Fraissinet-de-Fourques

Fraissinet-de-Fourques est une commune française, située dans le sud du département de la Lozère, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Fraissinet.

Fraissinet-de-Fourques

Vue sur le village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
Daniel Reboul
2020-2026
Code postal 48400
Code commune 48065
Démographie
Gentilé Fraissinetais
Population
municipale
80 hab. (2019 )
Densité 3,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 12′ 58″ nord, 3° 32′ 23″ est
Altitude Min. 660 m
Max. 1 343 m
Superficie 24,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Collet-de-Dèze
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Fraissinet-de-Fourques
Géolocalisation sur la carte : France
Fraissinet-de-Fourques
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Fraissinet-de-Fourques
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Fraissinet-de-Fourques

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau de Fraissinet et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente » et « les Cévennes ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Fraissinet-de-Fourques est une commune rurale qui compte 80 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 938 habitants en 1800. Ses habitants sont appelés les Fraissinetais ou Fraissinetaises.

    Géographie

    Vue sur le haut des Causses du Méjean depuis le village

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Fraissinet-de-Fourques[1]
    Vebron
    Rousses
    Gatuzières

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 450 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur-Camprieu », sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 428,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[16].

    Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[17],[18].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] : les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifères : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[21]

    et un au titre de la directive oiseaux[20] : « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] :

    • le « chaos dolomitique de Nîmes-le-vieux » (288 ha), couvrant 3 communes du département[24] ;
    • les « contreforts oriental du causse Méjean entre Ferreyrettes et Fraissinet-de-Fourques » (957 ha), couvrant 3 communes du département[25] ;
    • le « ruisseau de Malabaisse » (8 ha)[26] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] :

    • le « causse Méjean » (33 342 ha), couvrant 13 communes du département[27] ;
    • les « gorges de la Jonte » (4 568 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Aveyron et six dans la Lozère[28] ;
    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et cinq dans la Lozère[29];
    • la « vallée du Tarnon » (6 248 ha), couvrant 7 communes du département[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Fraissinet-de-Fourques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), terres arables (3,5 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Fraissinet vient du latin frax(i)num (frêne) et du suffixe etum pour désigner un lieu planté de frênes. Fourque provient de l'occitan forc qui signifie fourche, croisée de chemins. Dans le Feuda Gabalorum (1307), le village est mentionné sous la forme : Frayceneto de Furcis[34].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Fraissinet-de-Fourques est membre de la communauté de communes Gorges Causses Cévennes[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Florac Trois Rivières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[35].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Florac, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Collet-de-Dèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[36].

    Liste des maires

    Liste des maires de Fraissinet-de-Fourques
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014 Albert Clément    
    2014 En cours Eddy Charbonneaux    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2019, la commune comptait 80 habitants[Note 8], en augmentation de 19,4 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    930938512551559554534510540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    555550497456479386424410368
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    372354335252211191188163138
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1259772646267646368
    2017 2019 - - - - - - -
    7980-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Église Saints-Pierre-et-Paul

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]0 %14,3 %10 %
    Département[I 6]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 80 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 20 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 30 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 28, soit un indicateur de concentration d'emploi de 106,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,1 %[I 9].

    Sur ces 28 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 67,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 32,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    De sinople, au pont d'une arche d'argent, maçonné de sable ; l'arche contenant une roue de moulin du second, le tout baignant dans une mer réduite d'azur, ondulée d'argent ; à une branche de frêne d'or, s'élevant sur le pont, feuillée de sept pièces, accostée de deux demi brebis arrêtées et affrontées d'argent, se mouvant des flancs de l'écu sur le pont et accompagnées en chef dextre d'un fouet d'argent, garni de boules pointées, mis en barre, et au senestre d'une épée de même, mise en bande.
    Détails
    Le sinople symbolise autant les vastes étendues agricoles du nord de la commune sur le Causse-Méjean avec la production de fourrages et de céréales, que les vastes forêts de la partie sud réparties autour du Perjuret, sur les contreforts du Mont-Aigoual.

    La mer azur indique que la commune est couverte d'une multitude de valat et de ruisseaux dont celui de Fraissinet qui traverse le village.

    Le pont représente les deux qui sont édifiés dans le village et la roue de moulin image ceux de Fraissinet : un sur le Clauzel et un sur le ruisseau de Fraissinet.

    La branche de frêne traduit le nom de la commune qui signifie l'endroit où pousse le frêne ; chacune des feuilles rappelle les lieux habités, y compris ceux qui ont disparu aujourd'hui : Le chef-lieu Fraissinet, Clauzel, Fourques, l'Hom, Malbosc, Perjuret, Veigalier et Viallas.

    Le fouet avec les boules garnies de pointes symbolise saint Gervais et l'épée saint Protais qui a été décapité après la mort de son frère ; ils sont les saints patrons de la paroisse de Fraissinet.

    Les brebis indiquent que l'élevage ovin est majoritaire ici soit sur place soit à l'occasion de la transhumance.

    Les ornements sont deux branches de châtaignier de sinople, fruitées d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'or afin d'indiquer la présence des bois au sud de la commune.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fraissinet-de-Fourques et Saint-Sauveur-Camprieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Fraissinet-de-Fourques et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    17. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    18. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Fraissinet-de-Fourques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « site Natura 2000 FR9101363 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Fraissinet-de-Fourques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « chaos dolomitique de Nîmes-le-vieux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « contreforts oriental du causse Méjean entre Ferreyrettes et Fraissinet-de-Fourques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « ruisseau de Malabaisse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « massif de l'Aigoual et du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF la « vallée du Tarnon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    34. Dictionnaire des noms de lieux en Cévennes, Paul Fabre, édition Christine Bonneton, 2009
    35. « communauté de communes Gorges Causses Cévennes - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    36. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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