Soulvache
Soulvache est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique en région Pays de la Loire.
Soulvache | |||||
L'église Saint-Jacques, l'école et la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Châteaubriant-Derval | ||||
Maire Mandat |
Didier Paitier 2021-2026 |
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Code postal | 44660 | ||||
Code commune | 44200 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Soulvachais(e) | ||||
Population municipale |
343 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 49′ 48″ nord, 1° 28′ 20″ ouest | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 109 m |
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Superficie | 11,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Châteaubriant (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteaubriant | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | cc-castelbriantais.fr | ||||
Géographie
Localisation
Soulvache est situé à l'extrême nord du département de la Loire-Atlantique, à la limite de l'Ille-et-Vilaine, à 14 km au nord de Châteaubriant, à 35 km au sud de Rennes et à 68 km au nord de Nantes[1]. Les communes limitrophes sont Fercé et Rougé en Loire-Atlantique, Teillay et Thourie en Ille-et-Vilaine.
Géologie
Soulvache est caractérisée par la présence importante de grès, au dessus d'une couche de minerai de fer[2] (une mine de fer a existé sur la commune de 1912 aux années 1950).
Hydrographie
La limite nord de la commune de Soulvache est formée par le Semnon, un affluent de la Vilaine[3], dans lequel se jette la rivière Brutz, qui délimite la commune à l'ouest[3].
Climat
Soulvache est sous un climat océanique relativement doux. Les hauteurs annuelles de précipitations sont inférieures à 700 mm. Les hivers sont humides et en moyenne doux. Les étés sont relativement secs, modérément chauds et ensoleillés.
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour l'année 2007 selon les données de la ville de Rennes, distante de 32 kilomètres à vol d'oiseau :
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
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Températures maximales (°C) | 8,1 | 9,4 | 12,3 | 14,7 | 18,4 | 21,5 | 23,8 | 23,6 | 21,1 | 16,7 | 11,7 | 9 |
Températures minimales (°C) | 2,2 | 2,5 | 4 | 5,4 | 8,5 | 11,2 | 13,1 | 13,1 | 11,2 | 8,3 | 4,9 | 3,2 |
Températures moyennes (°C) | 5,2 | 5,9 | 8,2 | 10,1 | 13,4 | 16,4 | 18,5 | 18,3 | 16,2 | 12,5 | 8,3 | 6,1 |
Précipitations (hauteur moyenne en mm) | 61,3 | 52,3 | 49,3 | 45,1 | 58,1 | 46,4 | 42,6 | 47,3 | 56,6 | 63,8 | 68,4 | 69,1 |
Source: Météo France et Lameteo.org[4] |
Le tableau ci-dessous indique les records de températures minimales et maximales :
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
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Températures maximales records (°C) | 16,8 | 19,8 | 23,1 | 28,7 | 30,8 | 36,3 | 38,4 | 39,5 | 34,8 | 27,8 | 20,2 | 17,6 |
Années des températures maximales | 2003 | 1990 | 1965 | 1945 | 1953 | 1976 | 1949 | 2003 | 1961 | 1945 | 1993 | 1953 |
Températures minimales records (°C) | -14,7 | -11,2 | -7,3 | -3,2 | -1,2 | 2,2 | 5,5 | 4 | 1,9 | -4,6 | -7,5 | -12,6 |
Années des températures minimales | 1985 | 1948 | 2005 | 1984 | 1945 | 1962 | 1972 | 1956 | 1972 | 1947 | 1955 | 1964 |
Source: Insee et Lameteo.org[5] |
Voies de communication et transports
La commune est traversée par la route départementale 163 du Nord au Sud, le long de la limite ouest du territoire entre Rougé et Thourie. On peut aussi noter la route départementale 110 traversant la commune d'Ouest en Est.
Urbanisme
Typologie
Soulvache est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,9 %), prairies (31,7 %), terres arables (21,2 %), forêts (4,2 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
La commune est dénommée Sous-le-Val jusqu'au XVIIe siècle[13].
Le nom de la localité est attesté sous la forme Soulevache au XVIIIe siècle[14].
Histoire
On trouve la trace de cette paroisse dès le IXe siècle selon le cartulaire de Redon[réf. nécessaire]. Une légende raconte aussi qu'un ermite alréen aurait fondé une chapelle dédiée à saint Fiacre sur la demande d'un seigneur local[réf. nécessaire]. La paroisse se développe de part et d'autre de la rivière le Semnon. Il subsiste encore des vestiges de cette période moyenâgeuse, avec la motte féodale et sa tour ainsi que l'ancienne église de la paroisse[15]. La « motte des Ponts », dénommée ainsi car située à 150 m du Semnon[16], est surmontée d'une tour de 12 mètres de haut qui daterait du début du XIIIe siècle, d'après Michel Brand’honneur. Elle appartenait aux seigneurs de Rougé (en 1245, Bonabes III la possède)[17]. Au XVe siècle, deux domaines seigneuriaux sont présents sur la commune : le domaine de la Mabonnière, et le domaine de la Grée[18].
Soulvache se trouve alors sur la route qui mène de Châteaubriant à Rennes. La « Voie royale », comme elle était appelée, enjambait le Semnon au niveau d'un pont dont les ruines sont encore présentes dans la rivière[13]. Jusqu'au XVIIIe siècle, Soulvache est une chapelle (trève) dépendante de Rougé[15].
C'est au XVIIe siècle que le bourg actuelle se forme, plus en hauteur et plus loin de la rivière[réf. nécessaire].
Dans les années 1920, la commune connait un renouveau et multiplie sa population par deux. Cela s'explique par l'exploitation de la mine de fer de la Brutz à Teillay, à la limite ouest de la commune et de la Minière à Rougé, à la limite sud de la commune. Commencée en 1912 par la compagnie générale des mines de fer de Bretagne, l'exploitation de la concession évolue en 1920 avec son rachat par JJ Carnaud et Forges de Basse-Indre. Des étrangers, dont beaucoup d'origine polonaise, y travaillent. La commune ouvre alors une cité ouvrière[19]. Une ligne de chemin de fer relie la mine de la Brutz à la ligne de Châteaubriant à Ploërmel, son terminus se trouvait à la limite de la commune. Dans les années 1950, la mine est abandonnée.
Politique et administration
Soulvache est située dans le canton de Châteaubriant, et appartient à l'arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, dans le département de la Loire-Atlantique en région Pays de la Loire[20]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011[21].
Liste des maires
Intercommunalité
Soulvache est membre de la communauté de communes Châteaubriant-Derval, qui est constituée de vingt-six communes regroupées autour de Châteaubriant[15].
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Soulvache est une commune rurale multipolarisée, notamment par l'aire urbaine de Châteaubriant, et qui fait partie de l’espace urbain de Rennes[23].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2019, la commune comptait 343 habitants[Note 6], en diminution de 7,8 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 184 hommes pour 162 femmes, soit un taux de 53,18 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Soulvache dépend de l'académie de Nantes. Pour l'enseignement élémentaire, l'école publique « Daniel Cury » est présente sur la commune[30].
Santé
Un médecin généraliste exerce à Soulvache[31]. L'hôpital et les cliniques les plus proches se situent à Châteaubriant[32].
Économie
L'activité économique de Soulvache est essentiellement tournée vers l'agriculture et l'artisanat. On compte une vingtaine d'entreprises actives sur le territoire. La commune est l'une des plus pauvres de Loire-Atlantique : en 2009, le revenu par habitant ne dépassait pas les 1200€[33].
Commerce de proximité
En avril 2015, une épicerie-bar, le Papier buvard, ouvre à l'emplacement de l'ancien bar le Soulvachais[34]. Lieu alternatif basé sur l'économie sociale et solidaire, il organise une centaine de concerts, conférences par an[35]. Néanmoins, à la suite de conflits avec la mairie[36], le bar ferme ses portes en septembre 2019[37] ; un an plus tard, en septembre 2020, sort le docufiction de François Bégaudeau Autonomes qui consacre du temps au Papier buvard[38].
En 2015, un « magasin gratuit » ouvre dans la commune, à côté de l'épicerie-bar, où les biens se donnent et se prennent gratuitement[39].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
L'ancienne église Saint-Jean a été édifiée du XIIe au XVIIe siècle La charpente date de la fin du XVIe siècle[41]. Elle a été désaffectée à la construction de l'église Saint-Jacques. Après avoir servi d'école, est désormais utilisée comme salle municipale[19].
L'église Saint-Jacques est construite au milieu du XIXe siècle.
La chapelle Saint-Fiacre date du XVIIe siècle. Elle aurait été bâtie sur l'emplacement d'un sanctuaire mérovingien. À partir du milieu du XIXe siècle, on n'y célèbre des messes qu'occasionnellement. dédiée à saint Fiacre, la chapelle abrite des statues en bois du saint ainsi que saint Cloud datant du XVe siècle. On trouve aussi une statue de la Vierge à l'Enfant, en bois polychrome, datant du siècle suivant.
À la suite de l'arrivée en masse de travailleurs à la mine, la chapelle des Polonais est édifiée en 1923, dans la cité des mineurs à Bonne-Fontaine.
Patrimoine civil
L'entrée de la mine, dont l'exploitation a commencé en 1912, est toujours visible. Cette mine a profondément changé la physionomie de la commune. D'un point de vue architectural, on voit apparaitre des maisons reflétant le statut professionnel de leurs habitants : les petites maisons d'ouvriers, et les maisons des cadres dites « maisons d'ingénieurs ». À noter aussi, la construction en 1921 d'une petite centrale électrique pour garantir l'autonomie des machines de la mine[42].
Le pont datant du XVIIIe siècle constitué de pierres du pays et de pierre de schiste, qui enjambe la rivière le Semnon, témoigne de l'ancienne « voie royale ».
Le manoir de la Grée est situé le long de la route de Martigné-Ferchaud. On en trouve une mention en 1430, où il est propriété de Robert Brochereul[18]. Parfois dénommé « château de la Grée » ou « maison seigneuriale de la Grée »[43] dans les sources, il appartient aux XVIIIe et XIXe siècles à la famille de la Valette[44],[43],[45]. Ces derniers s'exilent à Jersey durant la Révolution française[44]. Le manoir passe à la famille de Villers au XXe siècle. Laissé à l'abandon à la fin du XXe siècle, il est racheté en 2005 par un collectif[46] qui le rénove et y installe un éco-hameau[47]. Plusieurs chantiers participatifs[48], festivals et évènements culturels y sont organisés[49]. Le 18 janvier 2021, le manoir est victime d'un incendie détruisant une grande partie du bâtiment[50].
Personnalités liées à la commune
- Jeanne Cherhal, originaire d'Erbray, évoque Soulvache dans sa chanson Rural[51] sur son album « Douze fois par an ».
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : au premier et au quatrième, d'argent à une moucheture d'hermine de sable ; au deuxième et au troisième, d'azur à la fleur de lys d'or ; à la tour d'or, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, posée sur un mont d'argent mouvant de la pointe, brochant sur le trait du parti de l'écartelé.
Commentaires : La tour est celle de Soulvache (détruite en 1915). La fleur de lys est celle des Châteaubriant. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance historique de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Eugène Charron (délibération municipale du ). |
Voir aussi
Bibliographie
- André David, La commune de Soulvache au début du XXe siècle, A. David, 2005, 15 pages
- Collectif, Le Patrimoine des Communes de la Loire-Atlantique, Flohic, (ISBN 978-2842340407)
- Juridiction de la Mabonnière à Soulvache, cotes 15 J 94, 15 J 194 à 15 J 200 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Soulvache sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélue en 2020
- Démission en mai 2021
- Élu en juin 2021 à la suite de la démission du maire précédent
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Soulvache », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
- « Bulletin de la Société géologique et minéralogique de Bretagne », sur Gallica, (consulté le ).
- Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : rivière le Semnon (J76-030-) » (consulté le ).
- Lameteo.org et Météo France, « Base de données météo et observations en temps réel », sur http://www.lameteo.org, lameteo.org, (consulté le ).
- Insee et Lameteo.org, « Températures records de Rennes », sur https://www.linternaute.com, L'internaute, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Collectif 1999, p. 1028.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Michel Brand’honneur, « Chapitre VI. Multiplication des mottes et stabilisation de la châtellenie : de nouvelles configurations territoriales pour une redéfinition des centres de pouvoir », dans Manoirs et châteaux dans le comté de Rennes : Habitat à motte et société chevaleresque (XIe-XIIe siècles), Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-2564-1, lire en ligne), p. 211–248.
- Michel Brand’honneur, « Chapitre IV. Mottes et chevaliers : question de méthode et/ou de diversité régionale ? », dans Manoirs et châteaux dans le comté de Rennes : Habitat à motte et société chevaleresque (XIe-XIIe siècles), Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-2564-1, lire en ligne), p. 135–157.
- « Annexe II : inventaires des manoirs à mottes, des châteaux et de leurs chevaliers », dans Manoirs et châteaux dans le comté de Rennes : Habitat à motte et société chevaleresque (XIe-XIIe siècles), Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-2564-1, lire en ligne), p. 264–290.
- Jean Anne Chalet, Les belles heures du comté nantais: deux mille ans d'histoire des 220 communes de la Loire-Atlantique, S. Godin, (ISBN 978-2-86505-004-8, lire en ligne), p. 230.
- Collectif 1999, p. 1029.
- « Fiche de la commune de Villepot », sur insee.fr (consulté le ).
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- « Soulvache, Didier Paitier, nouveau maire de Soulvache » (consulté le )
- « Carte thématique », sur Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Soulvache (44200) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Soulvache, sur le site de la Communauté de communes du Castelbriantais, consulté le 4 mars 2011.
- « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
- « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
- « Où vivent les riches en Loire-Atlantique ? », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Le bistrot qui va redonner vie à Soulvache », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Soulvache. Vers la fin du café le Papier buvard ? », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Soulvache : le troquet ou la tranquillité », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Soulvache. Le café Le Papier buvard rouvre… ailleurs », Ouest-France, (lire en ligne).
- Olivier Brumelot, France 3 Pays de la Loire, Documentaire. Autonomes, un film de François Bégaudeau, 15 avril 2020
- Isabelle MOREAU, « À Soulvache, le magasin gratuit surprend et ravit », Ouest-France, (lire en ligne).
- http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/resultats/chiffres-cles/n3/44/n3_44002.pdf
- « Soulvache (44660) », sur lafrancedesclochers.clicforum.com (consulté le ).
- Collectif 1999, p. 1031.
- Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Loire-Inférieure. Tome V, Archives civiles. Série E, supplément / rédigé par M. Léon Maître,..., (lire en ligne) :
« Le 27 septembre 1781, sépulture de Pierre Charles de la Valette, décédé au château de la Grée / Pierre de la Valette, chevalier de la Grée »
. - Comte Regis de L'Estourbeillon, Les Familles françaises à Jersey pendant la Révolution, V. Forest et E. Grimaud, (lire en ligne), p. 225-226 :
« M. Pierre-Constant de la Valette (...) habite encore le château de la Grée, en Soulvache (Loire-Inférieure), qui est la terre de la famille »
. - « Figaro : journal non politique », sur Gallica, (consulté le ) : « Nous apprenons la mort du comte de la Valette, décédé en son château de la Grée, en Soulvache (Loire-Inférieure) à l'âge de 86 ans ».
- « Soulvache. Une Fête d’automne, dimanche, au Manoir de la Grée », Ouest-France, (lire en ligne).
- « REPORTAGE. Soulvache. Le Manoir de la Grée : un éco-hameau dans un lieu historique », Ouest-France, (lire en ligne).
- « À la Grée, on travaille dans la bonne humeur », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Soulvache, temple de la culture alternative », Ouest-France, (lire en ligne).
- Anthony CHAUD, « Soulvache. Incendie au Manoir de la Grée : la perte d’un « patrimoine inestimable » », Oues-France, (lire en ligne).
- Paroles de Rural sur le site officiel de Jeanne Chérhal.
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