Esclavelles

Esclavelles est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Esclavelles

La mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Communauté Bray-Eawy
Maire
Mandat
Denis Gueville
2020-2026
Code postal 76270
Code commune 76244
Démographie
Gentilé Esclavellais, Esclavellaises
Population
municipale
385 hab. (2019 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 28″ nord, 1° 23′ 21″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 236 m
Superficie 9,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Esclavelles
Géolocalisation sur la carte : France
Esclavelles
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Esclavelles
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Esclavelles

    Géographie

    Localisation

    Le village : à droite l'église & à gauche la mairie

    La commune est un village rural situé au carrefour de l'ancienne RN 28 et du tracé initial de la RN 15 (actuelles RD 928 et RD 915), et jouxtant la Forêt d'Eawy.

    Le village se trouve à 33 km au sud-est de Dieppe, à 38 km au nord-est de Rouen et à 60 km au nord-ouest de Beauvais.

    Elle dispose d'un accès sur l'Autoroute A28.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Esclavelles
    Bully Quièvrecourt
    Maucomble Neuville-Ferrières
    Bosc-Mesnil Massy

    Hydrographie

    La commune est drainée par plusieurs ruisseaux, dont le Radegueule et le Vingtlaine, affluents de la Béthune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 875 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Esclavelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,3 %), terres arables (39,7 %), forêts (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Hameaux et écarts

    La commune compte de nombreux hameaux ou écarts : Les Hayons, Les Défens, la Folie, le mont Edeline, La Loquette, Beauséjour, Radegueule, le Mont Rémont, Rochard

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Esclaveles entre 1017 et 1021, Sclavellis vers 1065[21],[22], Esclavelles en 1400 et 1402 (Arch. S.-M. tab. Rouen reg. 9 f. 21)[23].

    Du gallo-roman sclavu « slave » (latin médiéval Sclavus « slave », moyen français Sclave « Slave »); ce nom évoquerait un établissement de Slaves de l'époque du Bas-Empire romain[22]. Cependant, selon Albert Delahaye, il s'agirait d'une confusion avec les Slavi désignant un peuple germanique mentionné par Aimoin de Fleury[24].

    Histoire

    Carte postale du village (oblitération de 1906).

    On a retrouvé un dépôt de monnaies en or qui fut vendu vers 1803, ainsi que des antiquités et médailles romaines trouvées en grand nombro au harneau de Morimont et conservées au musée de Neufchâtel, avec entre autres un vase en terre noire contenant trois cent quatre-vingts monnaies d'Antonin, de Faustine, de Marc-Aurèle, de Trajan, d'Adrien, de Commode et de Septime-Sévère, découvert en 1835, et quatre cent trente-huit monnaies de bronze du Haut-Empire renfermées dans un vase, découvertes la même année dans un ancien chemin dénommé rue aux vaches entre le plateau des Hayons et la route de Dieppe. Un grand nombre de tuiles à rebord antiques ont été retrouvées en 1853 près de la nationale 28[25],[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Neufchâtel-en-Bray[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui n'est plus qu'une circonscription électorale et dont la commune est fait toujours partie, est modifié, passant de 23 à 70 communes.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Pays Neufchâtelois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1998 et qui succédait à l'ancien SIVOM de Neufchâtel, constitué le 26 octobre 1977.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], celle-ci a fusionné avec la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Bray et huit communes issues de la communauté de communes du Bosc d'Eawy pour former le la communauté Bray-Eawy, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      juin 1816 Pierre-Étienne-Georges Patry[29]    
    1902   Le Blond    
    maire en 1941[30]   Henri Carpentier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1974 Camille Joly    
    avant 1981  ? Lucien Trousse    
    mars 2001 mars 2014 Rémy Caillet    
    mars 2014 juin 2019[31] André Vieuxbled   Décédé en fonction
    septembre 2019[32] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Denis Gueville   Réélu pour le mandat 2020-2026[33]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 385 habitants[Note 8], en augmentation de 3,22 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    621619687603606580580556535
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    536536501484463460415462455
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    443433407372401419479446388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    430390348363328308355369373
    2018 2019 - - - - - - -
    377385-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Petite enfance

    La Maison d’assistantes maternelles (MAM) associative Baby Safaris a ouvert en février 2021[37]

    Culture locale et patrimoine

    Plaque placée à l'entrée du porche de l'église.

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame.
    • Des circuits de randonnée ont été aménagés dans la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre-Étienne-Georges Patry (30 avril ou 1er mai 1743 - Paris, 8 juillet 1820), auteur de La création d'Éve, conte moral et historique (Didot l'aîné, Paris, 1806), y vécut dans son domaine du Mont-Édeline. Il fut maire de la commune jusque juin 1816[29],[38].
    • Bernard Oli Ziguinchor Casamance, soldat au 53e régiment d'infanterie coloniale sénégalaise (RICMS), Mort pour la France, et un autre soldat sénégalais resté inconnu, exécutés en juillet 1940 au début de l'occupation Nazie par une unité d'aviation allemande en cantonnement aux Hayons, parce qu'africains. La commune leur a donné en 1941 une sépulture décente dans le cimetière communal, et une plaque honore désormais leur mémoire devant le monument aux morts[30].
    • Paul Lesueur, Jean Auriol, Christian Barrais, Louis Fromager et Maurice Maugis, résistants fusillés par les Allemands le , deux jours avant la libération du pays de Bray par les soldats canadiens[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Esclavelles », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Esclavelles et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Esclavelles et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p 139.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150 passage=73)
    23. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 346.
    24. Albert Delahaye, « Les règles de la toponymie, La Germania est la Flandre française, La Frisia et la Saxonia, Les Dani de Normandie », sur http://archief.semafoor.info/DocumentHandler.ashx?Dir=Other_PDF&File=WKIIFR, (consulté le ), p. 196 - Note 267-1.
    25. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen,, Paris, Imprimerie nationale, , 652 p. (lire en ligne), p. 236-237, lire en ligne sur Gallica.
    26. « Archéologie (supplément) », L'Écho du monde savant, no 67, , p. 321 (lire en ligne, consulté le ); lire en ligne sur Gallica.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    29. Louis Bergeron et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire: notices de biographie sociale, CNRS Éditions, 1993, p.71-72
    30. « Danièle Capot ressuscite le souvenir de deux tirailleurs sénégalais enterrés à Esclavelles : Danièle Capot vient de rédiger un article sur l'histoire de deux tirailleurs sénégalais enterrés à Esclavelles. Ils ont été tués en 1940. A l'approche du 8 mai, le Souvenir français exhume cette histoire », Le Réveil, no 3657, , p. 9 (lire en ligne, consulté le ).
    31. « André Vieuxbled, maire d'Esclavelles, est décédé : Maire d'Esclavelles, André Vieuxbled, est décédé vendredi 21 juin 2019, à l'âge de 72 ans, des suites d'une maladie », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3612, , p. 11 (lire en ligne, consulté le ) « Elu conseiller municipal il y a 25 ans, André Vieuxbled avait ensuite occupé le poste de premier adjoint pendant 2 mandats. Il était maire depuis 2014 ».
    32. « Esclavelles : Denis Gueville a été élu maire le 12 septembre 2019 : Le nom du successeur du défunt maire d'Esclavelles André Vieuxbled, près de Neufchâtel-en-Bray, est désormais connu. Il s'agit de l'ancien premier adjoint, Denis Gueville », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Denis Gueville, 1er adjoint et maire par intérim depuis le décès d’André Vieuxbled, était le seul candidat au poste de maire. Il a été élu avec 10 voix. Delphine Angreville a obtenu une voix ».
    33. « Á Esclavelles, Denis Guéville a été réélu maire : Denis Guéville a été réélu maire d'Esclavelles en début de semaine. Il est entouré de deux adjoints : Jean-Marc Clément et Vincent Trousse », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Denis Guéville qui avait succédé à André Vieuxbled décédé en juin 2019, s’est représenté en tant que maire ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. « Près de Neufchâtel-en-Bray : lancé il y a peu, Baby Safaris accueille les enfants jusqu'à 3 ans : Malgré quelques problèmes avant d'ouvrir leur Maison d'assistantes maternelles, Axelle et Céline n'ont rien lâché. Leur association Baby Safaris pouvait alors être créée », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Félix Clérembray, Pocholle, troisième sous-préfet de Neufchâtel-en-Bray, Patry, maire d'Esclavelles, et le préfet Beugnot, épisodes de l'affaire Cadoudal : extraits documentés d'une biographie manuscrite de Pocholle, Rouen, Lestringant, , 30 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
    39. « Esclavelles: recueillement devant la stèle des fusillés », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
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