Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt

Port-Sainte-Foy au bord de la Dordogne.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Foyen
Maire
Mandat
Jacques Reix
2020-2026
Code postal 33220
Code commune 24335
Démographie
Gentilé Port-Foyens
Population
municipale
2 478 hab. (2019 )
Densité 135 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 40″ nord, 0° 12′ 40″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 167 m
Superficie 18,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Pineuilh
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : France
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt

    Géographie

    Généralités

    La commune est située dans l'unité urbaine de Bergerac. Bordée au sud par la Dordogne, elle est arrosée par un de ses affluents, l'Estrop, qui y prend sa source.

    Bien que la commune soit dans le département de la Dordogne (numéro 24), son code postal commence par 33 (bureau distributeur : Sainte-Foy-la-Grande en Gironde).

    Communes limitrophes

    Parmi les dix communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, la moitié se trouvent dans le département de la Gironde. Son territoire est limitrophe de celui d'Eynesse, au sud-ouest sur moins de 300 mètres, et d'environ 350 mètres de celui de Saint-Avit-Saint-Nazaire à l'est. Au sud-est, la commune de Pineuilh est limitrophe en deux endroits disjoints, séparés par Sainte-Foy-la-Grande.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 829 - Duras » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 7 mètres et 167 mètres[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,32 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,79 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dordogne, l'Estrop, la Léchou, la Prunarède, la Rode, le ruisseau du Lardot et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Dordogne longe la commune sur son flanc sud-est. D'une longueur totale de 483,1 km, elle prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements, dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne, pour former l'estuaire de la Gironde[17]. Elle borde la commune au sud sur plus de sept kilomèteres, face à Saint-Avit-Saint-Nazaire, Pineuilh, Sainte-Foy-la-Grande et Eynesse.

    L'Estrop, d'une longueur totale de 17,8 km, prend sa source dans le nord la commune et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Saint-Antoine-de-Breuilh et de Saint-Seurin-de-Prats, face à Pessac-sur-Dordogne[18],[19]. Il arrose le nord de la commune sur dezux kilomètrhes et demi, lui servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre, face à Fougueyrolles.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 791 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1956 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[28]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records PORT STE FOY (24) - alt : 28 m 44° 51′ 00″ N, 0° 11′ 06″ E
    Records établis sur la période du 01-07-1956 au 31-05-2017
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,9 4,2 6,4 10,1 13,1 14,8 14,6 11,5 9,2 4,9 2,7 8
    Température moyenne (°C) 5,9 6,8 9,8 12,3 16,1 19,5 21,5 21,4 18,2 14,5 9,4 6,6 13,5
    Température maximale moyenne (°C) 9,8 11,7 15,5 18,1 22,1 25,8 28,2 28,1 24,8 19,9 13,9 10,4 19,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −18,5
    17.01.1987
    −16
    09.02.12
    −11,5
    01.03.05
    −3,1
    21.04.17
    −2,9
    07.05.1957
    2,5
    01.06.06
    6,5
    11.07.04
    4,3
    30.08.1986
    1,5
    21.09.1977
    −5,6
    30.10.1997
    −8,5
    17.11.07
    −11,8
    26.12.1962
    −18,5
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19
    02.01.03
    23,1
    15.02.1998
    27
    29.03.12
    31,5
    07.04.11
    34,4
    30.05.01
    40,5
    26.06.11
    40,2
    08.07.1982
    42
    05.08.03
    38
    03.09.05
    32,5
    02.10.11
    26
    06.11.15
    21
    05.12.06
    42
    2003
    Précipitations (mm) 66,9 57 58,3 77,3 79,8 51,8 54,1 57 63,7 72,7 82,1 81,5 802,2
    Source : « Fiche 24335001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[29],[30]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[31].

    ZNIEFF

    Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[32],[33], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[35],[36],[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[38] et 64 183 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[39],[40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[41],[42].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (29,7 %), zones urbanisées (12,8 %), forêts (12,5 %), prairies (6,1 %), eaux continentales[Note 8] (3,2 %), terres arables (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[43].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2002 pour les zones basses de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt le long de la Dordogne[44],[45].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[46],[47].

    Toponymie

    Le nom de Sanctus Petrus de Punchac est mentionné pour la première fois en 1122[48].

    En occitan, la commune porte le nom de Lo Pòrt de Senta Fe e Ponchac[49].

    Histoire

    Monument aux morts.

    En 1859, les trois communes de Saint-Avit-du-Tizac, Le Canet et La Rouquette ont fusionné sous le nouveau nom de Port-Sainte-Foy, c'est-à-dire le port de Sainte-Foy-la-Grande, commune située sur l'autre rive.

    En , à la suite de l'avancée des forces allemandes en Alsace et en Lorraine, les habitants de ces deux régions sont évacués et répartis dans le Centre-Ouest et le Sud-Ouest de la France[50]. Le , la gare de Sainte-Foy-la-Grande voit arriver 850 Alsaciens originaires de Plobsheim, dont une partie est accueillie à Port-Sainte-Foy[51].

    En 1960, les communes de Ponchapt et de Port-Sainte-Foy fusionnent sous le nom de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[48].

    En eaux profondes, ce petit village de mariniers, pêcheurs, artisans, et commerçants de la vigne et du vin a connu son apogée artisanal et commercial avec l'âge d'or de la batellerie sur la Dordogne.

    Une intense vie marinière animait alors quais, chais et entrepôts bordant la rivière. Aujourd'hui, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt c'est aussi le tourisme et les loisirs : sentiers de randonnées, églises romanes et moulins, deux bases de loisirs nautiques (aviron et canoë-kayak), tennis-club et enfin, Maison du Fleuve et du Vin, Musée de la Dordogne batelière avec sa vue imprenable sur la Dordogne.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
    Municipales 2020 Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt Maire Jacques Reix SE
    Départementales 2021 Canton du Pays de Montaigne et Gurson Conseillers départementaux Christel Defoulny et Éric Frétillère DVD
    Législatives 2022 2ème circonscription de la Dordogne Député Serge Muller RN

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections départementales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections cantonales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[74],[75].

    Liste des maires

    La mairie en 2020.
    Plaque de la place Elie-Philit.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1971 1995 Élie Philit PS Conseiller général du canton de Vélines (1982-1988)
    1995 2001 Joël Creton PS  
    2001 mars 2008 Max Geneste    
    mars 2008
    (réélu en mai 2020[76])
    En cours Jacques Reix SE[77] Secrétaire de mairie

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt relève[78] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage à l'entrée de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont appelés les Port-Foyens[79].

    Jusqu'en 1859, les trois communes du Canet, de La Rouquette et de Saint-Avit-du-Tizac étaient indépendantes. Leur regroupement a donné naissance à la commune de Port-Sainte-Foy.

    Avant la fusion de 1859

    Évolution démographique de Saint-Avit-du-Tizac
    1800 1806 1821 1831 1836
    283298302304289
    1841 1846 1851 1856 -
    278286306315-
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[6])

    Après la fusion des communes de 1859

    Lors de la fusion des communes de 1859, Saint-Avit-du-Tizac prend le nom de Port-Sainte-Foy. En 1960, la commune de Ponchapt fusionne avec Port-Sainte-Foy qui devient Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[80]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[81].

    En 2019, la commune comptait 2 478 habitants[Note 9], en diminution de 0,8 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1101 1901 1971 3141 3191 3171 3221 4001 489
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4471 4281 2161 1891 2531 2481 3201 4321 594
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    1 7981 8722 0932 2222 3452 3352 4892 4922 478
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[82].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    À l'origine, l'école communale se trouvait dans le même bâtiment que l'hôtel de ville, comme dans la plupart des autres municipalités[83].

    Avant l'instauration de la mixité, Port-Sainte-Foy disposait d'une école de filles, dont l'inscription est toujours visible sur le fronton du 54 rue Onésime-Reclus. L'édifice accueille de nos jours la bibliothèque municipale.

    Les établissements actuels sont les suivants :

    Cultes

    La mosquée de la Paix de Port-Sainte-Foy, édifiée en 1995[85].

    Sports et loisirs

    • Stade Pierre-Lart.
    • Club de tennis.
    • Plage des Bardoulets, au bord de la Dordogne, surveillée durant l'été dans le cadre de l'opération CAP33, en partenariat avec le département de la Gironde. Activités culturelles et sportives proposées, dont du beach-volley[87],[88].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Salon du livre Mémoire ancrée, en septembre (12e édition en 2022[89]).

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    Emploi des habitants

    En 2015[90], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 873 personnes, soit 34,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (135) a augmenté par rapport à 2010 (122) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,5 %.

    Emploi sur la commune

    Ehpad Saint-Joseph.

    En 2015, la commune offre 984 emplois pour une population de 2 503 habitants[91]. Le secteur tertiaire prédomine avec 42,2 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 33,9 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale Total
    Nombre d'emplois 77 116 42 415 334 984
    Pourcentage 7,8 % 11,8 % 4,3 % 42,2 % 33,9 % 100 %
    Source des données[91].

    Établissements

    Au , la commune compte 228 établissements[92], dont 141 au niveau des commerces, transports ou services, trente-trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et quinze dans la construction[93].

    Jusqu'à l'ouverture du centre commercial Leclerc Grand Pineuilh en 2012, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt comptait une grande surface de la même enseigne, avenue de Bordeaux, par la suite reconvertie en Brico-Leclerc[94].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt se blasonnent ainsi :

    Écartelé, au premier et au quatrième contre-écartelé au I et au IV de gueules au lion d'or, au II et au III d'argent plain, au deuxième et au troisième d'or à l'aigle de sable.


    Voir aussi

    Bibliographie

    Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
    • Jacques Reix, Port-Sainte-Foy. Chroniques du temps passé, Fanlac, 1981.
    • Jacques Reix, Aux portes de Sainte-Foy. Monographie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, 2001.
    • Jacques Reix, Ponchapt. Dans les pas de l'histoire, Itinérance, 2015 (ISBN 978-2-9547839-1-8).
    • Michel Villemiane, La colonie agricole évangélique pénitentiaire de Sainte-Foy, Les Dossiers d'Aquitaine, 2014.
    Pays foyen
    • Jacques Reix, La Dordogne du temps des bateliers, Fanlac, 1990.
    • Jacques Reix et Jean Vircoulon, Chronique des années de Guerre en pays foyen, Fanlac, 1995.
    • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
    • Jacques Reix, Sainte-Foy-la-Grande et le pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2005.
    • Jacques Reix, Le pays foyen dans la guerre, 1939-1945, Nouvelles Éditions Sutton, 2007.
    • Jacques Reix, Un siècle de vie sportive en pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2008.
    • Jacques Reix, La Dordogne batelière. Images au fil de l'Onde, Les Dossiers d'Aquitaine, 2010.
    • Jacques Reix, Entre Gironde et Périgord. Le pays foyen. Bastides et villages, La Lauze, 2012.
    • Jacques Reix, Au coeur des bastides. Du Périgord à l'Entre-Deux-Mers, Éditions Sutton, 2013.
    • Jacques Reix, Libération Sainte-Foy-Castillon 1943-1944, Itinérances, 2014 (ISBN 978-2-9547839-0-1).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 829 - Duras de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. Sandre, « la Dordogne »
    18. « Confluence Estrop-Dordogne au sud de la Vergnotte » sur Géoportail (consulté le 1 septembre 2022)..
    19. Sandre, « l'Estrop »
    20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    23. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    24. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    25. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    26. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    28. « Fiche du Poste 24335001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    29. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    30. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    31. Espèces, INPN, consulté le .
    32. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    33. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    34. Espèces, INPN, consulté le .
    35. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    37. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    39. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    40. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    41. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    44. PPR inondation - 24DDT20000019 - Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, DREAL Aquitaine, consulté le 21 février 2019.
    45. [PDF] - Plan de prévention du risque inondation - Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, DREAL Aquitaine, consulté le 21 février 2019.
    46. [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
    47. Plan de zonage du TRI de Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
    48. Jean-Claude Faure, « Dans les pas de l’histoire », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    49. Le nom occitan des communes du Périgord - Lo Pòrt de Senta Fe e Ponchac sur le site du conseil général de la Dordogne, consulté le .
    50. Philippe Nivet, Les réfugiés de guerre dans la société française (1914-1946), p. 254, [lire en ligne].
    51. « Jumelage : 80 ans après l'exode », Sud Ouest édition Dordogne, 8 octobre 2019, p. 20f.
    52. « Résultat de l'élection présidentielle de 2002 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    53. « Résultat de l'élection présidentielle de 2007 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    54. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    55. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    56. « Résultat de l'élection présidentielle de 2022 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    57. « Résultat des élections législatives de 2002 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    58. « Résultat des élections législatives de 2007 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    59. « Résultat des élections législatives de 2012 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    60. « Résultat des élections législatives de 2017 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    61. « Résultat des élections législatives de 2022 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    62. « Résultat des élections européennes de 2004 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    63. « Résultat des élections européennes de 2009 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    64. « Résultat des élections européennes de 2014 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    65. « Résultat des élections européennes de 2019 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    66. « Résultat des élections régionales de 2004 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    67. « Résultat des élections régionales de 2010 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    68. « Résultat des élections régionales de 2015 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    69. « Résultat des élections régionales de 2021 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    70. « Résultat des élections départementales de 2015 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    71. « Résultat des élections départementales de 2021 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    72. « Les résultats des élections départementales et régionales en Dordogne », sur FranceBleu.fr, (consulté le )
    73. « Résultat des élections cantonales de 2008 à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le )
    74. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
    75. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
    76. Michel Labatut, « Municipales en Dordogne : Jacques Reix réélu à Port-Sainte-Foy », Sud Ouest, 26 mai 2020.
    77. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 29.
    78. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    79. Nom des habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sur habitants.fr, consulté le 12 décembre 2011.
    80. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    81. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    82. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    83. Jean-François Ratonnat, La vie d'autrefois en Périgord, éditions Sud-Ouest, 1995, p. 29.
    84. Michel Labatut, « Les 20 ans de l’école Rigoberta-Menchu », sur Sud Ouest, (consulté le ).
    85. Chantal Crenn, « Ce que les musulmans nous disent de la campagne girondine », Ethnologie française, vol. 47, no 4, , p. 693-702 (lire en ligne)
    86. Communauté catholique des deux rives du pays foyen
    87. « CAP33 », tourisme-dordogne-paysfoyen.com, consulté le 20 mai 2022.
    88. « CAP33, sport et culture pour tous ! », paysfoyen.fr, consulté le 20 mai 2022.
    89. Michel Labatut, « Salon du livre, l'événement culturel de la rentrée », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 17.
    90. Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
    91. Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
    92. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    93. Dossier complet - Commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (24335) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
    94. « Un nouveau centre commercial pour mars 2012 », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    95. « Inscription du château de Fauga », notice no PA00083077, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 février 2011.
    96. « Le musée de la Batellerie fête ses 25 ans », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Dordogne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.