Continuité des religions européennes antiques

Les religions de l'Antiquité européenne, les cultes polythéistes qui ont précédé le christianisme, ont dû tout d'abord s'intégrer à la religion romaine antique. Celle-ci fut la première religion principale de l'Empire romain qui a conquis la majeure partie du continent européen, elle a donc supplanté les religions des peuples soumis. Mais le polythéisme leur a permis d'intégrer leurs dieux au panthéon Romain et de continuer leur culte. Mais à partir du IVe siècle les empereurs romains ont commencé à se convertir à la religion chrétienne, un culte monothéiste exclusif (n'acceptant aucun autre dieu). Le christianisme devint la religion de l’État et les cultes aux dieux anciens furent de plus en plus réprimés et qualifiés de « païens » mais ils ne disparurent pas totalement pour autant : ils subsistèrent discrètement quelques siècles sous forme brute et les dirigeants chrétiens assimilèrent des parties de ces cultes pour favoriser l'inculturation de principes chrétiens dans la culture païenne en associant les dieux à des saints et en christianisant de nombreux anciens lieux de cultes païens.

Saint Bacchus

Religion romaine

Les lieux de cultes

Certains lieux de cultes trop importants pour être totalement détruits furent christianisés, comme Notre-Dame de Paris, ancien temple dédié à divers dieux gaulois puis à Jupiter, comme le montre cette inscription sur le pilier des Nautes : « À Tibère César Auguste, à Jupiter très bon, très grand, les Nautes du territoire des Parisii, aux frais de leur caisse commune ont érigé [ce monument]. »

En Provence, a lieu chaque année le Saint-Vinage de Boulbon, fête mi-bacchique, mi-catholique, qui se déroule en la chapelle Saint-Marcellin de Boulbon. Elle est placée sous le patronage d'un saint Marcellin réputé être aussi « bon pèr l'aigo et bon pèr lou vin »[1].

Les festivités commencent le 1er juin, à la tombée de la nuit, et excluent toute présence féminine. Seuls les hommes s'entassent dans la chapelle de saint Marcellin, une bouteille emplie de vin à la main. Le garde champêtre de la commune est chargé d'apporter un panier plein de litres de vin réservés au clergé et à la municipalité[1].

Lors de la messe, sont lues les « Noces de Cana », tiré de l'Évangile selon Jean, puis le prêtre se doit d'annoncer : « Durbès vosti fiolo pèr la benedicioun dou vin di malaut ». À ce signal, tous les hommes brandissent leur bouteille pour la bénédiction puis en boivent une rasade car ce vin est devenu souverain contre toute maladie[1]. Frédéric Mistral y voyait une réminiscence d'un culte bachique. Il pourrait se situer dans la droite ligne de ces « messes à Bacchus » encore célébrées en Bourgogne au cours de la période médiévale[2].

Les dieux

Serge et Bacchus, icône du VIIe siècle.

Les dieux remplacés par des saints.

Il existe un saint Bacchus qui fut martyrisé avec saint Serge. D'après des historiens comme John Boswell, les deux saints étaient mariés, ce qui accréditerait la théorie, encore controversée, selon laquelle les mariages homosexuels étaient acceptés chez les premiers chrétiens[3].

Les fêtes

Chasse de saint Valentin en la collégiale saint Jean-Baptiste à Roquemaure

Les Lupercales, dont la fête est la précédente historique du carnaval, à la mi-février, fut remplacée par la Saint-Valentin par le pape Gélase Ier. Son caractère de fête de la fécondité a été conservé et Saint Valentin fut désigné patron des amoureux. Le mot « carnaval » apparaît sous cette forme en français en 1549 pour exprimer le sens de « fête donnée pendant la période du carnaval »[4]. Il vient de l'italien carnevale ou carnevalo. Il a pour origine carnelevare, un mot latin formé de carne « viande » et levare « enlever »[5]. Il signifie donc littéralement « entrée en carême ». Ce mot se retrouve toujours dans « caramentran » en provençal[6].

Pièce de monnaie en or représentant Constantin et Sol Invictus.

La fête du Sol Invictus, le 25 décembre, a été remplacée par Noël. Constantin Ier, le premier empereur romain converti au christianisme, fut au début de son règne adepte du Soleil invaincu, comme en témoignent ses émissions monétaires. Celui-ci a fait du dimanche un jour de repos en hommage au Sol Invictus par une loi du . Le dimanche fut par la suite assimilé au « jour du seigneur » par les chrétiens par inculturation [7].

Durant la christianisation de l'Empire romain, la célébration de la naissance de Jésus de Nazareth le 25 décembre par les chrétiens de Rome a progressivement remplacé le culte de Sol Invictus[8],[9]. L'édit de Thessalonique de 380 décrété par Théodose Ier interdit définitivement le culte de Sol Invictus faisant du 25 décembre une fête exclusivement chrétienne.

Lou grand et lou pitchoun au cacho fio
Embrasement de la bûche du cacho fio

En Provence, la soirée de Noël commençait par l'ancienne coutume païenne du cacho fio[10]. Cet allumage rituel de la bûche de Noël (calendau, en provençal) correspondait à un rite du feu caché et présageait le retour du feu neuf, le feu du premier soleil de la nouvelle année[11].

La cérémonie avait lieu devant la cheminée avant de se mettre à table pour le gros souper. Le plus jeune et le plus vieux portaient ensemble une bûche d’un arbre fruitier (poirier, cerisier, olivier) qui devait brûler pendant trois jours et trois nuits[11]. Ils devaient faire trois fois le tour de la table recouverte de ses trois nappes[12]. Une triple libation sur la bûche était ensuite pratiquée par le plus jeune de l'assemblée, avec du vin cuit[11].

Noms des mois

Chez les anciens romains, les mois étaient majoritairement nommés d'après un dieu : janvier vient du dieu Janus ; mars du dieu de même nom, le dieu de la guerre ; mai vient de maïa, la déesse mère ; juin est dédié à Junon.

Les noms

Les prénoms théophores :

Jules et ses dérivés (Julien et d'autres) viennent du dieu Jupiter. Avant d'être un prénom, c'était aussi un nom de famille romain réputé.

  • Marcel et ses dérivés (Martial, Marc et d'autres) sont originellement dédiés à Mars.
  • autres

Le titre de Pontifex maximus

Fragment de tegula, trouvée à Mirabel-aux-Baronnies, nommant PETRONIUS PAP(E) F. qui fut abbé du monastère du Groseau

Ce titre était originellement porté par le grand prêtre à la tête du collège des pontifes dans la Rome antique, il a été attribué aux papes en 642 qui sont toujours nommés « souverain Pontife ». Le mot « pontife » signifie « celui qui fait le pont », ici dans le sens d'intermédiaire entre le monde divin et le monde terrestre. Ce titre honorifique permettait de différencier l'évêque de Rome des autres évêques ou abbés du monde chrétien qui portaient alors le titre de pape.

Religion des Celtes

De nombreux éléments des mythologies celtiques (gauloise, irlandaise, bretonne) ont été repris par l'Église face aux croyances et habitudes persistantes du peuple.

Les lieux de cultes

Les dieux

Statue de sainte Anne sur la coupole de la cathédrale Sainte-Anne d'Apt où se trouvent ses reliques
  • Cernunnos est un dieu important de la mythologie gauloise. Il est toujours lié au cerf, dont il a d'abord la forme dans les représentations les plus anciennes puis il en est dissocié physiquement, se tenant à ses côtés. Plusieurs saints bretons sont représentés ainsi et sont probablement des formes christianisées du dieu : saint Théleau, saint Edern et saint Cornély, dont la formation du nom n'est pas sans rappeler celle de Cernunnos.
  • Ana ou Dana, la déesse mère, aurait vu son culte christianisé et devenir celui de sainte Anne, sainte protectrice de la Bretagne.

Les fêtes

Les fêtes druidiques

Les druides

Les druides étaient les dirigeants spirituels, les chef religieux de leur royaume. Ils avaient aussi les fonctions de transmettre le savoir par tradition orale.

Sculpture en hommage aux sorcières de Saint-Pée-sur-Nivelle et du Labourd brûlées en 1609
  • Les filid furent des poètes irlandais qui ont quitté la vie des druides pour adopter la religion chrétienne et se consacrer à la littérature.
  • Les sorcières du Moyen Âge, seraient dans la continuité des druides. Leurs fêtes aux solstices et aux équinoxes ne sont pas sans rappeler les coutumes antiques. Par ailleurs, la description du « démon » qu'elles invoquaient est à rapprocher du dieu cornu de la mythologie gauloise Cernunnos. Les pratiques de création de remèdes par la nature et la « magie » est aussi à comparer. Selon Myriam Philibert, la tradition druidique a sûrement trouvé continuité chez les femmes plutôt que les hommes et leur enseignement a pu se perpétuer au Moyen Âge. Ces traditions n'ont cependant jamais été incorporées ou transformées au sein du christianisme.

Religion nordique

La religion nordique est celle des peuples germains et scandinaves.

Les lieux de culte

Notre-Dame de l'Ortiguière est une chapelle rurale située sur la commune du Revest-du-Bion dans le département des Alpes-de-Haute-Provence. Construite au XIIIe siècle, elle fut détruite par deux fois. De la chapelle romane initiale restent uniquement quatre consoles en forme de têtes d’atlante dans lesquelles des archéologues ont reconnu une influence de la mythologie scandinave. Ce lieu de culte servit, à partir du XVIIe siècle, de sanctuaire à répit[13]. « Ces quatre têtes sont d'une diversité technique et d'une richesse symbolique tout à fait remarquables »[14], d'autant qu'il est à souligner que leurs thèmes se rattachent à la mythologie scandinave, « cas unique et inexplicable en pays méditerranéen »[15].

Les nervures qui supportent la voûte s'appuient sur quatre tailloirs, sommairement décorés de boules, de cubes ou d'étoiles en relief. Ils sont portés par des consoles où l'on reconnait « deux visages d'hommes carrés, burinés et rudes, et deux visages de femmes tout en rondeur et en finesse, supportant maladroitement de leurs bras le poids d'une voûte qui les écrase »[14].

Les fêtes

  • Yule, fête nordique du solstice d'hiver, a été christianisée en Noël comme l'a été la fête romaine Sol Invictus.

Les noms des jours

Par traduction du latin, dans les langues germaniques (anglais, allemand…), les jours de la semaine portent les noms des dieux importants du panthéon nordique : Monday (lundi) de moon (lune) ; Tuesday dédié à Týr ; Wednesday à Wotan ; Thursday à Thor ; Friday pour la déesse Frigg.

Religion grecque

Artémis d'Éphèse, déesse polymaste, au Musée d'histoire de Marseille

Les lieux de culte

À Marseille, Notre-Dame-de-la-Garde (en provençal, Nostro-Damo de la Gardo), souvent surnommée « la Bonne Mère » (la Boueno Maire en provençal), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis 1917[16]. Le culte rendu à la bonne mère est l'héritier de celui que rendait les phocéens de Massalia à Artémis d'Éphèse, qui après le concile d'Éphèse devint le prototype de la vierge Marie[17].

Strabon indique que c'est sur l'emplacement des Saintes-Maries-de-la-Mer que les mêmes érigèrent un temple à Artémis. Il explique que les Massaliotes, « désirant marquer de toutes les manières que cette région leur appartenait, (…) ont là aussi construit un sanctuaire d'Artémis d'Éphèse, affectant à cet effet une langue de terre formant île entre les bouches du fleuve ». Un temple similaire fut bâti à Avenio, l'actuelle Avignon[17].

Les dieux

Dans la cité hellénisée de Catane, en Italie, une dénommée Agathe fut martyrisée par ablation des seins. Dans sa Chronique des derniers païens, Pierre Chuvin relate comment la déesse Isis, protectrice de Catane, considérée comme la « bonne déesse » (Agathè Daimôn) fut, dès que le christianisme devint la religion dominante, remplacée par sainte Agathe[18].

Isis lactens, dite Agathé daimôn, allaitant Harpocrate, avatar d'Horus.
Peinture murale du martyre de sainte Agathe (fin du XVe siècle)

Pierre Sauzeau, qui professa à l'Université Paul Valéry – Montpellier III, explique comment Agathe devint l'héritière d’Isis à Catane. La déesse Isis, venue d'Égypte, y assumait les fonctions de protectrice de la navigation ; elle portait l’épithète d’Euploia, en grec ancien Εὔπλοια, qui donne une heureuse navigation, ou Ploiaphèsa. Elle était fêtée au cours d'une procession carnavalesque qui perdura jusqu'au VIe siècle et au cours de laquelle on lui offrait du lait dans des seaux en forme de sein. Quand Agathe la détrôna, ce furent désormais ses seins mutilés qui furent mis à l'honneur[19].

Les fêtes

Cette inculturation prit un autre aspect quand le culte d'Agathe de Catane s'étendit de la Provence au Languedoc[20]. Devenue Santo Gato (santa Gata en graphie occitane classique), littéralement « Sainte Chatte », par un glissement sémantique classique impliquant l'aphérèse du a, la sainte aux seins coupés acquit des prétendus pouvoirs sur les éléments et les saisons. Fêtée, le 5 février, date présumée de son martyre, elle était invoquée contre les feux du ciel et les fléaux du temps. Fernand Benoit indique que cette date du 5 février était marqué par des rites de sorcellerie pour accélérer le passage de l'hiver au printemps. Par association avec les rituels supposés où les sorcières provoquaient orages et tempêtes en faisant tourbillonner l’eau d’un étang ou même d’un récipient quelconque, il était interdit de faire la lessive le jour de la fête de sainte Agathe[21].

Sainte Agathe, devenue Santo Gato, jetant ses sorts et ses maléfices lors de la nuit du 4 au 5 février
Sainte Agathe présentant ses seins coupés, détail du retable de saint Jean-Baptiste de Jacques Durandi

Par contre, la veille, il était conseillé de mettre les mains dans le pétrin pour faire du pain en l'honneur de la sainte. Les pains de Sainte-Agathe étaient cuits au four, le 4 février, pour être bénis le lendemain au cours de la messe. Ils sont proches, par leur forme, des cassateddi di Sant'Aita ou minni di Sant'Aita, gâteaux réalisés à Catane pour la fête de la sainte[22]. Cette tradition des pains de la sainte est toujours vivace à Mons dans le Var où un bas-relief de ses seins figure même à la base du rempart du village[23].

Cette bénédiction des pains provenait de la tradition erronée qu'Agathe de Catane, dans ses représentations, portait sur un plateau des miches de pain[24]. Pour préserver l'efficacité de son intercession, il était interdit aux ménagères de faire des miches le jour de sa fête. Car la sainte était censée, tous les 5 février, apparaître sous la forme d'un chat pour venir punir les femmes qui lui avaient déplu en travaillant en ce jour[25]. Solennellement bénis, après la consécration, ces petits pains devenaient ainsi les pains de Sainte-Agathe[26], réputés particulièrement efficaces pour préserver gens et biens contre l'incendie et la foudre[24].

Les prénoms

Denis est dérivé du nom de Dionysos, le dieu grec de l'ivresse.

Notes et références

  1. Fernand Benoit, op. cit., p. 248.
  2. Daniel-Rops, Histoire de l'Église, T. IV, La cathédrale et la croisade, p. 68.
  3. John Boswell, Les Unions du même sexe : De l'Europe antique au Moyen Âge, 1994, traduction Fayard 1996 (ISBN 2213597189)
  4. Marguerite de Navarre, L'Heptaméron, Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales : « Ung jour, en masque, à ung carneval […] »
  5. Étymologie de Carnaval sur le site du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ; Lo Zingarelli, Vocabolario della lingua italiana ; Henriette Walter, Le français dans tous les sens, Robert Laffont éditeur, Paris, 1988, page 106.
  6. Caramentran - Carnaval en Provence
  7. Portail de la liturgie catholique édité par le Service National de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle (SNPLS) de la Conférence des évêques de France - Dimanche - Dom Robert Le Gall : Ainsi pouvait-on donner un sens chrétien à ce jour que les païens appelaient « jour du soleil » (encore sonntag en allemand et sunday en anglais) et qui était le deuxième de la semaine planétaire (jours de Saturne, du Soleil, de la Lune, de Mars, de Mercure, de Jupiter et de Vénus, d’où viennent les noms des jours de la semaine). Le dimanche peut être le jour du soleil, car c’est le jour où le Christ, vrai « soleil de justice » (Ml 3, 20), s’est levé après le coucher de sa mort rédemptrice.
  8. Portail de la liturgie catholique édité par le Service National de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle (SNPLS) de la Conférence des évêques de France - Noël, le 25 décembre : le passage d’un culte païen à la célébration chrétienne - Père Norbert Hennique : Le choix de la date du 25 décembre pour célébrer la Nativité de Jésus a ainsi permis de « christianiser » le culte païen du « soleil invaincu » en célébrant le Messie annoncé par le prophète Malachie (4,2) comme le « Soleil de justice » ou encore par le Christ comme la « Lumière du monde » selon le verset de saint Jean (8,12).
  9. S. Hijmans, « Sol Invictus, the Winter Solstice and the Origins of Christmas », Mouseion, III-3, 2003, p. 377-398
  10. Le Gros Souper, Anita Bouverot-Rothacker, éd. Jeanne Laffitte, p. 16
  11. Arts et traditions de Noël en Provence
  12. Lo cacho-fio sur le site tradicioun.org
  13. Revest-du-Bion sur le site archeoprovence.com
  14. Notre-Dame de l'Ortiguière, Alpes-de-Haute-Provence
  15. Chapelle de Notre-Dame de l'Ortiguière au Revest-du-Bion
  16. Marseille : Monuments Historiques, sur le site culture.gouv.fr
  17. Artémis d’Éphèse (Turquie), déesse anti-mariage des Amazones, et prototype de la Vierge Marie
  18. Pierre Chuvin, Chronique des derniers païens. La disparition du paganisme dans l'Empire romain, du règne de Constantin à celui de Justinien, Éd. Fayard, Paris, p. 270-271.
  19. Pierre Suzeau, De la déesse Héra à la Panaghia. Réflexions sur le problème des continuités religieuses en Grèce et en Grande-Grèce
  20. Fernand Benoit, op. cit., p. 226.
  21. Fernand Benoit, op. cit., p. 225-226.
  22. (en) Cassateddi ou minni di Sant'Aita
  23. (en) Les patronages de sainte Agathe
  24. Les seins de sainte Agathe
  25. Sainte Agathe dite Saint Chat
  26. La bénédiction des pains de sainte Agathe

Voir aussi

Articles connexes

Sources

  • Fernand Benoit, La Provence et le Comtat Venaissin. Arts et traditions populaires, Éd. Aubanel, 1992, (ISBN 2700600614)
  • Myriam Philibert, De Karnunos au roi Arthur (2007), Éditions du Rocher.
  • Nadine Cretin, Inventaire des Fêtes de France (2003), Éditions Larousse.
  • Histoire et archéologie : ce qui vit encore depuis la préhistoire ou l'antiquité, n79/Déc.1983-Janv.1984.
  • Mariel Tsaroieva, Panthéon des Ingouches, peuple du Caucase central, Paris, du Cygne, , 254 p. (ISBN 978-2-849-24517-0).
  • Raymond Christinger et Willy Borgeaud, Mythologie de la Suisse ancienne, Genève, Georg-Musée d'Ethnographie de la Ville de Genève, , 318 p.
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