Couze-et-Saint-Front

Couze-et-Saint-Front est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Couze et Saint-Front.

Couze-et-Saint-Front

Le village de Couze-et-Saint-Front.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Jean-Paul Alloitteau
2022-2026
Code postal 24150
Code commune 24143
Démographie
Gentilé Couzots
Population
municipale
725 hab. (2019 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 45″ nord, 0° 42′ 15″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 143 m
Superficie 8,19 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lalinde (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Couze-et-Saint-Front
Géolocalisation sur la carte : France
Couze-et-Saint-Front
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Couze-et-Saint-Front
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Couze-et-Saint-Front
Liens
Site web www.couze-et-saint-front.fr

    Géographie

    Généralités

    La commune de Couze-et-Saint-Front est située au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois.

    Le village de Couze-et-Saint-Front, à l'intersection des routes départementales (RD) 37 et 660, se situe, en distances orthodromiques, trois kilomètres à l'ouest de Lalinde et dix-huit kilomètres à l'est de Bergerac.

    Le territoire communal est également desservi au nord-est par la RD 29 et au nord-ouest par la RD 37E1.

    Entre Lalinde et Lanquais, le sentier de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal sur environ cinq kilomètres, du nord-est à l'ouest, passant devant les trois églises de la commune. Au nord-est, le GR 6E débute au pont de Lalinde en direction de Saint-Avit-Sénieur.

    Communes limitrophes

    Couze-et-Saint-Front est limitrophe de six autres communes.

    Communes limitrophes de Couze-et-Saint-Front
    Baneuil Lalinde
    Varennes Pontours
    Lanquais Bayac

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Couze-et-Saint-Front est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 806 - Bergerac » et « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Couze-et-Saint-Front.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 25 m[6] au nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Varennes et Baneuil, et 143 m[6] au sud, au lieu-dit Pécoral[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,19 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,25 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne, la Couze et un petit cours d'eau qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne en limite d'Ambès et Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16],[17]. Elle borde la commune au nord sur plus de quatre kilomètres et demi, face à Lalinde.

    La Couze, d'une longueur totale de 30,09 km, prend sa source dans la commune de Pays de Belvès (territoire de l'ancienne commune de Fongalop[18]) et se jette dans la Dordogne en rive gauche au nord du bourg de Couze-et-Saint-Front, face à Lalinde[19],[20]. Elle arrose l'ouest de la commune sur près de deux kilomètres, se séparant en deux bras à plusieurs reprises en formant des îles, et traversant le bourg.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 878 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[29] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[30],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne entre Lalinde à gauche et Couze-et-Saint-Front à droite.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Couze-et-Saint-Front[34],[35]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[36].

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait également partie du réseau Natura 2000[37],[38]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[37] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur environ une quarantaine d'hectares et correspond aux coteaux situés au sud de la Dordogne, face à Lalinde.

    ZNIEFF

    Couze-et-Saint-Front fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[39],[40], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Couze-et-Saint-Front est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[42],[43],[44]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lalinde, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[45] et 4 823 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[46],[47].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[48],[49].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), prairies (15,6 %), zones urbanisées (7,8 %), eaux continentales[Note 9] (5,6 %), terres arables (3,7 %)[50].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Couze-et-Saint-Front[51],[52].

    Un plan de prévention des risques (PPR) industriels a été approuvé en 2009 pour des effets thermique, toxique et de surpression concernant l'usine Polyrey implantée à Baneuil, en rive droite de la Dordogne face à Couze-et-Saint-Front, impliquant une petite partie du territoire communal, notamment au niveau de la station d'épuration[53],[54].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom Cosa e Sent Front[55].

    Histoire

    En 1829, les communes de Couze et de Saint-Front fusionnent sous le nom de Couze-et-Saint-Front[56].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[57],[58].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
     ? juillet 2002 Michel Legay    
    juillet 2002 juillet 2006 Christian Sivadon    
    juillet 2006 mars 2008 Jean Cazzitti    
    mars 2008 avril 2014 Véronique Dubeau-Valade SE[59] Gérante de sociétés
    avril 2014[60] juillet 2020 Jean-Louis Lafage DVG  
    juillet 2020 novembre 2021[61] Jean-Christophe Saint Martin[Note 10]    
    novembre 2021 février 2022 Jean-Paul Alloitteau   Premier adjoint faisant fonctions de maire
    février 2022[62],[63] En cours Jean-Paul Alloitteau    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Couze-et-Saint-Front relève[64] :

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[65].

    Population et société

    Démographie de Saint-Front

    Jusqu'en 1829, les communes de Couze et de Saint-Front étaient indépendantes.

    Évolution de la population de Saint-Front
    1793 1800 1806 1821
    270160179190
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[66])

    Démographie de Couze, puis de Couze-et-Saint-Front

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[68].

    En 2019, la commune comptait 725 habitants[Note 11], en diminution de 1,76 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6446145455161 0101 0461 001840831
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    815835920733818837842801783
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    840922911766843936886828827
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    885876921831781759773775739
    2017 2019 - - - - - - -
    716725-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[69].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Depuis 2008, Couze-et-Saint-Front est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Baneuil et Cause-de-Clérans au niveau des classes de maternelle et de primaire[70]. La commune assure la classe de petite section maternelle, les cours élémentaires et les cours moyens, les autres classes de maternelle et le cours préparatoire étant assurés par l'école de Baneuil.

    Économie

    Emploi

    En 2015[71], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 274 personnes, soit 37,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-deux) a diminué par rapport à 2010 (quarante-six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-sept établissements[72], dont trente-sept au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans l'industrie, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[73].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments historiques

    Couze-et-Saint-Front possède trois monuments historiques.

    La grotte de la Cavaille, propriété privée, présente quelques peintures rupestres datant du Périgordien. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2007[74].

    Dans le village de Couze-et-Saint-Front, les anciennes papeteries de Couze-et-Saint-Front sont inscrites au titre des monuments historiques en 1989[75]. Elles regroupent un ensemble de bâtiments protégés :

    Dans le même village, le moulin de Larroque est inscrit au titre des monuments historiques en 2013[83].

    Autres monuments remarquables

    Trois églises se trouvent sur la commune :

    • l'église Saint-Front de Colubry (ou Colubri)[84], en haut de la falaise, domine la Dordogne et fait face à la bastide de Lalinde,
    • l'ancienne église Saint-Pierre de Couze remonte au XIIe siècle. Elle présente un clocher-mur et un enfeu[85]. Elle a été remplacée par
    • l'église Saint-Étienne à la fin du XIXe siècle[86].

    Musée

    • Écomusée du Papier, visite du moulin créé en 1534[87].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Décédé en fonctions.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Couze-et-Saint-Front » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Couze-et-Saint-Front » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Couze-et-Saint-Front », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Couze-et-Saint-Front », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Couze-et-Saint-Front », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 28 juillet 2022)..
    17. Sandre, « la Dordogne »
    18. Carte de randonnée de l'IGN no 1937 E.
    19. « Confluence Couze-Dordogne au sud de Port de Couze » sur Géoportail (consulté le 28 juillet 2022)..
    20. Sandre, « la Couze »
    21. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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    24. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    26. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    27. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    87. Tourisme industriel & Découverte économique
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