Festes-et-Saint-André

Festes-et-Saint-André prononcé en français : [fɛst.e.sɛ̃t‿ɑ̃dʁe], en occitan Fèstas e Sant Andrieu, est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Aude, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-André.

Festes-et-Saint-André

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes du Limouxin
Maire
Mandat
Catherine Eulalie Pinto
2020-2026
Code postal 11300
Code commune 11142
Démographie
Gentilé Festandréens
Population
municipale
198 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 29″ nord, 2° 08′ 47″ est
Altitude Min. 323 m
Max. 760 m
Superficie 18,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Limoux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Région-Limouxine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Festes-et-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : France
Festes-et-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Aude
Festes-et-Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Festes-et-Saint-André

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Razès, un pays historiquement très étendu, qui ne se résume aujourd'hui qu'aux collines de la Malepère et au bas Razès au centre et au sud, limité par le pays de Sault. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Corneilla et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Festes-et-Saint-André est une commune rurale qui compte 198 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 671 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Limoux. Ses habitants sont appelés les Festandréens ou Festandréennes.

    Géographie

    Localisation

    Festes-et-Saint-André est une commune située au sud-ouest de Limoux dans le Razès. Elle est située à environ 13 km de Limoux et de Couiza, à 14 km de Puivert.

    La route départementale D 121 traverse son territoire depuis le point le plus bas (323 m), en limite de la commune de Bourigeole, jusqu'au col de Festes à 677 m d'altitude, en limite de la commune de Puivert. Le point culminant de la commune est à 760 m.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Géologie ert relief

    Festes-et-Saint-André se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].

    Végétation

    Les paysages et la végétation sont variés. En aval, autour de Festes, on trouve un paysage typiquement méditerranéen avec la culture de la vigne, l'élevage de moutons, la garrigue avec la lavande, le thym, le romarin, le figuier, le chêne kermès appelé ici le Garric, etc. En amont, le sol se recouvre au fur et à mesure d'une végétation de montagne avec l'élevage de vaches, des pâtures et d'épaisses forêts de résineux destinées à l'exploitation forestière pour le bois de chauffage et pour les filières de l'industrie du bois.[réf. nécessaire]

    Hydrographie

    La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par la Corneilla et le Merle, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[5],[Carte 1].

    La Corneilla, d'une longueur totale de 21,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aude à Cournanel, après avoir traversé 6 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 874 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoux », sur la commune de Limoux, mise en service en 1945[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 647,7 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 31 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] :le « ruisseau de la Corneilla » (92 ha), couvrant 7 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Festes-et-Saint-André est une commune rurale[Note 5],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,8 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune est composée de deux villages éloignés d'un kilomètre : Festes (où se trouve la mairie) et Saint-André (où se trouve l'école). Chaque village possède son église, son cimetière. Elle comprend trois hameaux le Cazal, Besse et Courtapla, et de nombreuses anciennes métairies ou bordes (En Pas, En Durou, Marsès, Fabié, Laffitte, Mauget, Bouquié, Ichart, la Tuilerie, Bellevue, le Galinat ou Métairie Blanche, etc.).[réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Festes-et-Saint-André est membre de la communauté de communes du Limouxin[24], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Limoux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[24].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Région-Limouxine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[24], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1938 1944 Pierre Jammes    
    Juillet 1944 1944 Pierre Barbié   Commissaire de la République
    Octobre 1944 1959 Pierre Jammes    
    1959 1977 Louis Ferreres    
    1977 1989 Adrien Laffitte PS  
    1989 2001 Serge Horie    
    mars 2001 2012 Daniel Bord    
    2012 2020 Hervé Chaudemanche    
    2020 En cours Catherine Eulalie Pinto LFI  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28]. En 2019, la commune comptait 198 habitants[Note 7], en augmentation de 1,54 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    526550594598659671650599547
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    555488540524509506505367354
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    354322306268261235235207173
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    150105112159201202215213202
    2015 2019 - - - - - - -
    208198-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 86 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 155 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 13 060 [I 4] (19 240  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 6]17,5 %19 %19,8 %
    Département[I 7]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 126 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (58,7 % ayant un emploi et 19,8 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Limoux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 43 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 77, soit un indicateur de concentration d'emploi de 55,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 10].

    Sur ces 77 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,5 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    24 établissements[Note 10] sont implantés à Festes-et-Saint-André au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 24 entreprises implantées à Festes-et-Saint-André), contre 8,8 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Razès »[31]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[32].

    198820002010
    Exploitations271810
    Superficie agricole utilisée (ha)329484536

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 18 en 2000 puis à 10 en 2010[32], soit une baisse de 63 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[34]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 329 ha en 1988 à 536 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 12 à 54 ha[32].

    Culture locale et patrimoine

    Église de la Nativité de Festes.

    Lieux et monuments

    Le château de Festes

    Dominant le village de Festes un château (propriété privée) des XIe, XIIIe et XVIIe siècles ayant appartenu à la famille de Montfaucon, apparentée à celle de l'érudit Dom Bernard de Montfaucon.

    À Festes une église romane du XIe siècle.

    À Saint-André une église du XVIIe siècle.

    L'église de Saint-André.

    Un site inscrit en 1945 : la cascade de las encantados (ou de la Piche) à laquelle est attachée la légende du colporteur de Rouvenac poursuivi par les fées au battoir d'or, sur le ruisseau de Marsès[35].

    Personnalités liées à la commune

    • Les seigneurs de Montfaucon ont leur histoire liée à la commune : ils étaient propriétaires du château de Festes (XIe au XVIIe siècle).
    • Henri Boudet, Le , il est nommé curé desservant à Festes et Saint-André. Il deviendra ensuite curé de Rennes-les-Bains. Il publiera un ouvrage étonnant sous le nom de "La vraie langue celtique ou le Cromleck de Rennes-les-Bains" dans lequel il explique que l'anglais est à l'origine de toutes les autres langues.

    Héraldique

    Blason
    De gueules, à un orle d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Festes-et-Saint-André » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Festes-et-Saint-André » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Festes-et-Saint-André » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Festes-et-Saint-André » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Festes-et-Saint-André » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    4. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
    5. « Fiche communale de Festes-et-Saint-André », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « la Corneilla »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Limoux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Festes-et-Saint-André et Limoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Limoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Festes-et-Saint-André et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Festes-et-Saint-André », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « ruisseau de la Corneilla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Festes-et-Saint-André », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. « communauté de communes du Limouxin - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    26. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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