Fercé

Fercé est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Fercé

L'église de Fercé en décembre 2014.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Alain Le Tolguenec
2020-2026
Code postal 44660
Code commune 44058
Démographie
Gentilé Fercéens
Population
municipale
472 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 47′ 49″ nord, 1° 24′ 51″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 117 m
Superficie 22,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Fercé
Géolocalisation sur la carte : France
Fercé
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Fercé
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Fercé
Liens
Site web http://www.cc-castelbriantais.fr/

    L'histoire du village est marquée par son appartenance à la Bretagne historique. Après 1202, Fercé est le siège d'une vicomté dépendante de la baronnie de Vitré. L'exploitation d'une verrerie réputée à partir du XVIe siècle jusqu'au XIXe siècle est la seule activité économique s'écartant de la vocation agricole de la commune. Celle-ci a connu un déclin démographique depuis le milieu du XIXe siècle, enrayé à partir des années 1980.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Fercé dans le département de la Loire-Atlantique.

    Fercé est situé à km au nord de Châteaubriant, à 40 km au sud-est de Rennes, à 65 km au nord-est de Nantes et à 74 km au nord-ouest d'Angers[1]. Les communes limitrophes sont Soulvache, Rougé et Noyal-sur-Brutz en Loire-Atlantique, Martigné-Ferchaud et Thourie en Ille-et-Vilaine.

    Relief

    Située sur la commune de Fercé, la colline de la Bretèche, d'une altitude de 116 mètres (source carte IGN), est le point culminant du département de la Loire-Atlantique. La forêt de Javardan culmine, et au nord comme au sud le terrain descend vers les vallées du Semnon et de la Brutz[2].

    Hydrographie

    La commune est longée au nord par le Semnon[3], au sud par la Brutz[4], à l'est par le ruisseau l'Anguillée. D'autres ruisseaux moins importants existent, et plusieurs étang parsèment le territoire de la commune[2].

    Climat

    Le climat est de type océanique. Il est caractéristique des départements de l'ouest de la France situé en bordure Atlantique. Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les températures sont douces avec des variations relativement modérées. Les températures maximales moyennes annuelles sont voisines de 16 °C tandis que les températures minimales moyennes annuelles sont entre 6 et 7 °C[5].

    Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour l'année 2007 selon les données de la ville de Rennes, distante de 40 kilomètres à vol d'oiseau :

    Mois J F M A M J J A S O N D
    Températures maximales (°C) 8,1 9,4 12,3 14,7 18,4 21,5 23,8 23,6 21,1 16,7 11,7 9
    Températures minimales (°C) 2,2 2,5 4 5,4 8,5 11,2 13,1 13,1 11,2 8,3 4,9 3,2
    Températures moyennes (°C) 5,2 5,9 8,2 10,1 13,4 16,4 18,5 18,3 16,2 12,5 8,3 6,1
    Précipitations (hauteur moyenne en mm) 61,3 52,3 49,3 45,1 58,1 46,4 42,6 47,3 56,6 63,8 68,4 69,1
    Source: Météo France et Lameteo.org[6]

    Le tableau ci-dessous indique les records de températures minimales et maximales :

    Mois J F M A M J J A S O N D
    Températures maximales records (°C) 16,8 19,8 23,1 28,7 30,8 36,3 38,4 39,5 34,8 27,8 20,2 17,6
    Années des températures maximales      2003 1990 1965 1945 1953 1976 1949 2003 1961 1945 1993 1953
    Températures minimales records (°C) -14,7 -11,2 -7,3 -3,2 -1,2 2,2 5,5 4 1,9 -4,6 -7,5 -12,6
    Années des températures minimales      1985 1948 2005 1984 1945 1962 1972 1956 1972 1947 1955 1964
    Source: Insee et Lameteo.org[7]

    Urbanisme

    Typologie

    Fercé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,3 %), zones agricoles hétérogènes (27,2 %), forêts (16,4 %), terres arables (14,5 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    Fercé est désigné sous le nom de Fertiacum dans une charte de Louis VI le Gros, vers 1123[15],[16].

    Fercé possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Fèrczaé (écriture ELG, prononcé [fəʁ.sə])[17].

    La forme bretonne correcte proposée par l'Office public de la langue bretonne est Ferreg[18].

    Histoire

    La vicomté de Fercé date de 1202. C'est une ancienne juveigneurie de la baronnerie de Vitré, qui dépend du duché de Bretagne. Les vicomtes de Fercé demeurent dans la maison de La Jaunière pendant plusieurs siècles. Les seigneurs de Fercé ont droit de haute, moyenne et basse justices. Leur juridiction s'étend sur les paroisses de Fercé, Noyal-sur-Brutz et Villepot. Les liens entre la vicomté et Vitré disparaissent peu à peu, et la seigneurie de Fercé rend directement hommage au duc de Bretagne puis au roi de France[F 1].

    Vers le milieu du XVIe siècle les seigneurs de Fercé créent une verrerie dans le bois de Javardan[19].

    Cet établissement a une belle réputation. Il ferme ses portes au milieu du XIXe siècle. Les Massari, famille de verriers, sont anoblis et prennent pour nom « de Massar ». Leur particule disparaît après la Révolution, pour devenir Massar[F 1].

    Parmi les habitants remarquables de la commune, la famille Du Boispéan qui remonte au XIIIe siècle, ou le docteur Bonelle, de Fercé, qui fonde un hôpital à La Tourière, à Noyal-sur-Brutz[F 1].

    Politique et administration

    La mairie.

    Fercé est située dans le canton et l'arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[20]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 100 et 500 habitants, le conseil municipal est constitué de onze membres en 2011[21].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Yannick Massard Divers gauche  
    mars 2008 2020 Noël Jouan[Note 3]   cadre commercial retraité
    2020 En cours Alain Le Tolguennec    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Fercé est membre de la communauté de communes du Castelbriantais, qui est constituée de dix-neuf communes regroupées autour de Châteaubriant[22].

    Jumelages

    Au 5 mars 2011, Fercé n'est jumelée avec aucune ville[23].

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Fercé fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Châteaubriant. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[24]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « très peu dense » : 12 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 88 % dans des zones « très peu denses »[25].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2019, la commune comptait 472 habitants[Note 4], en diminution de 5,6 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    680661713822729798837763914
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    964994960897937914917902864
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    838823773726743729660691644
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    561545501459499517485481501
    2017 2019 - - - - - - -
    474472-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 244 hommes pour 231 femmes, soit un taux de 51,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    0,4 
    7,4 
    75-89 ans
    8,7 
    17,0 
    60-74 ans
    14,8 
    23,5 
    45-59 ans
    22,6 
    18,5 
    30-44 ans
    16,8 
    16,0 
    15-29 ans
    13,0 
    16,8 
    0-14 ans
    23,7 
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    5,8 
    75-89 ans
    8,6 
    14,7 
    60-74 ans
    16 
    19,6 
    45-59 ans
    18,9 
    20,1 
    30-44 ans
    19,2 
    19,2 
    15-29 ans
    17,5 
    20 
    0-14 ans
    18 

    Économie

    En 2011, la Mairie recense 24 établissements actifs sont recensés à Fercé : deux dans l'industrie, cinq dans la construction, deux dans le commerce et quinze dans le service. La commune héberge une zone à vocation artisanale qui s’étend sur 2 hectares[32].

    En 1er janvier 2009, l'Insee en recensait 22, trois dans l'industrie, cinq dans la construction, onze dans le commerce et le service et trois dans l'administration, l'enseignement[33].

    L'Insee recensait à la même date trente exploitations agricoles. Ce nombre diminue régulièrement. En 1988 il était de 56, en 2000 de 36. À l'inverse la superficie exploitée est passée de 1 566 hectares en 1988 à 2 033 hectares en 2000. L'élevage bovin reste stable, passant de 1 921 bêtes en 1988 à 2 033 en 2000[33].

    Depuis 1950 le grès est extrait sur la commune. En 1980, 600 tonnes sont extraites chaque jour. Le site de la Grée, épuisé, est devenu un centre d'enfouissement. Le gisement actif est situé à La Fourcherie[F 2].

    Équipements et services

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ou d'infirmier à Fercé, les plus proches sont situés à Rougé[34]. Un centre hospitalier est installé à Châteaubriant[35].

    Enseignement

    Fercé dépend de l'académie de Nantes. Il a une école publique dans la commune, l'école Jean-de-La-Fontaine[36]. Les collèges et les lycées se situent à Châteaubriant[37],[38],[39],[40],[41],[42].

    Vie sociale

    La petite taille démographique de la commune n'empêche pas qu'il s'y déroule plusieurs manifestations : un vide-grenier, un concours de pêche (à l’étang du Boispéan), du théâtre amateur, et des randonnées pédestres hebdomadaires encadrées de mai à mi-août[32].

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts

    Le château du Boispéan à toujours appartenu à la famille du même nom. Il a été bâti au XVIIe siècle en grès et en schiste[F 1]. Y figure un blason sculpté très ancien[F 3].

    En 1893 des douves sont comblées autour du logis de la Héraudière, ce qui laisse à penser qu'un château a dû précéder l'actuelle bâtisse. Celle-ci, en pierre et schiste, est caractéristique du XVIIe siècle. Elle présente en effet des portes basses, des murs épais élargis à la base et des fenêtres à meneaux[F 3].

    L'église, reconstruite en 1702 et agrandie en 1850, est dotée d'un clocher du XVIIe siècle qui abrite une cloche de 1572. Ce clocher, d'architecture différente de celle habituellement rencontrée dans la région, possède une charpente ouvragée. Dans l'église, la chaire (début XVIIIe siècle) est de style baroque, en bois peint et sculpté. Le retable (début XVIIIe siècle), orné de deux tableaux datant de 1828 de François Donné, représentant l'assomption de la Vierge et le baptême du Christ (il existe un autre baptême du Christ du même auteur dans la cathédrale de Nantes). Le chœur (XVIIIe siècle) dispose d'un baldaquin baroque en bois, décoré de guirlandes et de volutes[F 4].

    Le monument aux morts, la lanterne des morts, érigé en 1921 à la mémoire des morts de la guerre 1914-1918. En forme de lanterne ou d'obus pour certains[F 2].

    Héraldique

    De gueules fretté d'hermine.

    Armoiries de la famille de Coësmes (sceau de 1270), puis de la vicomté de Fercé. L'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason (délibération municipale du ) enregistré le .


    Voir aussi

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..

    • Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 1017-1021. 

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Réélu en 2014
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    • Jean-Luc Flohic (dir.), Éric Brochard et Véronique Daboust, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, (voir en bibliographie).
    1. p. 1017.
    2. p. 1021.
    3. p. 1018.
    4. p. 1018-1019.
    • Autres références.
    1. « Fercé », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
    2. « Carte IGN de Fercé » sur Géoportail..
    3. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : rivière le Semnon (J76-030-) » (consulté le ).
    4. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : rivière la Brutz (J7614000) » (consulté le ).
    5. « Climat de la Loire-Atlantique », Météo France (consulté le ).
    6. Lameteo.org et Météo France, « Base de données météo et observations en temps réel », sur http://www.lameteo.org, lameteo.org, (consulté le ).
    7. Insee et Lameteo.org, « Températures records de Chambéry », sur https://www.linternaute.com, L'internaute, (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 349.
    16. Jean-Pierre Brunterc’h, Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049, t. LXI, coll. « Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne », , p. 34.
    17. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    18. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    19. Voir la publication d'Édouard Frain de la Gaulayrie:Livre de raison d’un gentilhomme verrier vicomte de Fercé (le dernier des Massari maîtres de la verrerie de Javardan 1754-1769. (Extrait du Bulletin de l’Association Bretonne), Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1905. In-8, 24 pages.
    20. « Fiche de la commune de Fercé », sur insee.fr (consulté le ).
    21. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    22. « Fercé », sur Communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    23. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le ).
    24. « Commune de Fercé (44058) », Insee (consulté le ).
    25. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fercé (44058) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    32. « Fercé », sur communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    33. « Résultats du recensement de la population - Fercé - POP T3 - Population par sexe et âge en 2009 », sur recensement-2009.insee.fr, Insee (consulté le ).
    34. « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
    35. « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
    36. « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    37. « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    38. « Les collèges privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    39. « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    40. « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    41. « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    42. « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
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