Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac

Vue (en arrivant de l'Est) du village médiéval de Durfort, avec sa tour, le temple à sa droite et le clocher de l'église à sa gauche.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Robert Condomines
2020-2026
Code postal 30170
Code commune 30106
Démographie
Population
municipale
728 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 29″ nord, 3° 57′ 22″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 324 m
Superficie 16,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
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Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
Géolocalisation sur la carte : Gard
Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Rivière Crespenou, le ruisseau de Crieulon, le Conturby, le ruisseau de Banassou et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune rurale qui compte 728 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Durnacois ou Durnacoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Durfort, inscrit en 2008.

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à l'ouest du département du Gard, à 43 km de Nîmes et à 22 km d'Alès, entre Sauve et Anduze. Il est situé sur les contreforts des Cévennes à une altitude plutôt basse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 037 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Conqueyrac », sur la commune de Conqueyrac, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 123,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 37 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[13] : la « mare de Vibrac » (20 ha), couvrant 3 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[13] : les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[I 1],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,8 %), cultures permanentes (26 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), prairies (4,1 %), zones urbanisées (1,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Occitan Dur-Fort, du roman Durfort, Dufort, Dulfort, du bas latin Castrum de Duroforti[19].

    Saint-Martin-de-Saussenac, en 1548. Parrochia Sancti Martini, in Terminio Andusanico, en 1037 [31]

    Histoire

    Moyen Âge

    Le château de Durfort remontait au XIIIe siècle. Il a été détruit et vendu à l'époque de le Révolution[20].

    Époque contemporaine

    La commune actuelle est le fruit de la fusion, par décret du [20], des deux communes voisines de Durfort et de Saint-Martin-de-Saussenac[20],[21], peuplées respectivement, au recensement de 1861, de 988 et de 87 habitants[21]. Cette dernière commune porta, à partir de la Révolution française et durant le XIXe siècle, le nom de Saussenac[21],[20].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 2001 Louis Caucanas PS Conseiller général du canton de Sauve (1997-2008)
    2001 2014 Stéphane Allut DVD Expert-Comptable
    2014 En cours Nicole Pratlong DVG Employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2019, la commune comptait 728 habitants[Note 7], en augmentation de 0,28 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    852846864907965922932926984
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    973988946902873766757741755
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    813977712611571574538517505
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    471454410388492595651645729
    2015 2019 - - - - - - -
    689728-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population de Saint-Martin-de-Sossenac était, avant la fusion avec Durfort de 1862: 116 en 1793, 84 en 1800, 87 en 1806, 99 en 1821, 109 en 1831, 89 en 1836, 102 en 1841, 160 en 1846, 100 en 1851, 91 en 1856, 87 en 1861[25].

    Manifestations culturelles et festivités

    Une fête votive organisée a lieu chaque année en juin[réf. souhaitée].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 319 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 674 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 330 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]12 %11,1 %12,5 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 421 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (61,5 % ayant un emploi et 12,5 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 77 emplois en 2018, contre 99 en 2013 et 110 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 265, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 10].

    Sur ces 265 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    61 établissements[Note 10] sont implantés à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble61
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    34,9 %(7,9 %)
    Construction1321,3 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1931,1 %(30 %)
    Information et communication23,3 %(2,2 %)
    Activités immobilières11,6 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1524,6 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    23,3 %(13,5 %)
    Autres activités de services69,8 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,1 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 61 entreprises implantées à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4724135
    SAU[Note 12] (ha)70035514168

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (47 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 68 ha[28],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine locaux

    Édifices civils

    • Village médiéval : une tour d'époque offrant une vue typiquement méridionale que l'on peut visiter une fois par an, vers le .

    Édifices religieux

    L'« éléphant de Durfort », le spécimen de mammouth méridional le plus complet découvert en France, fut trouvé dans la commune de Durfort en 1869. Il est exposé à Paris, au Muséum national d'histoire naturelle.

    Patrimoine géologique et paléontologique

    À 1 km du village de Durfort est découvert en 1869[29] un squelette complet de mammouth méridional (Mammuthus meridionalis) dont l'ancienneté est estimée à 2 millions d'années[30]. Il est exposé au Muséum national d'histoire naturelle de Paris.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé, au premier et au quatrième, d'argent à la bande d'azur ; au deuxième et au troisième, de gueules[20].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Conqueyrac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac et Conqueyrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Conqueyrac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « mare de Vibrac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « plaines de Pompignan et du Vidourle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 832, t. 1
    20. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 75-76
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    25. cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=33382
    26. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    27. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Détails et illustrations du lieu de la découverte », sur geosciencesetarcheologieenpaysdoc.midiblogs.com (consulté le )
    30. Marylène Patou-Mathis, Histoires de mammouth, octobre 2015, Fayard, 392 pages, (ISBN 978-2213681115).

    31 -Dictionnaire topographique du Gard, M.E. Germer-Durand, p. 219, Paris DCCCLXVIII.

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