Écuvilly

Écuvilly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Écuvilly

La mairie d'Écuvilly.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Thierry Lacroix
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60204
Démographie
Gentilé Ecuvillois, Ecuvilloises
Population
municipale
306 hab. (2019 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 03″ nord, 2° 55′ 15″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 94 m
Superficie 5,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Écuvilly
Géolocalisation sur la carte : France
Écuvilly
Géolocalisation sur la carte : Oise
Écuvilly
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Écuvilly
Liens
Site web ecuvilly.fr

    Géographie

    Description

    Ambiance du village : une rue.

    Ecuvilly est un vilage picard du Noyonnais situé à 10 km au nord-ouest de Noyon, 27 km au nord de Compiègne, 26 km à l'est de Montdidier, 52 km au sud-est d'Amiens et 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Le territoire communal est limité au sud-ouest par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934).

    Louis Graves indiquait en 1850 « Le village d'Écuvilly, situé sur l'ancienne route de Noyon à Nesle , tient sans discontinuité à celui de Beaulieu; il est placé à peu-près au centre du territoire qui forme une plaine inclinée vers le midi, dont la principale dimension est dans la direction de l'est à l'ouest. Le ruisseau de Beaulieu, souvent à sec en été, traverse cette commune[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est drainé par le Fossé Merlet et le Fossé des fonds.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 700 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Écuvilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,7 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), forêts (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 131, alors qu'il était de 130 en 2014 et de 113 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 93,1 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,8 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Écuvilly en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) inférieure à celle du département (2,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Écuvilly en 2019.
    Typologie Écuvilly[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 93,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 5,3 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Escuvilly, Escuvilli, Eguilly, Ecvilly (Scuviliacum)[1]

    Histoire

    Moyen Âge et Temps modernes

    Louis Graves indique « Écuvilly est un lieu fort ancien qui existait comme paroisse avant le dixième siècle. La cure fut donnée en 1108 au chapitre de. Noyon par l'évêque Baudry. Elle comprit long-teims dans son étendue le village de Beaulieu qui eut seulement une chapelle jusqu'à l'année 1235, époque à laquelle ce lieu fut détaché de son église-mère, et érige en paroisse distincte.
    Le village était considérable dans le moyen âge, ce qu'indiquent les débris de fondations qu'on rencontre dans les champs voisins, et la grande étendue de son emplacement circonscrit par quatre rues qui pourraient contenir une quantité d'habitations, bien supérieure au nombre actuel [en 1850] des maisons. La seigneurie appartint successivement aux maisons de Sorel, de Soyécourt, d'Egvilly, de Lafond , et en dernier lieu à la maison d'Estourmel, qui avait aussi des droits dans plusieurs paroisses voisines.
    Écuvilty était qualifié de ville au quinzième siècle.
    Ce lieu fut pillé en 1370 par les anglais, sous les ordres de Robert Knolles. Le voisinage du fort château de Beaulieu , qui attirait les ennemis dans les environs, fut souvent funeste aux habitans d'Écuvilly.
    Le village fut encore détruit en 1523, par l'armée combinée d'Angleterre et des Pays-Bas.
    Le , Ecuvilly fut brûlé avec la maison seigneuriale par les troupes espagnoles sous les ordres du prince de Condé, après un combat livré entre Beaulieu et Ognoles dans la forêt de Bouvresse; il ne resta que quelques maisons situées au lieu qu'on appelle maintenant la Rue-Perdue. Après ce désastre, le village fut rétabli en grande partie sur la route de Nesle [1]».

    Époque contemporaine

    En 1850, le village comptait des carrières, un four à chaux et cinq moulins à vent[1].

    Première Guerre mondiale

    Le village est occupé par l'armée allemande dès le début de la guerre, le , et le reste jusqu'au retrait allemand d el'Opération Alberich le . Les hommes en âge de se battre restés à écuvilly ont été déportés en Allemagne, et le village est partiemement détruit dans le cadre d'une stratégie de « terre brûlée ». La commune redevient donc française, mais, située en zone avancée, est sous contrôle militaire strict jusqu'au où elle est envaillie à nouveau. Elle n'est libérée que le [22].

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Thourotte

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Écuvilly est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983[26] 2008 Daniel Poix    
    mars 2008 mai 2020 Bernard Monnier[27],[28]   Retraité
    mai 2020[29] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Thierry Lacroix    

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2019, la commune comptait 306 habitants[Note 8], en augmentation de 0,66 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    243375391402411396372379399
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    370330355329321308292274270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    300257292179198199206195183
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    157160151219214251249249304
    2018 2019 - - - - - - -
    308306-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 153 hommes pour 155 femmes, soit un taux de 50,32 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,3 
    4,6 
    75-89 ans
    4,5 
    18,3 
    60-74 ans
    12,9 
    23,5 
    45-59 ans
    21,9 
    19,0 
    30-44 ans
    22,6 
    14,4 
    15-29 ans
    20,0 
    20,3 
    0-14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église d'Écuvilly.
    • Château d'Écuvilly.
    • L'église paroissiale Saint-Sulpice, dont le clocher, détruit pendant la Première Guerre mondiale, a été reconstruit ainsi que la façade en .1924/1925. Elle conserve une nef et ses bas-côtés du XIIe siècle. Le chœur et l'abside à cinq pans sont reconstruits au XVIe siècle. Les dais de style Renaissance ont un décor de qualité, et l'un d'eux est daté de 1551.
      L'église a conservé sa clôture de chœur en bois sculpté ainsi qu'un un monumental maître-autel avec retable, tous deux datant de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle[35].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent fretté de gueules.
    Détails
    Adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Écuvilly », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 53-55, sur Google Books.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Écuvilly et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Écuvilly et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Ecuvilly durant la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémoril 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
    23. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    24. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Avis de décès, Courrier picard, 28 octobre 2021.
    27. S.L.B., « Bernard Monnier repart : Bernard Monnier, 67 ans, a décidé de briguer un deuxième mandat de maire, en mars prochain. « L'équipe repart aux trois quarts. Il nous reste à finaliser la liste », annonce l'édile. Ce dernier entend mener à terme « divers travaux » dont un gros projet : l'agrandissement de l'école, au sein du regroupement unissant son village à quatre autres communes (Beaulieu-les-Fontaines, Candor, Ognolles et Solente) », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Ecuvilly », Cartes de France (consulté le ).
    29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écuvilly (60204) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. Dominique Vermand, « Ecuvilly, église Saint-Sulpice : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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