Deycimont
Deycimont est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.
Deycimont | |
Vue de Deycimont en automne. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Épinal |
Intercommunalité | Communauté de communes Bruyères - Vallons des Vosges |
Maire Mandat |
Éric Aubry 2020-2026 |
Code postal | 88600 |
Code commune | 88131 |
Démographie | |
Gentilé | Rouge-Fournant |
Population municipale |
307 hab. (2019 ) |
Densité | 49 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 10′ 08″ nord, 6° 39′ 03″ est |
Altitude | Min. 383 m Max. 587 m |
Superficie | 6,32 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Épinal (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bruyères |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune |
Ses habitants sont appelés les Rouges-Fournants.
Géographie
Localisation
Au cœur de la vallée de la Vologne entre Lépanges et Docelles, le village, traversé par les ruisseaux la Bouillante et le Rupt du Void (respectivement affluent et sous-affluent de la Vologne), s'appuie sur le massif du Recreux.
Les écarts principaux sont le Faing Vairel et Aligoutte, mais on distinguait autrefois d'autres écarts aujourd'hui plus ou moins rattachés au "Centre": le Rupt-du-Void, le Moulin, la Creuse…
Communes limitrophes
- Massif du Recreux.
- Vue actuelle de l'écart du Rupt-du-Void.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Vologne, le ruisseau de Faing Vairel et le ruisseau de St Nicolas[1],[Carte 1].
La Vologne prend sa source à plus de 1 240 mètres d'altitude, sur le domaine du jardin d'altitude du Haut-Chitelet, entre le Hohneck et le col de la Schlucht, et se jette dans la Moselle à Jarménil, à 358 m d'altitude[2].
- La Vologne à Deycimont.
- Réseaux hydrographique et routier de Deycimont.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Deycimont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,7 %), prairies (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), terres arables (11,4 %), zones urbanisées (4,7 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Histoire
Origines
Deycimont s'écrivait également autrefois Décimont, Deycymont, Decii Mons ou Deyecimont. Son étymologie est peu claire. D'après J.-C. Diedler, elle viendrait de Dei Jacum Coementium (ou la pierre du domaine de Dieu) en référence aux pierres de la roche du Fournel.
Une deuxième interprétation fait dériver ce nom de Deciacus (ou Decii Jacus) Mons (c'est-à-dire la montagne du domaine de Decius).
Sont également évoquées au XIXe siècle les dix montagnes qui entourent le village comme origine du nom.
Le village est cité dans les archives du chapitre de Remiremont dès 1232 sous le nom de Deceimonte lorsque le duc de Lorraine Mathieu II fait des concessions à l'abbesse de Remiremont pour des impôts indus prélevés dans les "bans de Girancort (Girancourt), Deceimonte (Deycimont) et Bruerulis (Brouvelieures)". Cependant ses origines sont sans doute plus lointaines. L'occupation du territoire communal remonte certainement à l'époque celtique ou au moins romaine comme en témoignent des monnaies gauloises trouvées sur le territoire de la commune (potin leuque "à la tête d'indien" du type Scheers 1.C) ainsi que les quelques vestiges du début de notre ère (monnaie romaine de l'empereur Trajan Dèce) et borne solaire retrouvée dans les murs de l'ancien presbytère).
Un site important : la Tête du Fourneau
Les monnaies gauloises furent découvertes au lieu-dit de la Tête du Fourneau, aussi appelée Roche du Fournel, dans le massif du Recreux, qui donne aux habitants leur nom de Rouges-Fournants. Selon la thèse du docteur Jean-Claude Diedler, on y trouvait peut-être dès le VIIIe siècle av. J.-C., un camp analogue au camp celtique de la Bure, avec un atelier de fonte du métal repris par la suite par des forgerons celtes.
On trouve sur le site une roche, dite du Recreux, percée de part en part d'une grotte, à travers laquelle est observable le phénomène du lever du soleil au solstice d'été. Selon Hervé Claudon[10], cette grotte, en partie creusée par la main de l'homme, serait le témoignage d'un culte solaire pré-chrétien.
Au Moyen Âge, on y brûlait des tas de feuilles (fournel) lors de rites de fécondité, au XVe siècle y subsiste une chapelle dédiée à saint Roch invoqué pour la guérison de la peste, mais dont aucun vestige ne subsiste.
Histoire depuis le Moyen Âge
Les habitants devaient faire le guet au château de Saint-Jean qui appartenait au comte de Girecourt et s'occupaient également d'amener du bois au chauffour (four à chaux) du château de Bruyères.
Le lieu-dit Châtillon, surplombant le hameau du Rupt-du-Void, abritait peut-être un habitat fortifié occupé par un membre de la famille de Girecourt.
Deycimont était en outre située à un carrefour sur la route des vins qui traversaient la prévôté de Bruyères. En effet c'est à cet endroit que passait la route qui menait de Bruyères à Arches en suivant la vallée de la Basse Vologne et la route qui menait à Épinal en passant par Le Roulier et Charmois.
La communauté fut exemptée du cens par le seigneur Humbert de Girecourt en 1696.
Étymologie des toponymes et hydronymes
- Rupt-du-Void (Hameau) : le nom du hameau dérive de celui du ruisseau.
- Rupt du Void : qui signifie en ancien français Ruisseau du Voué ; dénomination en référence sans doute au duc de Lorraine qui était le seigneur-voué du chapitre de Remiremont ou, sinon, en référence à l'habitat seigneurial qu'on suppose avoir existé à Châtillon.
- Plateau de Joinfaing : plateau du jeune pré.
- Les Prés du Seigneur : prés qui appartenaient au seigneur de Girecourt, et dont les redevances furent abolies en 1696.
- Faing Vairel : le pré de Vairel.
- Champ Berquamp : nom propre.
- Châtillon : vient de Castellum, château en latin.
- Sous la ville : lieu le plus bas du village, marécageux à cause de la Bouillante.
- La Creuse : vient peut-être de la présence d'une ancienne forge.
- Le Moulin : lieu du moulin construit dans les années 1611 par les frères Xeulley.
- Le Haut du Mont : endroit situé sur les hauteurs du village, sur le chemin qui mène au Recreux.
- Le Haut Meix.
- Les Moises du Mont.
- Champ du Jardin.
- Champ le Fève.
- Vaudrichamp.
- le Beha.
- Au Mehi.
- Meix de l'Âte : sa proximité avec le cimetière le fait peut-être dériver du mot aître.
- Sous l'église : champs situés en contrebas de l'éminence portant l'église.
Politique et administration
Administration municipale
Sous l'Ancien Régime, la mairie de Deycimont faisait partie du duché de Lorraine, qui en partageait l'administration et la levée des impôts avec le chapitre de Remiremont : un censier du XIVe siècle nous informe que le chapitre prélevait la moitié des tailles sur les blés d'automne ("wayn") et de printemps ("mars" ou "trémois"), et avait également la charge de rendre la justice. Il était de la prévôté de Bruyères et du bailliage des Vosges (Mirecourt) ; puis du bailliage de Bruyères après 1698.
La haute et la basse justice appartenaient au comte de Girecourt (AD88 11T18).
Liste de maires
Situation administrative
À la Révolution, le village fut intégré au département des Vosges, au district de Bruyères et au canton de Docelles, puis au canton de Bruyères et à l'arrondissement d'Épinal. Deycimont fait actuellement partie de la 2e circonscription des Vosges (Saint-Dié) et de l'arrondissement d'Épinal.
Le village fait partie de la communauté de communes Vologne-Durbion, dont le siège est à Bruyères et dont le président est André Claudel (également maire de Lépanges-sur-Vologne).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[12].
En 2019, la commune comptait 307 habitants[Note 3], en diminution de 2,54 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,86 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Le village, comme tous les autres villages de Lorraine, a fortement subi les ravages de la guerre de Trente Ans puisque la région fut un lieu privilégié de passages et de combats.Au terme de ce conflit plus des 3/4 de la population disparut.[réf. nécessaire]
Après un demi-siècle, il récupéra sa population d'avant-guerre et connut sa plus grande expansion jusqu'au milieu du XIXe siècle où la population atteignit son maximum, avant un déclin aujourd'hui stabilisé.
Depuis la fin du XXe siècle et le début du XXIe siècle, la rurbanisation permet au village de connaître un nouvel essor démographique avec la construction d'un nombre important d'habitations et l'arrivée de plusieurs familles.
Cultes
La paroisse de sainte Menne fut créée par l'évêque de Toul (les reliques furent apportées en 1679), certainement en même temps que fut construite l'église, vers 1050-1080 selon la légende ; auparavant, le village dépendait de la paroisse de Girecourt où l'on enterrait jusque-là les morts, et de cette seigneurie dépendait également le village. La paroisse n'est toutefois attestée que dans le pouillé de 1402. En dépendaient les villages de Méménil (avant 1695), de Charmois-Le Roulier de 1695 jusqu'en 1818 et de Lépanges jusqu'en 1863, date où ces villages furent dotés d'une église et érigés en paroisse.
Le conseil de fabrique qui s'occupait de la gestion de la paroisse était relativement riche puisqu'elle avait, en 1773, un actif de près de 450 livres, ce qui est assez important pour une paroisse rurale. Une quinzaine de confréries existaient au sein de la paroisse telles que :
- Saint Jean-Baptiste ;
- Saint Pierre ;
- Sainte Anne ;
- Saint Dominique ;
- Saint Quirin ;
- Sainte Menne ;
- Saint Nicolas ;
- Sainte Agathe ;
- Saint Joseph ;
- Saint Sébastien ;
- "Confrérie de la Très Sainte Vierge Marie en son titre d'Assomption" ;
- "Confrérie de la Très Sainte Vierge Marie en son titre d'Annonciation" ;
- "Confrérie des Fidèles Trépassés" ;
- "Confrérie du Saint Rosaire" ;
- "Confrérie du Très Saint Sacrement de l'Autel".
Depuis la fin du XXe siècle et le manque de prêtres pour assurer le service religieux la paroisse a été intégrée dans la paroisse de Saint-Antoine-en-Vologne, regroupant également les anciennes paroisses Sainte-Libaire de Lépanges, Saint-Valbert de Docelles, Saint-Jean-Baptiste de Cheniménil, Sainte-Gertrude de Charmois et Le Roulier, Tendon, Rehaupal, La Baffe/Mossoux et Saint-Jean-du-Marché.
Nom | Vie | Sacerdoce à Deycimont |
---|---|---|
Claude Verquelot | 1606 | |
Claude Boissonny | ||
Gabriel Doron | 1624 | |
Jacques Lartillier | 1625 | |
Jean-François Pierrot | 1664-1672 | |
Dominique Renard | 1690-1725? | |
G. Bailly | 1725-1763 | |
Jean Doron | 1763-1791 (émigre en 1791) | |
J. Georgel | 1791-1792 | |
Jacques Balland | 1797-1804 | |
Jean Thomas Petitjean | 1809 | |
Cœurdacier | 1824-1825 | |
Marchal | 1827-1830 | |
Jean-Baptiste Lecomte | 1801-1866 | 1836-1866 |
Joseph Marqué | 1835-1902 | 1866-1902 |
Varenne | 1903 | |
Alfred Christen | 1876-1956 | 1908-1956 |
René Vincent (intérim) | 1956 | |
Joly |
Nom | Vie | Sacerdoce | Paroisse d'origine (si déjà en place lors du regroupement) |
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René Grivel | Lépanges | ||
Hubert Grandadam | Tendon | ||
André Romary |
Économie
Le village est historiquement peuplé de paysans, mais on trouvait encore au XIXe siècle, voire au cours du XXe siècle, une féculerie au Faing Vairel, une fromagerie à la Creuse et deux cafés. Un moulin a existé dès l'époque moderne, aux mains de la famille Mathis ; un second construit en 1611 par les frères Xeulley finit par ruiner le premier.
De nos jours, son économie est essentiellement et traditionnellement agricole avec six exploitations, mais possède également une entreprise de textile, secteur traditionnel de la région. Un artisan (électricien) et un mécanicien agricole exercent également dans la commune. La majorité des habitants travaillent toutefois hors des limites de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Site de la Tête du Fourneau.
- Roche des Gaulois (580 m) dédiée au culte de l'eau.
- Maisons du XVIIe siècle.
- Église Sainte-Menne du XIe siècle reconstruite entre 1710 et 1713.
Personnalités liées à la commune
- Jean Hubert Houël, né à Deycimont le 14 germinal an X (), mort à Saint-Dié le , avocat, maire de Saint-Dié (1830-31), député des Vosges (1848-52). Il fit partie des députés emprisonnés après le coup d'État du 2 décembre 1851 pour avoir signé la déchéance et la mise en accusation du président Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III. Il renonça à la politique après cette courte détention.
Pour approfondir
Bibliographie
- Jean Chaumont, Bruyères et sa contrée, Haroué, PLI- Gérard Louis, Collection Entre temps, 2001
- Jean-Claude Diedler, article sur le village de Deycimont
- Archives de la commune de Deycimont
- Archives départementales des Vosges (G 848, G 858...)
- Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
- Raphaël Tassin, Les Églises de la prévôté de Bruyères. Réfections et reconstructions (1661-1789), Langres, Éditions Dominique Guéniot, 2010[15].
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Site de la Communauté de communes Bruyères - Vallons des Vosges
- INSEE, « Deycimont: chiffres clés publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques. Dossier complet », sur Insee.fr (consulté le ).
- IGN, « Deycimont sur le site de l'Institut géographique national », sur IGN (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du Ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine.
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Grand Est.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Deycimont » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
Références
- « Fiche communale de Deycimont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- Sandre, « la Vologne »
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mémoire des Vosges no 4 (2002), édité par la Société philomatique vosgienne, Saint-Dié-des-Vosges.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Site des éditions Guéniot.
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