Famille Pastur
La famille Pastur est une famille de la noblesse belge, originaire de Braine-l'Alleud, dont l'ancienneté prouvée remonte à 1631. La famille Pastur s'installa à Jodoigne au XIXe siècle lorsque Philippe-Joseph Pastur (1777-1861), notaire, acquis le château Pastur. La famille fut anoblie le en la personne de Jacques Pastur (1911-1969), lieutenant-colonel et ancien attaché militaire à l'ambassade de Belgique à Londres.
Pastur | |
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Blasonnement | d'azur au chevron d'or chargé de trois croisettes du champ et accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'une aigle volante, le tout du second. |
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Devise | « Per ardua ad lucem » |
Période | XVIIe siècle-nos jours |
Pays ou province d’origine | ![]() |
Demeures | Château Pastur Château de Beaulieu Château Sainte-Anne Château de Dongelberg Château de Waterloo |
Charges | Député de Nivelle Sénateur de Nivelle Notaire |
Fonctions militaires | Major aviateur Lieutenant-colonel Attaché de l'air |
Récompenses civiles | Ordre de Léopold Ordre de Léopold II Ordre de la Couronne |
Preuves de noblesse | |
Autres |
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Histoire

Cette famille était nombreuse dans les paroisses d'Ohain et de Braine-l'Alleud où elle a toujours des descendants. Les premiers documents mentionnent la personne de Ferdinand Pastur, censier de la ferme du Chenois, époux d'Isabelle Poets[1],[2].
Gérard Pastur, fils de Ferdinand Pastur, fut baptisé à Braine-l'Alleud le 16 août 1631, il acquit la forge et brasserie Saint-Éloy à Waterloo, ses descendants formèrent à partir du XIXe siècle quatre générations de notaires à Jodoigne et devinrent d'importants propriétaires fonciers, dont les domaines s'étendaient bien au-delà des communes environnantes[3], cette branche familiale laissa son empreinte dans sa commune où ils avaient acquis le château de Jodoigne devenu le château Pastur. Ils prirent également une place importante dans la vie politique locale[4] au sein du parti catholique.
A cette famille appartenait Jacques Pastur (1659-1723)[réf. nécessaire], fils de Gérard Pastur, vraisemblablement cultivateur comme son propre père[5] qui devint mestre de camp[6],[7] dans l'armée du roi d'Espagne, et mit en échec l'armée de John Churchill, 1er duc de Marlborough (1650-1722) lors de la première bataille de Waterloo le 17 août 1705. Il termina sa carrière dans l'armée française avec le grade de maréchal de camp[8], grade qui lui fut conféré sous le règne du Régent le 20 mars 1716[9].
Pastur à Jodoigne
En avril 1833, Philippe-Joseph Pastur (1777-1861), notaire à Lathuy acheta le Château de Dongelberg. Il vivait au château de Brocuy à Lathuy dans la commune de Jodoigne, non loin de son nouveau château. En 1849, avec son épouse Clémence Jenar (1786-1860), il racheta le château de Jodoigne au marquis Théodore d'Yves de Bavay qui fut renommé château Pastur et resta dans sa descendance jusqu'en 1980, où les quatre enfants de Jacques Pastur (1911-1969), dernier châtelain de Jodoigne, décidèrent de vendre le château à la commune de Jodoigne[10].Philippe Pastur mourut le au château Pastur à Jodoigne, laissant son héritage à ses sept enfants dont son fils aîné Justinien-Jean Pastur (1806-1887) qui hérita du château et de ses terres. Son fils reprit l'étude notariale de son père, il s'installa à Jodoigne. Justinien-Jean Pastur épousa Marie-Victoire Deville (1814-1880), fille de Théodore Deville (1785-1850) et de Marie-Isabelle Marcq (1787-1846). Le père de Marie-Isabelle, Théodore Deville fut élu au Congrès national en novembre 1830. De son union avec Victoire Deville, naquit un fils unique Léon-Clément Pastur (1845-1918).
Léon-Clément Pastur (1845-1918), né au Château Pastur à Jodoigne, épousa Virginie de Brouckère (1852 - 1914), fille de Charles de Bouchère (1796-1860), bourgmestre de Bruxelles de 1848 à 1860 ainsi que plusieurs fois ministre. Il obtint son doctorat en droit et sa candidature au notariat à l'Université catholique de Louvain. De 1865 à 1875, il était clerc de notaire et, à partir de 1876, il reprit l'étude de notaire de son père à Jodoigne. Il était également éditeur-imprimeur de magazines de publicité, notamment de messages notariaux: L'Utilité, L'Annonce Brabançonne, Le Petit Waterloo, Le Courrier de Genappe, L'Echo de la Hulpe. En juin 1884, il devint député catholique de l'arrondissement de Nivelles et remplit ce mandat jusqu'en 1894. Il deviendra ensuite sénateur du même arrondissement jusqu'en 1912, date à laquelle il prit sa retraite politique. De son union avec Virginie de Brouckère, il n'eut qu'un fils, Maximilien-Léon Pastur (1878-1930)[11].
Maximilien-Léon Pastur (1878-1930) naquit au château Pastur à Jodoigne. Comme son père, il reçut un doctorat en droit de l'Université catholique de Louvain. En 1911, il est élu conseiller communal de Jodoigne, de 1912 à 1921 il fut successivement député de l'arrondissement de Nivelles et de l'arrondissement de Bruxelles. De 1921 à 1925, il fut élu sénateur de l'arrondissement de Nivelles. À partir de 1913, il commença à exprimer des réserves sur la politique linguistique proposée par le parti catholique. Avec Jules Destrée et Charles Magnette, il signe le manifeste qui constitue la base du magazine «La Défense Wallonne». En 1914, il devient volontaire de guerre et est nommé auditeur militaire derrière le front. Les problèmes qu'il a rencontrés lui ont fait comprendre que les idées flamantes progressaient et que cela l'a amené à participer au mouvement wallon. En 1919, il est devenu membre de l'Assemblée wallonne. Il est devenu le porte-parole des revendications wallonnes, à la fois au sein de son parti et au parlement. Il a voté contre le bilinguisme général dans les services publics et a appelé les francophones à contrecarrer l'immolation de l'Université de Gand. Les critiques au sein du parti catholique lui ont fait renoncer à son mandat parlementaire et il était désormais principalement actif dans les mouvements wallingant, en particulier à l'Assemblée wallonne. Il l’arrêta en 1929, alors qu’il tomba gravement malade. Il épousa au Château Pastur le Germaine Waucquez, fille du négociant Charles Waucquez (1851-1920) fondateur des Anciens magasins Waucquez, négociant de tissus à Bruxelles et ancetre de la famille Waucquez,Simons,de Béco. Maximilien-Léon Pastur décéda à Prangins en Suisse le . Il eut de son mariage trois enfants, deux filles et un fils; Jacques Pastur (1911-1969), qui à son tour, hérita du château Pastur.
Jacques Pastur
I. Chevalier Jacques-Ch.-G. Pastur, docteur en droit, lieutenant-colonel aviateur honoraire -, pilote de la R.A.F., attaché de l'Air auprès de l'Ambassade de Belgique à Londres par un arrêté royal auprès de la reine Élisabeth II[12], chef de corps de l'Ecole de pilotage de la Force Aérienne, commandeur dee l'Ordre de Léopold II, officier de l'Ordre de Léopold, et de l'Ordre de la Couronne, croix ds Evadés, croix des prisonniers politique 1940-45, naquit au château Pastur à Jodoigne le et décéda à Woluwe-Saint-Pierre le 16 juillet 1969, il était le fils de Maximilien-Léon-Ch. (dit Max) Pastur, et de Germaine-M.-J. Waucquez, obtint le , concession de noblesse et du titre personnel de chevalier[13]. Il se maria à Holcombe Burnell (G.-B.) le 10 juillet 1944 à Joan-Elizabeth Bowling, née à Tien-Tsin (Chine) le 27 mars 1925 et décédée à Woluwe-Saint-Pierre le 6 mars 1992; elle était la fille de Wilfrid-Comorin Bowling, président de la Chambre du commerce britannique à Tianjin[14] , et de Gertude Harvey. Veuve elle épousa en seconde noce à Woluwe-Saint-Pierre le 29 décembre 1976 le baron Gilbert-Armand-M. Thibaut de Maisières[15].
II. Max-Anthony-Winston Pastur, écuyer, docteur en droit (UCL), lieutenant de réserve honoraire para-commando, chevalier de l'Ordre de la Couronne. Il naquit à Reigate (G.-B.) le , il épousa à Rixensart Chantal Hachez le 8 octobre 1970 qui naquit le 14 décembre 1946 à Genval, fille de Roger-Jacques Hachez, ingénieur civil et de Thérèse Tyberghien[15].
III. Jacques-Patrick-Alexandre (dit Jack) Pastur, écuyer, licencier en science économique appliquée. Il naquit à Bruxelles le 23 février 1972, marié à Saint-Gilles le 21 juin 2003 avec Anne-Catherine-Régine-Marcelle Vincke née à Malines le 7 juin 1976, fille de François-Clément-Ives Vincke et Béatrice-Marcelle-Victor Breckpot[16].
2° Frédéric-Rodolphe-Paul Pastur, écuyer, licencier en science économique, né à Bruxelles le 8 novembre 1973, il épousa à Walhain-Saint-Paul le 27 février 1999 le comtesse Flore-M.-Emilie de Marchant et d'Ansembourg. Elle naquit à Ottignies le 11 mars 1975, elle est la fille du comte Jean-Marie-Rodolphe de Marchant et d'Ansembourg et Marie-Eléonore-Emilie van der Linden (des barons) d'Hooghvorst[16].
3° Olivia-Virginie-Chloé Pastur, licencier en science de gestion (UCL), née à Bruxelles le 8 décembre 1977. Elle épousa à Braine-l'Alleud le 22 juin 2001 Frédéric-Edouard-Ph. (des barons) Ullens de Schooten Whettnall, écuyer, ingénieur en gestion (UCL), né à Bruxelles le 11 octobre 1974, fils de Antoine-Marc-M. (des barons) Ullens de Schooten Whettnall, écuyer, et de la comtesse Isabelle-M.-G. d'Arschot Schoonhoven.
4° Maxime-Christophe-Dominique Pastur, écuyer, né à Uccle le 11 mars 1982. Il épousa à Woluwe-Saint-Pierre le Sophie-Odile-Stéphanie Van Ingelgem, née à Ixelles le 26 septembre 1984, fille de Xavier-Harold-Jacques Van Ingelgem et de Laurence-Geneviève-Jeanne Isralson[16].
5° Gaëtan-Alexandre-Michaël Pastur, écuyer, né à Etterbeek le [16].
2° Mary-Christiane (dite Wendy) Pastur, née à Ixelles le 22 octobre 1946, elle épousa à Woluwe-Saint-Pierre le 25 août 1967 le comte Bernard-L.-M. de Traux de Wardin, docteur en droit, licencié en science économique, échevin de Jodoigne, président de la Fondation Reine Paola, lieutenant de réserve honoraire, chevalier de l'Ordre de la Couronne. Il naquit à Bruxelles le 14 mai 1941, fils du baron Jean-A.-Gaston de Traux de Wardin, licencié en philosophie et lettres, bourgmestre de Jodoigne-Souveraine, et de la comtesse Louise-Caroline Cornet de Ways-Ruart[15].
3° Christiane-E.-G. Pastur, née à Etterbeek le 28 juillet 1951, elle épousa à Woluwe-Saint-Pierre le 30 août 1972 le comte François-Xavier-M. de Radiguès de Chennevière, président de l'Association belge des Banques (section Namur-Lux.), administrateur de l'Union wallonne des entreprises, de la Fondation Reine Paola, et de l'A.N.R.B., directeur de la Banque BNP Paribas Luxembourg, commandeur de l'Ordre de Léopold, officier de la Légion d'honneur, et de l'Ordre du Mérite, chevalier de l'Ordre de la Couronne de chêne. Il naquit à Uccle le 19 juillet 1941, fils du baron Gérard-Jean-Ch. de Radiguès de Chennevière et de Claire-M. de Thier[15].
4° Ariane-Patricia-Alexandra Pastur, née à Uccle le 4 juillet 1965, elle épousa à Waremme le 30 avril 1988 Michel-François-Philippe de Wilde d'Estmael, écuyer, agronome. Il naquit à Saint-Trond le 29 décembre 1961, fils de Philippe-M.-Robert de Wilde d'Estmael, écuyer, et d'Anne-Marie-Clémence (des chevaliers) de Grady de Horion. Le mariage fut dissout à Waremme le , elle épousa en seconde noce à Gembloux le 13 septembre 2008 Michel-Jean-Jacque de Kerchove d'Exaerde, écuyer. Il naquit à Mazy le 6 décembre 1951, fils de Emmanuel-Ch.-Ph. de Kerchove d'Exaerde, écuyer, docteur en droit, avocat au barreau de Namur, bourgmestre de Bossière, et de Marie-Henriette, Alphonsine (des chevaliers) de Grady de Horion. Son second époux avait épousé en première noce (mariage dissout) Marie-José (des vicomtes) de Ghellinck d'Elseghem Vaernewayck[15].
Début 1940, il est fait prisonnier au camp de Breendonk d'où il s'évada. Risquant d'être fusillé comme espion, il rentra dans la clandestinité et réussît à s'enfuir au travers de la France, de l'Espagne, et du Portugal pour finir en Afrique du Sud. Le , il réussit à rentrer en Angleterre et devient pilote instructeur de la Royal Air Force à Harrogate. En 1946, il rentra en Belgique et s'installa au Château Sainte-Anne à Auderghem. Sa grand-mère, Gabrielle Idiers, fille de Émile Idiers et femme de Charles Waucquez, lui mis à disposition sa grande demeure préférant vivre dans son grand hôtel particulier de la rue Belliard. En 1952, nommé attaché de l'Air à Londres En 1959, il revint en Belgique et devient commandant de la base militaire de Gossoncourt.
Anoblissement
Lettres patentes
- Bruxelles, 12 avril 1967, Baudouin, Roi des Belges: Concession de noblesse et concession du titre personnel de chevalier en faveur de Jacques-Charles-Ghishlain Pastur, docteur en droit, lieutenant-colonel d'aviation[13].
Patrimoine
En 1802, la famille Pastur s'installa définitivement à Jodoigne et y acquit le 15 juin 1849 le château Pastur, devenu aujourd'hui l'hôtel de ville[17]. Grâce à des mariages avec les familles de Brouckère, Waucquez (propriétaire des Anciens magasins Waucquez), Claes, Idiers, la famille Pastur augmenta considérablement son patrimoine. À la mort de Philippe-Joseph Pastur (1777-1861), ses héritiers se trouvèrent à la tête d'une grosse fortune, foncière notamment, dépassant le million de francs belges; une somme colossale pour l'époque. Pour point de comparaison, le château Pastur avait été acheté douze ans plus tôt pour 30.000 francs belges.
Bibliographie
- Paul Janssens et Luc Duerloo, Armorial de la noblesse belge du XVe au XXe siècle, Bruxelles, Editions Crédit Communal, (ISBN 2871931682)
- Eric Meuwissen, Quand Pastur rêvait de chasser Charlot, Bruxelles, Le Soir, (ISSN 1376-4853) (Lire en ligne)
- Paul Van Molle, Le Parlement Belge, 1894-1972, Anvers,
- Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse belge, Bruxelles, Collection "État présent",
- Lieutenant général Jean R. Cayron, La véritable histoire de Jacques Pastur dit Jaco brigadier de cavalerie et de dragons au service de l'Espagne, Bruxelles, coll. « d'histoire militaire belge »,
Références
- François de Cacamp, La famille namuroise de Wasseige, Bruxelles, 1970, p. 151 et seq.
- Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Recueil LXI de l'Association royale office généalogique et héraldique de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 347
- La Libre Belgique, J.Dr: La Baronne Thibaut de Maisières a été conduite à sa dernière demeure
- Philippe Farcy, La Libre Belgique: La Comté, une terre d'élection http://www.lalibre.be/archives/divers/article/340422/la-comte-une-terre-d-election.html
- Lieutenant général Jean R. Cayron, La véritable histoire de Jacques Pastur dit Jaco brigadier de cavalerie et de dragons au service de l'Espagne, Bruxelles, coll. « d'histoire militaire belge », 1953, p. 18 : "On a généralement supposé que Gérard Pastur appartenait à une famille de forestiers, mais le commerce du bois ne fut, semble-t-il, qu'une activité secondaire des nombreux Pastur de Braine l'Alleud; presque tous furent censiers ou cultivateurs aisés et parmi eux Ferdinand, grand-père de Jacques Pastur, posséda certes une fortune assez rondelette pour l'époque, puisque, en 1666, lors du partage de ses biens par ses héritiers, Marie Pastur, sa fille, reçut pour sa part la cense du Chenois, comprenant 14 à 15 bonniers et que Gérard put disposer d'une somme de 1.000 florins".
- Lieutenant général Jean R. Cayron, La véritable histoire de Jacques Pastur dit Jaco brigadier de cavalerie et de dragons au service de l'Espagne, Bruxelles, coll. « d'histoire militaire belge », 1953, p. 273 : « cet homme d'extraction modeste, ce "pauvre garson" comme le qualifiait le généalogiste Van Haelen, a gravi les échelons d'une hiérarchie militaire formaliste, depuis le grade de cornette jusqu'à la situation enviée de Mestre de Camp ».
- Le grade de mestre de camp correspond à celui de colonel.
- "Archives administratives du département de la Défense Nationale de la République Française", cité par Caryon p. 242. Des documents notariés le citent comme "maréchal de camp", mais on ne sait pas l'origine de ce titre. Caryon, p. 243 : « Aucun document connu actuellement, ne permet d'en établir le motif. Récompense tardive du raid de 1712, don de joyeux avènement, avancement normal après sa longue carrière de Brigadier ou bien, ratification d'un grade acquis dans l'armée espagnole? On ne le sait. [...] Certains éléments permettent toutefois, de croire que Pastur avait été promu "maréchal de camp" dans l'armée espagnole ». En effet, des documents notariés le citent "M. le Chevalier de Pasteur, maréchal des camps des armées du Roy Catholique" (Not. Gén. du Brabant, 1806/1 Notaire de Moitemont.
- Cayron, op. cit., pp. 242-243 : « Et de fait, la faveur royale ou plutôt celle du Régent ne tarda pas à se manifester. [...] lui-même, un mois plus tard, fut compris dans la première promotion de généraux du nouveau règne et nommé "maréchal de camp" (note 33 : « le 20 mars 1716) » ».
- La Comté, une terre d'élection, Philippe FARCY, LaLibre, 2007; Lire en ligne
- Histoire politique du Brabant wallon: du Duché de Brabant à l'éclosion, Valmy FLÉAU, 1919, Louvain-la-neuve, p. 41-44 Lire en ligne
- La Conquête de l'air: bulletin officiel de l'Aéro-club de Belgique, Numéros 48 à 49, Le Club, 1953 (Lire en ligne)
- Janssens et Duerloo 1992, p. 1612
- Wilfred V. Pennell, A lifetime with the Chinese, South China Morning Post, 1974, 290 p. (Lire en ligne).
- Oscar Coomans de Brachène 2002, p. 76
- Oscar Coomans de Brachène 2002, p. 77
- Meuwissen 2005
Articles connexes
- Familles contemporaines de la noblesse belge
- Liste chronologique de familles belges
- Château Pastur
- Jacques Pastur
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