Francheville (métropole de Lyon)
Francheville est une commune française de la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Francheville.
Francheville | |||||
Église Saint-Roch | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Circonscription départementale du Rhône | ||||
Métropole | Métropole de Lyon | ||||
Arrondissement | Lyon | ||||
Maire Mandat |
Michel Rantonnet 2020-2026 |
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Code postal | 69340 | ||||
Code commune | 69089 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Franchevillois[1]. | ||||
Population municipale |
14 906 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 1 822 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 44′ 14″ nord, 4° 45′ 51″ est | ||||
Altitude | 262 m Min. 179 m Max. 315 m |
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Superficie | 8,18 km2 | ||||
Élections | |||||
Métropolitaines | Ouest | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-francheville69.fr/ | ||||
Géographie
Francheville est une commune de 817 hectares (dont 450 hectares en zone naturelle), son point culminant est le Fort du Bruissin (Francheville Le Haut) à 308 mètres ; son point le plus bas est au quartier du Châter (Francheville le bas) à 215 mètres.
Le relief particulier ainsi que l’histoire expliquent que la commune est partagée en trois quartiers (le Bourg ou Francheville-le-Haut, le Châter ou Francheville-le-Bas et Bel Air), géographiquement très distincts.
Le quartier du Châter, à l'entrée du quartier de Francheville le Bas, doit son nom au château dont il subsiste des ruines qui surplombent la vallée de l'Yzeron. Un affleurement rocheux supporte ces ruines féodales ainsi qu'un pont qui enjambe la Vallée de l'Yzeron environ 45 mètres plus bas. Des maisons aux jardins étagés descendent jusqu'au ruisseau. Des éboulements et des coulées de terre s'étant produits à plusieurs reprises, la base abrupte du Rocher qui longe la voie de circulation D75 a fait l'objet de travaux de consolidation. C'est un goulot d'étranglement pour la circulation automobile actuelle[2].
Géologie
Ce sont les mouvements de glissement des glaciers qui ont, au Quaternaire, structuré la région. On trouve des affleurements rocheux, des moraines glaciaires, des strates sédimentaires, des plaines alluviales, avec l'apparition des vallées et des cours d'eau dont le ruisseau Yzeron, le plus long des ruisseaux de l'Ouest Lyonnais avec ses 25,1 km[3].
Les sables de l'Yzeron à l'époque romaine, ont été utilisés pour le mortier de construction des théâtres antiques de Lyon et de sa région[4].
Les ammonites ont disparu en même temps que les dinosaures en même temps que la "crise Crétacé - Tertiaire", et l'on en trouve un peu partout en France. Elles ont souvent été incluses dans des ouvrages d'art : un petit pont sur l'Yzeron, et sur la maison Jacques Faure à Francheville le Bas[5].
Communes limitrophes
Francheville est une commune située à l'ouest de l’agglomération lyonnaise.
Tassin-la-Demi-Lune | Lyon | |||
Craponne | N | Sainte-Foy-lès-Lyon | ||
O Francheville E | ||||
S | ||||
Brindas 1 | Chaponost 1 |
Urbanisme
Typologie
Francheville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[9] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (58,8 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), cultures permanentes (0,5 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Francheville se nomme Franchevéla en arpitan.
Histoire
Francheville est historiquement la première banlieue de Lyon[pas clair]. Avec la civilisation romaine, « franca villa », prend une importance toute particulière. En effet, les voies romaines, en direction de Lyon (Lugdunum, capitale du monde gallo-romain), remplacent les pistes des marchands et leur trajet passera sur son territoire.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Franche-Commune[16].
Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].
Patrimoine
En 1193, l'archevêque Renaud de Forez fait construire un château-fort sur le rocher qui surplombe la vallée de l'Yzeron afin de protéger son territoire contre les invasions. Entre 1624 et 1642, le « castel de Francheville » est complètement démantelé sur les ordres du Cardinal de Richelieu, qui redoute l’importance stratégique de cette cité aux portes de Lyon.
On trouve la trace du Vieux Château en 1226, édifié en surplomb d'un gué de l'Yzeron. Il faisait partie d'un ensemble de plusieurs châteaux forteresses construits par l'archevêque de Lyon Renaud de Forez.
Grâce à la forte personnalité de l'Archevêque de Lyon, le comté de Lyon est doté d'une organisation administrative efficace et rentable. L'Archevêque construit plusieurs châteaux, fortifie les domaines ou renforce onze autres sites. Le chateau surplombe sur son rocher un gué de l'Yzeron et sa position stratégique révèle sa mission de surveillance de la vallée[18]. On possède très peu d'informations sur le château de Francheville, durant les XIVe et XVe siècles.
La Guerre de Cent ans (1337-1453) est en fait une suite d'épisodes guerriers entrecoupés de pauses. Lorsque le premier traité de paix est signé en 1360, le pays est ravagé par les crises économiques, les épidémies comme la peste en 1361, les catastrophes naturelles.
Les soldats-mercenaires, au chômage, ravagent de leurs crimes les campagnes appauvries (les Tards-venus, les Routiers, les Écorcheurs)[19]. Avec la crise économique, les caisses sont vides. Les châteaux-forts, durement touchés par les guerres, sont plus ou moins en ruines, et les citadelles effondrées, abandonnées.
L'Église n'a plus les moyens d'entretenir ses biens. Malgré la reprise économique (deuxième moitié du XVe siècle) et la remise en culture des terres en friche, certaines forteresses sont restaurées, d'autres rasées ou abandonnées, devenues inhabitables ou indéfendables, comme le château de Francheville.
La destruction du Vieux-Château aurait été ordonnée par le Cardinal de Richelieu, le jugeant menaçant pour Lyon et le pouvoir royal. On a rétabli la vérité historique, à savoir que la forteresse était déjà abandonnée au XVIe siècle par un autre cardinal[2]. Les progrès de la science de la guerre sont venus à bout des citadelles imprenables[2]. On est passé de la catapulte romaine, ou baliste, au trébuchet à balancier, de plus en plus offensif et perfectionné, des pierres aux boulets de fer et à la poudre provoquant de plus en plus de dégâts. L'agonie des châteaux a duré plus d'un siècle en fonction de l'évolution de l'armement[20].
En 1712 et 1715, les murailles d'enceinte s'écroulent en partie, à deux reprises, sans faire de victimes. Les habitants sont inquiets, un jugement interdit désormais de prélever les pierres sous peine d'amende. Le processus de dégradation se poursuit et reste une menace pour les riverains[2]. Au XIXe siècle, en 1886, le Vieux Château est amputé de son tiers Nord-Ouest, pour la création d'une voie d'accès entre les deux quartiers, Francheville le Haut et Francheville-le Bas. On construit un nouveau pont sur l'Yzeron, devenu Pont-Neuf, de nos jours[2],[21].
Le sort des ruines ressort dans les années 1960. En 1966, le projet est l'arasement complet du rocher, donc la destruction des ruines médiévales qu'il supporte. Pour le sauvegarder, le Château est inscrit dans l'Inventaire des Monuments Historiques sous le numéro MH1982/07/12 PA 69000763[2].
En 2001 et 2002, sont pris deux arrêtés municipaux de péril, et des travaux de consolidation sont entrepris en 2003. Aujourd'hui, le chateau appartient à la commune de Francheville, les héritiers des derniers propriétaires Marjollet ayant finalement cédé ces ruines médiévales pour un euro symbolique[2].
En empruntant le Chemin de Ronde, on peut voir aujourd'hui la seule fenêtre restante, une ouverture rectangulaire inscrite dans la muraille haute encadrée de pan coupé ou chanfrein en pierre de taille, un calcaire blanc fin[2]. Les maisons environnantes s'appuient encore sur le rocher, pressées les une sur les autres avec des terrasses et des jardins clos. Les ruines sont interdites au public.
Héraldique
Blason | De gueules à la tour d'or avec son avant-mur dextre ruiné, le tout maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ, posé sur un rocher d'argent mouvant de la pointe; au chef cousu d'azur chargé de trois amphores d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[22],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 14 906 habitants[Note 4], en augmentation de 5,76 % par rapport à 2013 (Rhône : +5,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 516 € ce qui plaçait Francheville au 2 739e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[24].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le Fort du Bruissin.
- Le nouveau pont entre 1901 et 1902.
- Ancien pont d'Alaï, illustrés par J. Drevet.
Espaces verts et fleurissement
En 2015, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[27].
Culture
Francheville est particulièrement connue pour le Fort du Bruissin, ancien fort militaire reconverti en cité artistique, et le festival Fort en Jazz qui se déroule tous les ans.
Ce festival fort en jazz a été supprimé au changement de municipalité. Une association a été créée par des bénévoles "ca jazze fort à Francheville" pour que le jazz continue à résonner à Francheville
On y trouve également de nombreuses associations culturelles (environ 120) :
- Théâtre
- Pièces en stock (improvisation)
- La Traboule (troupe)
- La Ruée vers l'art (atelier pour enfants et ados)
- Just'In (troupe / ateliers théâtre adulte / stages adultes)
- Scène Franche (troupe)
- Théâtr'Art (jeu théâtral et masqué, création de masques)
- Théâtre de Bulle (théâtre masqué, burlesque et musical…)
- Musique, chant et créations artistiques
- École de musique de Francheville
- La Cantoria
- Association Expression Vocale de Francheville
- Chorale Bel-Air (AEVF)
- Big Band de Francheville
- Chorale Éclats de Voix[28]
- Ensemble Vocal Cantabile
- Musika Franche
- Pro lyrica
- In Voce Veritas
- Danse
- C.L.L.E.F.
- Emmanueli'Dance
- Centre social Michel Pache
- Association des familles
- Arts plastiques
- Vivre à Bel-Air
- Atelier et rencontre
- Peintres de l'Yzeron
- L'effet d'artistes
- C.L.L.E.F.
- L'Art est nié
- Culture générale et patrimoine
- Le patrimoine de Francheville
- Amis de la bibliothèque
- Comité de jumelage
Transports
Francheville est desservie par une gare, ainsi que par les bus TCL C19, C20, C20E, C24, C24E, 14, 73, et 73E.
Voir aussi
Jean-Paul Muel est un acteur français, né à Francheville.
Immudelki (ou Immu) créateur de l'I.F.S.C.L. (Interfaces Fictionnelles Simulées de Code Lyoko) développe son jeu à Francheville.
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
- Francheville, sur la route de l'histoire [2018].
- Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 5, 125-126.
- G. Mazenot, « Le sable de l'Yzeron et le théâtre romain de Fourvière », Les Études Rhodaniennes, Vol.16, n°3, , p. 125-172.
- Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 126.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale.
- Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 133.
- Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 233.
- Beffeyte, Renaud, 19.-, L'art de la guerre au Moyen Age, Ouest-France, (ISBN 2-7373-3744-5 et 978-2-7373-3744-4, OCLC 419577008, lire en ligne).
- Association du Patrimoine de Francheville, Francheville, un patrimoine... Images de 2013, , p. 7.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, (consulté le ).
- « Comparateur de territoire−Commune de Francheville (69089) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Le taux de chômage au sens du BIT baisse de 0,1 point au quatrième trimestre 2013 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie », sur www.cnvvf.fr (consulté le ).
- « Chorale "Éclats de Voix" de Francheville », sur Eclats de Voix - Wix.com (consulté le ).
Monographies
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Association Le Patrimoine de Francheville, Francheville, sur la route de l'histoire, , 233 p. (ISBN 978-2-9548156-0-2 et 2-9548156-0-4, OCLC 1061218079, lire en ligne).
- Association Le Patrimoine de Francheville (préf. Bernard Guérin), Francheville, un patrimoine, , 400 p. (ISBN 978-2-7466-4260-7).
- Francia Auger-Menand et Louis Menand, Francheville Arts et Spectacles (préf. René Lambert), Francheville, Maury Imprimeur, , 196 p. (ISBN 2-9507319-0-2).
- Dr Gabriel Richard, Francheville : Un pays qui vient de loin, Lyon, Audin & Cie, , 166 p..
- E. Bonnard, Monographie de la Commune et des deux Paroisses de Francheville (Rhône), Lyon et Villeurbanne, Association Typographique Lyonnaise, , 58 p..
- Paul Richard, « Les deux Paroisses de Francheville », Bulletin de la Société littéraire, historique et archéologique de Lyon, Lyon, avril - septembre 1906, p. 107-125 (lire en ligne, consulté le ).
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