Courpalay

Courpalay est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Courpalay

Le château de la Grange-Bléneau.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Val Briard
Maire
Mandat
Thierry Herry
2020-2026
Code postal 77540
Code commune 77135
Démographie
Gentilé Courpalaysiens
Population
municipale
1 294 hab. (2019 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 51″ nord, 2° 57′ 32″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 122 m
Superficie 14,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Courpalay
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Courpalay
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Courpalay
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Courpalay
Liens
Site web courpalay.fr

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
    Avec les communes environnantes
    1 : localisation dans le département de Seine-et-Marne. ; 2 : avec les communes environnantes.

    La commune se situe à environ 25,2 km par la route, au nord-est de Melun[1],[Note 1].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 79 mètres à 122 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 106 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Courpalay.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

    • le fossé 01 de Bernay-en-Brie, 2,08 km[4], affluent de l’Yerres
    • le ruisseau l'Yvron, long de 30,07 km[5], affluent de l'Yerres en rive gauche ;
      • le ru de Vallière[6], long de 12,52 km, et ;
      • le fossé 01 de Cordoux, 4,19 km[7], et ;
      • le fossé 01 du Cormier}, 1,19 km[8], et ;
      • le fossé 01 de Fleury, 1,11 km[9], affluents de l’Yvron ;

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,73 km[10].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[11].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[12]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[13].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,8 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 704 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[16]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[17], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[18] à 11,6 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Courpalay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte un certain nombre de lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[28] dont :

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,1% ), forêts (6,8% ), zones urbanisées (5,9% ), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[31].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[32],[33],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[34]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 560 dont 95,5 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 4,3 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90,2 % contre 7,5 % de locataires[35] dont, 0,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,3 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Corpaleium en 1235[36] ; Corpolay in Bria en 1300[37] ; Courpalloy en Brie en 1573[38] ; Corpallay 1582[38] ; Courpallet en 1673[39] ; Courpallais en 1686[40],[41].

    Histoire

    XIIe siècle

    Le village se nomme à la fin des années 1190 « Corpaloi »[42], issu du latin cortis (également écrit curtis)[43], signifiant « domaine » et de Palladius[44], un célèbre agronome romain.

    XIVe siècle

    Il est mentionné dans le « Compte de draps d'or et de soie »[45], produit en 1317 par Geoffroy de Fleury pour le roi Philippe V le Long, une « Dame de Courpalay ».

    XVIIe siècle

    Courpalay se nommait au XVIIe siècle Courpalay-en-Brie[46], et était l'un des fiefs de la famille d'Aubusson.

    XIXe siècle

    Le Marquis de la Fayette a résidé au château de la Grange Bléneau et a été député-maire de Courpalay, notamment lors des Cent-jours, en 1815.

    On lui doit la création de la première école du village[47],[48].

    XXIe siècle

    De juin à septembre 2000, le village s'est rebellé contre le passage des milliers de camion-citernes qui transitent chaque mois sur la D201[49].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune de Courpalay fait partie de la Communauté de communes du Val Briard depuis le .

    Elle faisait précédemment partie de la communauté de communes les Sources de l'Yerres.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1914 1918 Louis Honore Narce   Professeur des écoles
    1927 1965 Marcel Chatriot DVD-RPR Conseiller général du Canton de Rozay-en-Brie (1967-1979)
    1977 1995 Gérard Demazure   Agriculteur
    1995 1996 Denis Rabourdin   Médecin
    1996 2008 Anne Boussard   Médecin
    mars 2008 mars 2012 Charlie Saadia   Entrepreneur
    6 avril 2012 juin 2015 Bernadette Goasdoué   Retraitée de la fonction publique territoriale
    juillet 2015 2020 Michel Prudon   Chef d'entreprise
    2020 En cours Thierry Herry[50]   Gérant de société

    Le conseil municipal a été dissous par décret du 16 février 2012[51]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [52],[53].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Courpalay gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[54].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. La communauté de communes Val Briard (CCVB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[54],[56].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [54],[57].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[59].

    En 2019, la commune comptait 1 294 habitants[Note 8], en diminution de 10,7 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900953900978968917981965948
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    900895904843868849857856840
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    855784739652656630579665603
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7167236376551 1351 2691 3601 3741 425
    2017 2019 - - - - - - -
    1 3231 294-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La commune héberge une piscine intercommunale découverte estivale, ouverte habituellement de juin à septembre.

    La piscine est cependant fermée[62] depuis le transfert de la compétence "réhabilitation, aménagement, maintenance et exploitation" en juin 2010[63], à l'EPCI des Sources de L'Yerres.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 517, représentant 1 513 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 790 euros[64].

    Emploi

    En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 147, occupant 653 actifs résidants (dont 16,7 % dans la commune de résidence et 83,3 % dans une commune autre que la commune de résidence).

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72 % contre un taux de chômage de 7,5 %. Les 20,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,1 % de retraités ou préretraités et 4,2 % pour les autres inactifs[65].

    Entreprises et commerces

    Au 31 décembre 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 94 dont 10 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 16 dans la construction, 25 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 17 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 14 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 5 étaient relatifs aux autres activités de services[66].

    • Le village dispose de deux campings, l'un au cœur du village[67], à côté de la piscine intercommunale, et l'autre dans le hameau de Grand-Bréau[68].
    • Il est brassé à Courpalay un ensemble de bières, issues d'une production agricole locale, par l'entreprise Brasserie Rabourdin[69], sous la marque phare "Bière de Brie" depuis 2001[70]. Cette bière a été une vingtaine de fois médaillée au Concours Général Agricole de Paris depuis 2003[71].

    En 2020, 17 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 14 individuelles.

    Agriculture

    Courpalay est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[72].

    • Il y a une activité maraichère de fruits et légumes de saisons en vente directe à la Ferme de la Carrière[73].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[74]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 10 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 93 ha en 1988 à 125 ha en 2010[72]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Courpalay, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Courpalay entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[72],[Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 14 13 10
    Travail (UTA) 42 24 17
    Surface agricole utilisée (ha) 1 299 1 323 1 247
    Cultures[75]
    Terres labourables (ha) 1 272 1 301 1 246
    Céréales (ha) 748 747 827
    dont blé tendre (ha) 555 529 489
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 153 61 s
    Tournesol (ha) 46
    Colza et navette (ha) s 24 82
    Élevage[72]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 18 9 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    • Le château de La Grange-Bléneau, XIVe siècle,  Inscrit MH (1942)[76].
    • L'église Saint-Martin ; de l'édifice du XIIIe siècle il ne reste que quelques éléments. À l'intérieur on peut voir une statue en bois polychrome du XIIIe siècle : La charité de saint Martin.
    • L'ancien monastère de Cordoux datant de l'époque médiévale ; construction en grès, meulière et ciment.
    • Le Silo à grain, 22 rue Lafayette ; le silo édifié en 1937-1938 en béton armé par l'architecte Roger Gilbert,  Inscrit MH (1998)[77].
    Après la constitution de la coopérative de Courpalay en 1934, la construction du silo est confiée à l'architecte Roger Gilbert et à l'entreprise Cogeba. Le bâtiment comprend le silo, prévu pour une capacité de 12800 quintaux, et un magasin, destiné à stocker 2200 quintaux en sacs. À partir des années 1960, il faut ajouter à la collecte du blé, le colza, les nouvelles céréales, puis le maïs. Un nouveau magasin de stockage, également en béton armé, est construit à droite du bâtiment principal. Le silo est toujours en activité.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé: au 1er de gueules à la bande d'or et à la bordure de vair, au 2e d'or au rencontre de taureau de sable, accorné d'argent, lampassé de gueules et couronné d'or, au 3e d'argent à trois tourteaux de gueules, au 4e de gueules à saint Martin à cheval, partageant son manteau avec un mendiant, le tout d'or[82].
    Ornements extérieurs
    Timbré d'une couronne murale d'argent et soutenu de gerbes de blé d'or, croisées et liées de gueules en sautoir à la pointe.
    Détails
    Reprend en 1) les armes de La Fayette, seigneur de la commune ; en 2) celles de la princesse de Mecklembourg qui passe à Courpalay en 1837 ; en 3) celles des Courtenay*, seigneurs de la commune. Le quatrième quartier évoque saint Martin, patron de la commune.
    * Les Courtenay portent cependant d'or à trois tourteaux de gueules et non d'argent.
    Figure sur le site de la commune[83].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 22, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Courpalay », p. 1322–1324

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Courpalay - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. fr.distance.to, consulté le 24 novembre 2021
    2. « Courpalay » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. « Plan séisme consulté le 26 novembre 2021 ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Bernay-en-Brie (F4724000) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yvron (F4730600) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vallière (F4737000) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Cordoux (F4738000) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Cormier (F4738100) ».
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Fleury (F4736700) ».
    10. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 20 juin 2019
    11. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    12. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    13. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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