Monoblet
Monoblet est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.
Monoblet | |
![]() Les Jumelles de Monoblet, 2018 | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol |
Maire Mandat |
Philipe Castanon 2020-2026 |
Code postal | 30170 |
Code commune | 30172 |
Démographie | |
Population municipale |
758 hab. (2019 ![]() |
Densité | 36 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 00′ 05″ nord, 3° 53′ 13″ est |
Altitude | Min. 173 m Max. 600 m |
Superficie | 21,33 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Quissac |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Rivière Crespenou, le Conturby, le ruisseau de Valestalière et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monoblet est une commune rurale qui compte 758 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Monoblétois ou Monoblétoises.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit autres communes :
Géologie et relief
Le relief monoblétois est constitué de collines. Deux collines proches, Rouquette et Saint-Chamand, de taille et de forme équivalentes, sont communément appelées Les Jumelles et sont emblématiques du village[1].
Hydrographie
Une rivière, le Crespenou, prend sa source à Monoblet même[2].
Six ruisseaux traversent également la commune :
- Le Conturby
- Le ruisseau de Valestalière
- Le ruisseau de Garonne
- Le ruisseau des Tuileries
- Le ruisseau de Ribou
- Le Russargues[3]
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[4].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colognac », sur la commune de Colognac, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 515,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 42 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[15].
Voies de communication et transports
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Monoblet est traversé par les départementales 122, 133, 185 et 213.
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[19].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[20],[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[22] :
Urbanisme
Typologie
Monoblet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 1],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,1 %), cultures permanentes (2,2 %), zones urbanisées (1,2 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Provençal Mounoublet, Manoublet, du roman Monoblet, du bas latin Monobletum, Monogletum, Monoguletum[28].
Histoire
Moyen Âge
Le village est mentionné sous le nom de Sanctus-Johannes de Monoguleto en 1320 dans les papiers de la famille Daudé d'Alzon, et sous le nom de Monogletum en 1384 dans le dénombrement de la sénéchaussée[29].
Religion

Les Montèzes, un hameau rattaché à la commune de Monoblet, a été le théâtre du premier synode du désert, le . Cet événement, en réaction à la révocation de l'Édit de Nantes en 1685, a été décisif pour l'avenir des Églises réformées. Un jeune prédicant, Antoine Court, l'a présidé. Après cette réunion des Montèzes, plusieurs synodes provinciaux se sont réunis en 1717, 1718, 1720 et 1721[30].
Commerce et industrie
L'industrie de la soie tient une place importante à Monoblet. Mais le , quand un arrêt du Conseil fixe des règles strictes concernant la fabrication de bas de soie au métier à tisser, seules Nîmes et Uzès sont désignées autorisées à en confectionner[31]. Une décision qui provoque des oppositions de la part des fabricants des autres villes.
Le , sur initiative de Nîmes, les bonnetiers de Monoblet et d'autres villes et villages (dont Saint-Hippolyte, Ganges, Sauve, Anduze, Lasalle, Le Vigan) signent une convention qui les autorise à fabriquer des bas de soie au métier à tisser (chose qu'ils faisaient déjà, à contre-courant de l'arrêt de 1700) et les met en même temps sous le joug des bonnetiers de Nîmes. Ils doivent se faire recevoir maîtres dans la communauté de Nîmes, se soumettre à leurs règlements et participer à leurs dépenses[32].
Révolution française et Empire
En 1828, Monoblet compte 1 040 habitants dont 950 réformés, mais pas de temple. Le culte réformé se célèbre en plein air ou dans les granges[33].
Ce n'est qu'en 1843 que le temple de Monoblet est construit[34].
Époque contemporaine
De 1967 à 1996, Fernand Deligny a vécu à Monoblet, dans le hameau des Graniers, développant des manières novatrices de prendre en charge les enfants autistes[35].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 758 habitants[Note 7], en augmentation de 12,63 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
L'école maternelle et primaire de Monoblet, rattachée à l'académie de Montpellier (zone C), compte 97 élèves[40].
Santé
Plusieurs professionnels de santé exercent à Monoblet. On compte notamment un cabinet d'infirmières[41].
Manifestations culturelles et festivités
Des fêtes votives sont organisées en été à Monoblet[42],[43],[44].
Depuis 2000, le temple de Monoblet accueille une exposition annuelle de peinture intitulée "D'ici et d'ailleurs". Elle regroupe essentiellement des artistes originaires de Monoblet et de ses alentours[45],[46].
De fin 2017 à début 2020 une petite vitrine ornée de peluches animées et autres créations originales égaie le hameau des Montèzes[47].
Cultes
Monoblet dispose d'une église et d'un temple.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, Monoblet comptait 258 ménages, et son revenu fiscal médian par ménage était de 21 751 €.
Monoblet était alors au 29 470 e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[I 4].
Emploi

En 2014, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 437 personnes, parmi lesquelles on comptait 70,1 % d'actifs. 47 personnes étaient au chômage, soit 15,2 % des actifs de cette tranche d'âge.
On comptait 183 emplois dans la zone d'emploi, contre 157 en 2009. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 261, l'indicateur de concentration d'emploi est de 69,8 %[I 5].
Entreprises
En 2015, Monoblet comptait 108 établissements actifs : 88 étaient sans salarié, 19 avaient entre 1 et 9 salariés et un avait entre 10 et 19 salariés[Insee 1].
Secteurs d'activités
En 2015, parmi ses 108 établissements actifs, Monoblet comptait 52 établissements dans les commerces et services, 17 dans la construction, 16 dans l'agriculture et 16 dans l'administration publique[Insee 1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les lieux suivants se trouvent à Monoblet :
- le temple protestant octogonal à l'orée du village, lieu de diverses manifestations culturelles : expositions de peinture[45],[46], concerts, soirées contes ;
- l’église Saint-André proche de la mairie ;
- le dolmen du Col de l'Aubret.
Un article de 1904 évoque un dolmen situé à proximité du hameau des Graniers[48].
Il est également à noter qu'il existe dans le hameau des Montèzes un chemin menant au château de Fressac.
- Le château de Blanquiès. Hameau qui domine le vallon de Valestalière. Vers 1900, une des maisons du hameau a fait l'objet de l'ajout de deux tours, l'une carrée l'autre ronde, lui donnant une allure de Château. Cette propriété appartenait à la famille de Pépin, qui descend d' Antoine Pépin, ministre de la parole de Dieu à Monoblet, en 1583. Puis elle passe au noble Jean de Pépin, sieur du Cayla, époux de Domergue de Folaquier, fille du seigneur de La Calmette, puis au noble Théodore de Pépin, seigneur de Monoblet, sieur de Fontsèque, au XVIIe siècle. En 1700, un arrêt du parlement, parle de "Théodore de Pépin, inféodataire du mas des Boquiers ou Blanquiers, dans le terroir de Valestalière". Au 19eme siècle, la famille Moutier est propriétaire de la plus grande partie du hameau de Blanquiers. Puis au cours du 19ème siècle, l'ensemble passe à la famille Dadre qui détenait déjà une maison du hameau, elle lui a donné son aspect actuel.
- Église Saint-André de Monoblet
- Temple de Monoblet
- Château de Blanquiès. Propriété de la famille Dadre
- Le château de Fressac, accessible depuis un chemin partant du hameau des Montèzes (Monoblet)
- Dolmen du Col de l'Aubret
- L'arrivée aux Montèzes depuis Monoblet
Personnalités liées à la commune
- Max Olivier-Lacamp (1914-1983), journaliste et écrivain. Il a vécu à Monoblet dont une rue porte son nom.
- Alain Duhamel (1940), journaliste politique et essayiste. Il séjourne à Monoblet depuis 1967 et s'y est marié[49].
- Ysabelle Lacamp (1954), écrivain. Elle a vécu à Monoblet[50].
- Eve Luquet, artiste.
- Fernand Deligny, a travaillé auprès d'enfants autistes dans le hameau des Graniers et est mort à Monoblet[51].
Héraldique
![]() |
Blason | D'argent, à un griffon de gueules[29]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- monoblet.fr Site officiel
- « Monoblet (Communauté de Communes Cévennes-Garrigue) », sur www.cevennes-garrigue.fr (consulté le )
- « Monoblet (office de tourisme intercommunal Cévennes-Garrigue) », sur www.cevennes-garrigue-tourisme.com (consulté le )
- « Monoblet sur le site de Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Monoblet », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Notes de type "I"
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 », sur https://www.insee.fr (consulté le ).
- « Dossier complet - Commune de Monoblet (30172) », sur https://www.insee.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- Caractéristiques des établissements au 31 décembre 2015 (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2021289).
Autres sources
- « MONOBLET », sur https://piemont-cevenol-tourisme.com (consulté le ).
- « Etude de détermination des volumes prélevables - BASSIN VERSANT DU VIDOURLE - Phases 1, 2 et 3 », sur http://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « L'eau dans la commune : MONOBLET (30) », sur http://sierm.eaurmc.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Colognac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monoblet et Colognac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Colognac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monoblet et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Edgard », sur http://www.edgard-transport.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Monoblet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « plaines de Pompignan et du Vidourle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 363, t. 2
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 138
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- Line Teisseyre-Sallmann, L'industrie de la soie en Bas-Languedoc : XVIIe – XVIIIe siècles, Paris, Ecole Nationale des Chartes, , 417 p. (ISBN 978-2-900791-12-7, lire en ligne), pages 171 à 174.
- Statistique des Églises réformées en France. Suivie des lois, arrêtés, ordonnances, circulaires et instructions qui les concernent, de l'indication des sociétés religieuses et des écoles, avec un tableau général (lire en ligne), page 77.
- Patrick Cabanel (dir.), Itinéraires protestants en Languedoc du XVIe au XXe siècle. Tome I : Les Cévennes, Presses du Languedoc, , 479 p. (ISBN 978-2-85998-194-5, lire en ligne), page 402.
- Jean Milhau, « La route de Monoblet », VST - Vie sociale et traitements, , pp. 99-105 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « École élémentaire publique - Monoblet - Gard (30) - Ministère de l'Éducation nationale », sur http://www.education.gouv.fr (consulté le ).
- « Santé », sur http://www.monoblet.org (consulté le ).
- « Fête votive de Monoblet | Mairie de Lasalle », sur https://www.lasalle.fr, (consulté le ).
- « Fête votive de Monoblet | Mairie de Lasalle », sur https://www.lasalle.fr, (consulté le ).
- « Fêtes votives dans le Gard. Fêtes de village. En 2018 », sur https://www.nemausus.com, (consulté le ).
- « Une centaine d'œuvres à l'exposition 'D'ici et d'ailleurs' », sur https://www.midilibre.fr, (consulté le ).
- « L’exposition “D’ici et d’ailleurs” se prépare au temple », sur https://www.midilibre.fr, (consulté le ).
- « Fanfan30170 », sur http://lapetitevitrine.eklablog.net/ (consulté le ).
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- « Alain Duhamel affectionne le silence des Cévennes » (consulté le ).
- « Monoblet Ysabelle Lacamp », sur http://alexandrines.mixweb.fr (consulté le ).
- Béatrice Han Kia-ki, « Le cercle, l’O et l’eau : radeau - Fernand Deligny et le langage », VST - Vie sociale et traitements, , p. 49 à 51 (ISSN 0396-8669, lire en ligne).
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