Galinagues
Galinagues (en occitan Galinagas) est une commune française, située dans le sud-ouest du département de l’Aude en région Occitanie.
Galinagues | |
Vue générale. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Limoux |
Intercommunalité | Communauté de communes des Pyrénées audoises |
Maire Mandat |
Patrick Emery 2020-2026 |
Code postal | 11140 |
Code commune | 11160 |
Démographie | |
Population municipale |
36 hab. (2019 ) |
Densité | 8,7 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 48′ 31″ nord, 2° 02′ 46″ est |
Altitude | Min. 736 m Max. 1 098 m |
Superficie | 4,14 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Haute-Vallée de l'Aude |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situé entre 990 et 1310 mètres d'altitude fortement boisé. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Rébenty et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Galinagues est une commune rurale qui compte 36 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 197 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Galinagois ou Galinagoises.
Géographie
La commune est située dans le pays de Sault.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Rebenty, le ruisseau de Font Escure et le ruisseau du Rach, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Lauquette, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Fajac-en-Val et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est puis vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lauquet à Ladern-sur-Lauquet, après avoir traversé 4 communes[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belcaire », sur la commune de Belcaire, mise en service en 1979[11] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 018,6 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 51 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[17].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[19] :
- le « bassin du Rebenty », d'une superficie de 8 567 ha, qui offre une palette d'habitats naturels sur une grande gamme altitudinale et climatique et sur des substrats variés (calcaires, marnes, schistes). En particulier, on y rencontre de belles pinèdes de pins à crochets sur sol acide. La rivière héberge des espèces aquatiques (Chabot commun et Barbeau méridional, Écrevisse à pattes blanches) et mammifères (Desman des Pyrénées)[20]
et un au titre de la directive oiseaux[19] :
- le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, présentant une grande diversité d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espèces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espèces forestières comme le pic noir[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22] : la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du département[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] :
- le « petit plateau de Sault » (5 054 ha), couvrant 11 communes du département[24] ;
- la « vallée du Rébenty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du département[25].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Galinagues est une commune rurale[Note 7],[26]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (55,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), forêts (12,3 %), prairies (10,3 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Armoiries
Blasonnement de la commune : Écartelé d’azur et d’or. |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme de Galinagiis en 1360[29].
Issu du bas latin galina (cf. occitan galina « poule »[30]), suivi du suffixe gaulois -aca[30], forme féminine d'-acum, suffixe ayant originellement une valeur locative. Le bas latin Galina recouvre peut-être un nom de personne gaulois *Gallinus, issu de Gallus « le Gaulois » avec suffixe diminutif gaulois et latin -inus[30].
Histoire
En 876, le seigneur d'Aniort (Niort-de-Sault) détient les territoires d'Aniort, Gebetx, Galinagues et Mazuby[31].
En 1016, le chevalier Bernard Odon de Niort donne à l'abbaye de Joucou la moitié du lieu de Galinagues. En 1037, il donne l'autre moitié du lieu à la canoniale de Saint-Jean de Niort.
A la fin des années 1990, Galinagues, petit village du bout du monde, a retrouvé une seconde jeunesse avec l'arrivée de nouveaux venus de l'Europe urbaine et même des États-Unis. la population est passée de 28 habitants en 1990 à 41 en 1999. La Dépêche du Midi relate en avril 1999 que les enfants, au nombre de 16, ont pris possession du village[I 4]. Crêche vivante, carnaval, omelette pascale.. ont été parmi les initiatives redonnant du sens au mot village[32].
Au début des années 2010, les plus grands enfants ont dû se rendre en ville ramenant la population à 29, remontée à 37 en 2018.
Le 10 juillet 2021, la 14e étape du Tour de France passe sur la commune et emprunte la côte de Galinagues classée en 3e catégorie au Grand prix de la montagne.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Galinagues est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [33], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[33].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[33], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[35].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 36 habitants[Note 8], en augmentation de 33,33 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 22,2 % | 17,4 % | 4,3 % |
Département[I 6] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 24 personnes, parmi lesquelles on compte 60,9 % d'actifs (56,5 % ayant un emploi et 4,3 % de chômeurs) et 39,1 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,7 %[I 9].
Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 92 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 38,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 30,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 30,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Deux établissements[Note 10] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Galinagues au [I 12].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 5 | 4 | 4 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 115 | 161 | nd[Note 11] |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[40]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (cinq en 1988)[42].
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Félix Armand (1742-1823), curé de la paroisse de 1771 à 1774, connu pour être l'instigateur du percement des Gorges de la Pierre-Lys permettant de relier Saint-Martin-Lys à Quillan puis ultérieurement à toute la Haute vallée de l'Aude.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- nd : donnée non disponible.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Galinagues » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Commune de Galinagues (11160) », sur INSEE (consulté le )
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Galinagues » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de Galinagues », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Lauquette »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Belcaire - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Galinagues et Belcaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Belcaire - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Galinagues et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101468 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « petit plateau de Sault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Rébenty » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
- Robert Aymard, Les Pyrénéens au miroir de leur toponymie: Atlas toponymique pyrénéen, 1995, page 115
- Jean-Pierre Sarret, « Géographie historique du Pays de Sault au Moyen Age (Aude). », Archéologie du Midi médiéval. Tome 3, , pp. 93-102 (lire en ligne)
- Ph. C., « La deuxième vie de Galinagues », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Galinagues », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « communauté de communes des Pyrénées audoises - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Galinagues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Galinagues sur le site de l’Institut géographique national
Articles connexes
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