Gardonne

Gardonne est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Gardonne (rivière).

Gardonne

L'église de Gardonne.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Pascal Delteil
2020-2026
Code postal 24680
Code commune 24194
Démographie
Population
municipale
1 600 hab. (2019 )
Densité 194 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 15″ nord, 0° 19′ 59″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 35 m
Superficie 8,26 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de la Force
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gardonne
Géolocalisation sur la carte : France
Gardonne
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Gardonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Gardonne

    Géographie

    Généralités

    Au sud-ouest du département de la Dordogne, en Périgord pourpre et dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Gardonne est entièrement située en rive gauche de la Dordogne.

    Le bourg, en bordure de la Dordogne, est implanté au croisement des routes départementales 4 et 936 (l'ancienne route nationale 136). Il se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'est de Sainte-Foy-la-Grande et douze kilomètres à l'ouest de Bergerac et dispose d'une halte ferroviaire sur la ligne Bordeaux - Sarlat.

    La commune est également desservie à l'est par la route départementale 15 qui longe la Gardonnette. Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée GR 6D, tracé alternatif du GR 6.

    Communes limitrophes

    Carte de Gardonne et des communes avoisinantes.

    Gardonne est limitrophe de six autres communes dont une dans le département de la Gironde.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Gardonne est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée Fxb2, fait partie des formations superficielles de type basses terrasses, constituées d'alluvions anciennes. La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Gardonne.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 10 m[6] au nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre Saint-Pierre-d'Eyraud et Saint-Avit-Saint-Nazaire, et 35 m[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,26 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,34 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dordogne, le Gardonnette, le Moiron, le ruisseau de la Peyronnette, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne en limite d'Ambès et Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[17],[18]. Elle limite le territoire communal au nord sur deux kilomètres et demi, face à Saint-Pierre-d'Eyraud.

    La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[19],[20]. Elle limite la commune à l'est sur cinq kilomètres et demi, face à Gageac-et-Rouillac et Lamonzie-Saint-Martin, et se jette dans la Dordogne à l'est-nord-est du bourg.

    Le Moiron, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source en Dordogne, dans la commune de Saussignac et se jette en rive droite du Seignal en Gironde, à Saint-Avit-Saint-Nazaire, face à Pineuilh[21],[22]. Il limite le territoire communal au sud-est sur quatre kilomètres et demi, face à Saussignac et Razac-de-Saussignac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [24].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[25]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[26].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[25]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 776 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[29] complétée par des études régionales[30] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port Ste Foy », sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[31] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[32],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[33]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 12 km[34], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[35], à 13,1 °C pour 1981-2010[36], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[37].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne entre Gardonne à gauche et Saint-Pierre-d'Eyraud à droite.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Gardonne[38],[39]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[40].

    ZNIEFF

    Gardonne fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[41],[42], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[43].

    Urbanisme

    Typologie

    Gardonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[44],[45],[46]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[47] et 64 183 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[48],[49].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[50],[51].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), terres arables (25,4 %), cultures permanentes (15,7 %), zones urbanisées (14,2 %), prairies (7,3 %), eaux continentales[Note 9] (2,6 %)[52].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2002 pour les zones basses de Gardonne le long de la Dordogne, y compris la partie de la Gardonnette en aval de la route départementale 936 (les 400 derniers mètres)[53],[54].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en décembre 2014 d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[55],[56].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Gardona[57].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2001, Gardonne intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[58],[59].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1988 mars 2008 Guy Favard UMP Chef d'entreprise retraité
    mars 2008[60]
    (réélu en mai 2020[61])
    En cours Pascal Delteil SE[62] Maître de chai, conseiller départemental depuis 2021

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Gardonne relève[63] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Gardonne.

     Guémar (France)

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[65].

    En 2019, la commune comptait 1 600 habitants[Note 10], en augmentation de 5,19 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    625701681706708721679619655
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    659709681699672699708680706
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    712715721683750823854815813
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7739881 1151 1301 3831 4041 3581 3541 469
    2015 2019 - - - - - - -
    1 5601 600-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Après avoir connu une montée de niveau lors de chacune des trois saisons précédentes, le club de basket-ball « Entente sportive gardonnaise » (« ES Gardonne basket »), termine premier de sa poule en ligue nationale 3 lors de la saison 2014-2015 et accède ainsi en nationale 2[67]. Au terme de la saison 2021-2022, le club est relégué en Nationale 3[68].

    Économie

    Emploi

    En 2015[69], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 672 personnes, soit 43,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (102) a augmenté par rapport à 2010 (84) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 144 établissements[70], dont 79 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-deux dans la construction, dix-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et sept dans l'industrie[71].

    Entreprises

    Tous secteurs confondus, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « SCICA Castang » (commerce de gros interentreprises de fruits et légumes) située à Gardonne se classe 47e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 23 881 k€[72].

    Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées selon le chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, on trouve trois entreprises implantées à Gardonne :

    • dans le BTP, les Constructions métalliques Vigier (construction de bâtiments), 4e avec 11 461 k€[73] ;
    • dans l'industrie, Berkem (fabrication de produits chimiques), 20e avec 12 122 k€[74],
    • dans le commerce, SCICA Castang se classe 24e[75].

    Tous secteurs confondus, deux de ces entreprises figurent parmi les cinquante premières de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires à l'exportation[76] :

    • SCICA Castang, 10e avec 11 535 k€ ;
    • Berkem, 16e avec 5 819 k€.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    Parti: au 1er d'azur à la tour d'or, maçonnée de sable et ouverte de gueules, au 2e de sinople à la barque d'argent en chef et au gardon du même posé en pal en pointe.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[27].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[28].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Gardonne » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Gardonne » sur Géoportail (consulté le 13 juillet 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Gardonne », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Gardonne », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Gardonne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
    18. Sandre, « la Dordogne »
    19. « Confluence Gardonnette-Dordogne au nord de Monteton » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
    20. Sandre, « le Gardonnette »
    21. « Confluence Moiron-Seignal au nord-est de Labrau » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
    22. Sandre, « le Moiron »
    23. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    24. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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    26. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    27. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    28. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    29. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    30. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    34. « Orthodromie entre Gardonne et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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