Entre-temps, le comté de Tours est définitivement perdu en 1044 après la bataille de Nouy contre la maison d’Anjou. Les comtés de Blois et de Champagne sont de nouveau réunis jusqu’en 1152[8], date à laquelle Thibaut IV lègue la Champagne à son aîné Henri Ier et le Blésois à son cadet Thibaut V.
En 1171, Blois est une des premières villes d’Europe à accuser ses juifs de crimes rituels à la suite de la disparition inexpliquée d’un enfant chrétien. Sur ordre du comte Thibaut V, 30 à 35 juifs (sur une communauté d’environ 130 personnes) sont brûlés vifs le près des fourches patibulaires[22].
Le comté resta dans la famille thibaldienne, mais dans la branche cadette d’Avesnes de 1230 à 1241 avec la comtesse Marie, puis dans celle de Blois-Châtillon jusqu’en 1397. Cette dernière perdit en influence, ce qui s’est ressenti dans le contrôle des territoires inclus au sein du comté. Lorsque le comte Guy II cède son domaine au duc Louis Ier d’Orléans, par faute de descendance masculine directe et en pleine guerre de Cent Ans, le comté se limite à la surface entre les châtellenies de Vendôme, de Beaugency et de Valençay.
Rattachement au domaine royal
La cession du comté au second fils du roi Charles V par le comte Guy II entraîna de fait l’intégration de Blois au duché d’Orléans en 1397, mais les ducs portent encore le titre de comte. La future cité de Jeanne d’Arc n’étant pas pourvue de château, celui de Blois devint la résidence officielle des ducs d’Orléans, même si ces-derniers siégeaient généralement à la cour du roi établie au château du Louvre, à Paris.
Malgré sa proximité avec le front atlantique, le comté est relativement épargné par la guerre de Cent Ans. C’est d’ailleurs au château de Blois que Jeanne d’Arc séjourne avant de libérer Orléans, alors occupée par les Anglais, fin avril 1429.
Bien que transmise en apanage au sein de la maison des Valois, les comtés de Blois et d’Orléans n’entrèrent formellement au sein du domaine de la Couronne qu’en 1498 sous le nouveau roi Louis XII, qui établira naturellement sa cour à Blois cette année-là. En étant duc d’Orléans (sous le nom de Louis II) de 1465 à son couronnement, Louis XII fut ainsi le dernier comte héréditaire de Blois[23],[24].
Continuité
En 1498, le comté est intégré au domaine royal avec l’ancien comté d’Orléans pour ainsi créer la province de l’Orléanais. En installant sa cour à Blois, Louis XII invite non seulement les nobles du Royaume sur les bords de Loire mais fait également du Blésois le berceau de la Renaissance française. Le comté s’enrichit considérablement, et un nouveau château est bâti à Blois. Les traités de Blois y seront signés en 1504. En 1516, le nouveau roi François Ier ordonne la conception d’une ville idéale, une « nouvelle Rome » –Romorantin–, mais elle fut avortée après le décès de Léonard de Vinci en 1519[25]. Débute ensuite la construction d’un immense château annexe dédié à la chasse dans la forêt de Chambord, en lieu et place de l’ancienne forteresse construite sous les comtes au Xe siècle[26],[27]. Celle-ci dura près de 25 ans, soit jusqu’en 1544. Plus tard, c’est un autre souverain qui prendra le même type de décision en convertissant un pavillon de chasse en somptueux palais : Louis XIV. Néanmoins, si le Roi-Soleil souhaitait de son temps quitter la capitale, François Ier quitta le Blésois peu après la mort de sa femme, la reine Claude en 1524, pour installer sa cour près de Paris, à Fontainebleau. Depuis, ce déménagement ainsi que la perte du titre de comte relèguent Blois à une simple ville de province.
En 1626, le duc Gaston d’Anjou, troisième fils du roi Henri IV, épouse non sans regret la richissime duchesse de Montpensier, Marie de Bourbon[Note 1], que lui impose Richelieu. Il reçoit ainsi en apanage les duchés d’Orléans et de Chartres, ainsi que Blois de nouveau élevé en comté indépendant. Son règne fut marqué par sa motivation à rénover de multiples châteaux de la Sologne. Après la Fronde, Gaston d’Orléans, comme on l’appela désormais, est assigné à celui de Blois à partir de 1652 et s’éteint en 1660 dans sa nouvelle résidence en Vienne. Comme le veut la tradition apanagiste, ses titres sont transférés à Philippe d’Orléans, frère cadet de Louis XIV, mais ce-dernier décide de ne pas lui octroyer Blois. Le comté fut donc rattaché une nouvelle fois au domaine royal.
Depuis cette époque, le Blésois ne dépend donc plus directement du duché d’Orléans, mais reste administrativement rattaché à la province orléanaise.
Après la Révolution française, le département de Loir-et-Cher est créé en 1790, suivant plus ou moins les dernières frontières du comté, en incluant les cantons de Vendôme et de Romorantin.
Géographie
Frontières
Les frontières ainsi que les entités voisines du comté ont beaucoup varié au cours du temps, mais les comtes de Blois sont parvenus à conserver pendant une longue période les comtés de Châteaudun et de Chartres, ainsi que les seigneuries de Beaugency et de Sancerre[28].
De la création d’une vicomté en 909 à 1044, le territoire de Blois fut joint au comté de Tours, et à celui de la Champagne à deux reprises : de 1023 à 1037, puis de 1063 à 1152. Il était alors commun de parler de comté de Blois-Champagne ou d’ensemble bléso-champenois[4],[29].
Le comté historique de Blois fut durablement un voisin direct[4],[28] :
- du domaine royal (via le comté puis duché d’Orléans et le comté d’Étampes),
- du duché de Normandie (via les comtés d’Évreux et de Vexin),
- du duché d’Aquitaine (via la seigneurie d’Issoudun),
- du duché de Bourgogne (avec les comtés de Nevers et de Bourbon),
- du comté d’Anjou, son principal rival à l’ouest (via la Touraine).
Néanmoins, sa position géostratégique et son influence en ont fait une parfaite zone tampon entre le domaine royal établi autour de Paris et la côte atlantique, en particulier lors de la Marche de Neustrie (861–890)[30] ainsi que pendant la Guerre de Cent Ans (1337–1453).
Places fortes
Enclaves indépendantes
- Blois-Vienne (paroisse rattachée à la rive droite de Blois en 1606)[31]
Notes et références
Notes
- Marie de Bourbon-Montpensier mourut en couches, laissant sa fortune non à Gaston mais à leur fille.
Références
- Michel-Jean-Francois Ozeray, Histoire générale, civile et religieuse de la cité des Carnutes et du pays Chartrain, vulgairement appelé la Beauce, depuis la première migration des Gaulois jusqu'à l'année de Jésus-Christ 1697, époque de la dernière scission de notre territoire par l'établissement du diocese de Blois - Volume 2, Munich, Garnier Fils, , 408 p. (ISBN 978-1271144358, lire en ligne), p. 47
- Yannick Pelletier, Une histoire de la Bretagne, Éditions Gisserot, , 128 p. (ISBN 9782877470742, lire en ligne), p. 15
- (la) Hofmann J. Lexicon universale, « BLESENSE Castrum et Pagus Blesensis in Celtica Blesensum » , sur EN Academic, (consulté en )
- Georges Touchard-Lafosse, Histoire de Blois et de son territoire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Lyon, Éditions de la Tour GILE, , 451 p. (ISBN 978-2-87802-091-5, lire en ligne)
- Yannick Pelletier, ibid (lire en ligne), p. 15
- Jacques Soyer, « Les Bretons à Blois à la fin du Ve siècle », Mémoires de la Société des sciences et lettres de Loir-et-Cher, (lire en ligne)
- Léon Fleuriot, Les origines de la Bretagne, Paris, Payot, , 355 p.
- Jean Limnaeus, Notitia regni franciae, Volume 1, typis & sumptibus Friderici Spoor, , 756 p. (lire en ligne), p.82
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- (en) Généalogie d'Hildegarde sur le site Medieval Lands.
- René Merlet Les Comtes de Chartres, pag 14
- Michel-Jean-Francois Ozeray, ibid (lire en ligne), p. 107
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- René Cintré, Les marches de Bretagne au Moyen-Âge - Économie, Guerre et Société en Pays de Frontière, FeniXX, , 238 p. (EAN 9782402067539)
- Philippe de Béthune fut le dernier possesseur du fief de Vienne qu'il échangea avec le domaine royal contre les terres de Gy, de Billy et de Soings (y compris le lac), anciennes dépendances de la châtellenie de Romorantin et du comté de Blois.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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