Gailhan

Gailhan est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.

Gailhan

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Jacky Sipeire
2020-2026
Code postal 30260
Code commune 30121
Démographie
Population
municipale
250 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 41″ nord, 4° 01′ 57″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 211 m
Superficie 5,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gailhan
Géolocalisation sur la carte : France
Gailhan
Géolocalisation sur la carte : Gard
Gailhan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Gailhan

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau du Quinquillan et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Gailhan est une commune rurale qui compte 250 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Gailhanois ou Gailhanoises.

    Géographie

    Localisation

    Commune située à mi-chemin entre Sommières et Quissac.

    Hydrographie et relief

    Gailhan est situé au pied d'un massif boisé, le massif de Coutach.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 833 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vic-le-Fesq », sur la commune de Vic-le-Fesq, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 25 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[13] : la « rivière du Vidourle entre Sardan et Lecques » (193 ha), couvrant 6 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[13] : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont 6 dans le Gard et 19 dans l'Hérault[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Gailhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[I 1],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (50,9 %), forêts (27,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), zones urbanisées (5,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Occitan Gaian ou Galhan, du roman Galhan, Galian[19].

    Histoire

    Antiquité

    Plusieurs villages se sont succédé au même endroit depuis la nuit des temps puisque le premier remonte au Ve siècle av. J.-C. : l'oppidum de Gailhan. Les fouilles archéologiques sur l'oppidum racontent l'histoire d'une communauté qui connaissait déjà la vigne. Le site du Plan de la Tour, qui surplombe Gailhan, a été occupé pendant les Ve et IVe siècles av. J.-C., puis probablement pendant la période gallo-romaine aux IIe et IIIe siècles[20].

    Moyen Âge

    Dès le Ve siècle, une église est bâtie à l’emplacement de l’église actuelle, dont les parties les plus anciennes datent du XIe siècle[21]. La première mention du village est cependant plus tardive : Terminium de Galienis, en 1157, dans les layettes du Trésor des Chartes[22].

    Époque contemporaine

    Le décret du réunit les communes de Gailhan et de Sardan pour former la commune de Gailhan-et-Sardan[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014 Jean-Marie Tremoulet DVD  
    2014 En cours Jacky Sipeire SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2019, la commune comptait 250 habitants[Note 8], en augmentation de 12,11 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    82101107115135137186190172
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    188421372204191140133151141
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    164158142150149148133108123
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    127113110116111128148158203
    2014 2019 - - - - - - -
    232250-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 104 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 265 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 190 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,4 %11,9 %9 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 155 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 47 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 112, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3 %[I 10].

    Sur ces 112 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    23 établissements[Note 11] sont implantés à Gailhan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantées à Gailhan), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant une frange sud-ouest du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations1710611
    SAU[Note 14] (ha)204205143170

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 17 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 10 en 2000 puis à 6 en 2010[29] et enfin à 11 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 35 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[30],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 204 ha en 1988 à 170 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 12 à 15 ha[29].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Puits : puits rue de l'Abrivado, puits rue Charles Granier.
    • Pigeonnier au lieudit les Baraques.
    • Ancienne carrière de meules.
    • Murs de délimitation de propriété, dans la plaine de Gailhan, constitués sans doute de dalles de tout venant provenant d'une carrière proche.
    • Cabanes de vignes ou masets (privés) dans la plaine de Gailhan.

    Édifices religieux

    Église Saint-Privat
    • Église Saint-Privat : édifice du XIe siècle, remanié de nombreuses fois jusqu'au XIXe siècle.
    • Nombreuses croix : croix du chemin des Aires, croix de Saint-Privat, à l'entrée de Gailhan, au chemin du Mathieu.

    Héraldique

    Blason
    Parti : Au 1 d’argent, à cinq burelles de gueules ; au 2 d’or, à un lion de sable, lampassé de gueules.
    Détails
    L’argent et les fasces de gueules sont la reprise du blason du seigneur de Chaumont, baron de Lecques et seigneur, entre autres lieux, de Gailhan. La reprise du blason de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Le lion de sable sur fond d’or est la reprise du blason du sieur Fabry qui était à Gailhan. La remarque concernant la reprise du blason de famille est valable ici aussi.

    Les ornements sont deux pampres de sinople, fruitées de gueules, mises en sautoir par la pointe et liées d'argent pour honorer l’activité viticole.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gailhan » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gailhan » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gailhan » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gailhan » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Vic-le-Fesq - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Gailhan et Vic-le-Fesq », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Vic-le-Fesq - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Gailhan et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gailhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « rivière du Vidourle entre Sardan et Lecques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne.., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 7, t. 2
    20. Carte archéologique de la Gaule, le Gard, Michel Provost et alii, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1999.
    21. Eglise de Gailhan : rapport de fouilles de Richard Pellé et Michel Piskorz, INRAP
    22. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 94
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    29. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gailhan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.