Cras (Lot)

Cras est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Pour les articles homonymes, voir Cras.

Cras

L'oppidum de Murcens.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat
Maire
Mandat
Michel Bonhomme
2020-2026
Code postal 46360
Code commune 46079
Démographie
Gentilé Crasois[1]
Population
municipale
102 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 07″ nord, 1° 32′ 02″ est
Altitude 317 m
Min. 170 m
Max. 383 m
Superficie 10,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cras
Géolocalisation sur la carte : France
Cras
Géolocalisation sur la carte : Lot
Cras
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Cras

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Vers, la Rauze et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Cras est une commune rurale qui compte 102 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 085 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Crasois ou Crasoises.

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Cahors située dans le Quercy des contreforts du Causse de Gramat, à 21 km au nord-nord-est de Cahors.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 934 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[17]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[18],[19]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[20],[21].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires »[23], d'une superficie de 4 807 ha, présentant, en zone alluviale, un intérêt majeur pour des prairies de fauche souvent riches en orchidées (Dactylorhiza sesquipedalis, Orchis laxiflora, ponctuellement Coeloglossum viride) et constituant le biotope de Lycaena dispar[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25] : la « vallée de la Rauze et vallons tributaires » (1 377 ha), couvrant 6 communes du département[26] et la « vallée du Vers » (3 782 ha), couvrant 11 communes du département[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Cras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[I 1],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), prairies (38,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,9 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Cras est dérivé du pré-indo-européen kar qui signifie la pierre, le rocher[31].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    En 1255, Barthélémy, évêque de Cahors fait don de l'église de Cras et de celle de Saint-Laurent à frère Raimbaut de Caromb, maître de la province templière de Provence[32]. Compte-tenu de son emplacement et du fait que cette charte figure dans les archives de Carnac, on pourrait supposer qu'elle a dépendu à un moment donné de la maison du Temple de Carnac, elle-même rattachée à celle de Cahors. Pourtant les templiers possédaient entre autres un moulin près du pont de Marquefave que l'on voit inféodé cinq ans plus tôt par le commandeur de la baillie du Temple de La Capelle-Livron car il était désaffecté, ceci avec l'approbation du commandeur templier de Cras. Puis on trouve en 1276-77 un commandeur templier des maisons du Bastit et de Cras[33]. Au XVIIIe siècle, Cras appartenait toujours au Bastit du Causse[34], une autre commanderie devenue hospitalière depuis la dévolution des biens de l'ordre du Temple. Cette dernière faisant alors partie du grand prieuré de Saint-Gilles et de la langue de Provence. En 1741, la propriété des Hospitaliers faisant une vingtaine d'hectares et comprenait le château, l'église, la basse-cour ainsi que des granges et les champs et prés dits de Laborie, Pré Redon et La Raymondie[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1795 Louis Pegourie    
    1795 1808 Antoine Lapergue    
    1808 1814 Blaise Lagarrigue    
    1814 1816 Pierre Seppe    
    1816 1830 Raymond Marron    
    1830 1835 Jean Saulacroup    
    1835 1848 Raymond Marron    
    1848 1849 Antonin Parrot    
    1849 1852 Raymond Ferrie    
    1852 1852 Raymond Marron    
    1852 1853 Alithe Marron    
    1854 1860 Jean Carbonel    
    1860 1864 Alithe Marron    
    1865 1870 Alain Lalo    
    1870 1876 Michel Miquel    
    1876 1878 Alain Lalo    
    1878 1881 Jean Bertrand    
    1881 1892 Alain Lalo    
    1892 1893 Jean Bertrand    
    1893 1902 Pierre Rouquie    
    2001 En cours Michel Bonhomme    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2019, la commune comptait 102 habitants[Note 8], en augmentation de 7,37 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6099209401 0851 009966986918906
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    887787552520509475408433432
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    415380330250219196185148121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1069384706270878994
    2017 2019 - - - - - - -
    103102-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]1,7 %6,3 %9,7 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 61 personnes, parmi lesquelles on compte 79 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 9,7 % de chômeurs) et 21 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 8].

    Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 10] sont implantés à Cras au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 13 entreprises implantées à Cras), contre 13,9 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations9863
    SAU[Note 11] (ha)183249234243

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 243 ha[43],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bibliographie

    • Jacques Juillet, Templiers et hospitaliers en Quercy : commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Le Mercure Dauphinois, , 4e éd., 332 p. (ISBN 978-2-35662-213-6, présentation en ligne), p. 61-...
    • Annie Charnay, « La commanderie des Templiers du Bastit de 1250 à 1315 », dans Etudes sur le Quercy et les commanderies des ordres militaires : actes du XLIIe Congrès d'études régionales organisé par la Société des études du Lot à Souillac et Martel les 19, 20 et 21 juin 1987, Fédération des Sociétés académiques et savantes de Languedoc-Pyrénées-Gascogne, (présentation en ligne), p. 138-...
    • Adrien Martinaud, « Le bornage des possessions de la commanderie du Bastit (1693-1741) », Bulletin de la société des études du Lot, t. CVII, , p. 217-221, lire en ligne sur Gallica

    Notes et références

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. https://www.habitants.fr/lot-46
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cras et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Cras et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    21. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300910 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « vallée de la Rauze et vallons tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « vallée du Vers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    32. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. 554, LXVIII (doc. 101), lire en ligne sur Gallica
      « ecclesiam villae de Cratz ».
      .
    33. Charnay 1988, p. 139.
    34. Martinaud 1986.
    35. Martinaud 1986, p. 220.
    36. « Les maires de Cras », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    41. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    42. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    43. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Cras - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

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