La Barre-de-Semilly
La Barre-de-Semilly est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 035 habitants[Note 1].
La Barre-de-Semilly | |
L'église Saint-Ébremond. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Saint-Lô |
Intercommunalité | Saint-Lô Agglo |
Maire Mandat |
Loïc Renimel 2020-2026 |
Code postal | 50810 |
Code commune | 50032 |
Démographie | |
Gentilé | Barriens |
Population municipale |
1 035 hab. (2019 ) |
Densité | 134 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 41″ nord, 1° 02′ 03″ ouest |
Altitude | Min. 48 m Max. 166 m |
Superficie | 7,74 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Lô (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Lô-2 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune est à l'est du Pays saint-lois. Son bourg est à 5 km limitrophe à l'est de Saint-Lô, à 12 km au nord de Torigni-sur-Vire et à 12 km au sud de Saint-Clair-sur-l'Elle[1]. Il est traversé par le Semilly, petit ruisseau de première catégorie qui prend sa source à Saint-Pierre-de-Semilly et se jette non loin, dans la retenue artificielle de Fumichon. Il est situé au bord de la route départementale 972 et à deux pas du rond-point de la zone Delta de Saint-Lô.
Le territoire est bordé par la route départementale no 972 — ancienne route nationale 172 — reliant Saint-Lô à Bayeux au nord-est et traversé par la D 11 joignant le chef-lieu de département à Caumont-l'Éventé par Saint-Jean-des-Baisants à l'est. Le bourg s'étale entre ces deux voies le long de la D 549 qui se prolonge au sud vers Sainte-Suzanne-sur-Vire. D'autres départementales plus modestes desservent les différents lieux-dits de la commune. L'accès à l'échangeur no 3 de la route nationale 174 est à 3 km au sud-ouest. Il permet de retrouver l'A84 à Guilberville (échangeur 40) à 20 km au sud.
La Barre-de-Semilly est dans le bassin de la Vire, par son affluent le Fumichon qui traverse le sud du territoire. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal : le ruisseau des Étangs de Semilly qui marque la limite au nord, le ruisseau de Baudre, en limite est, et le ruisseau du Pont Huet qui draine le centre du territoire.
Le point culminant (166 m) se situe en limite est, près du lieu-dit l'Hôtel Toupin. Le point le plus bas (48 m) correspond à la sortie du Fumichon du territoire, au sud-ouest. La commune est bocagère.
Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à 43 km, mais Granville-Pointe du Roc est 50 km[2]. Le Saint-Lois s'en différencie toutefois pour la pluviométrie annuelle qui, à La Barre-de-Semilly, avoisine les 900 mm[3].
La commune est structurée en une trentaine de hameaux[4] : le Bourg, la Mazure, la Motte, la Bache, le Blanc Pignon, la Longue Maison, le Quenot, la Moulinière, la Cosnetière, la Meneulière, la Lande, l'Hôtel-Ferrier, le Jardin, les Jardins, le Parc, la Hamel-Aubrée, l'Hôtel-Toupin, les Monts Joie, Plantro, les Chasses, l'Avenue, la Duranderie, les Fontaines, les Fondraies, la Rougerie, la Percherie, la Pouerie, le Caillou, Bouligny, la Houeslière, Arondel, le Ruffey, le Roussel, le Bordel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Condé-sur-Vire_sapc », sur la commune de Condé-sur-Vire, mise en service en 1968[13] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 937,5 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 44 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[17] à 11,2 °C pour 1981-2010[18], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
La Barre-de-Semilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[20],[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64,6 %), terres arables (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (3,3 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Barra de Veteri Symilleio en l288[27].
Le nom de Semilly représente l'appellation initiale d'un domaine qui fut démembré en deux paroisses, La Barre-de-Semilly et Saint-Pierre-de-Semilly.
Une première trace du démembrement est attestée dès le XIIe siècle par la forme Similleium vetus, « Semilly le Vieux », qui restera en usage jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, et qui suppose une distinction d'avec un habitat de création plus récente.
L'élément la Barre apparaît dans les textes à la fin du XIIIe siècle, et fait peut-être allusion à une réserve seigneuriale, un endroit clos, ou encore à une frontière ou limite de juridiction (de l'ancien français bare « barrière, clôture, porte »). Le mot barre a également désigné en toponymie des éperons rocheux, des remparts, et souvent les deux à la fois (site naturel fortifié).
Semilly représente un toponyme gallo-romain°SIMILIACU, formé avec le suffixe gallo-roman -ACU ajouté à un nom de personne. Le premier élément est l'anthroponyme gallo-romain Similius[28], d'où le sens global de « domaine rural de Similius »[29]. Ce type toponymique se rencontre également dans le Calvados (Semilly, hameau à Cussy), dans l'Aisne et la Haute-Marne.
Le hameau Bouligny était le domaine du gallo-romain Bolinius (Bolinus+-acum > Boliniacum).
Les hameaux en Y-ère, Y-erie, Hotel/Maison Y, les Y sont des constructions récentes. À l'origine, ils désignaient la ferme de la famille Y. Quenot = ferme des Quenot ; Moulinière = ferme des Moulin ; Cosnetière = ferme des Cosnet ; Meneulière = ferme des Meneule ; Hôtel-Ferrier = ferme des Ferrier ; Hamel-Aubrée = ferme des Aubrée ; Hôtel-Toupin = ferme des Toupin ; Duranderie = ferme des Durand ; Fontaines = ferme des Fontaine ; Fondraies = ferme des Fondre ; Rougerie = ferme des Rouge ; Percherie = ferme des Perche ; Pouerie = ferme des Pouer ; Houeslière = ferme des Houesle ; Ruffey = ferme des Ruffey ; Roussel = ferme des Roussel ; Bordel = ferme des Bordel.
Le gentilé de la commune est Barrien.
Histoire
Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la généralité de Caen, de l'élection de Bayeux (1612/1636, 1677), puis de Saint-Lô (1713), et de la sergenterie de Thorigny.
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[30].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 1 035 habitants[Note 9], en augmentation de 3,4 % par rapport à 2013 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Devenue commune périurbaine, La Barre-de-Semilly a doublé sa population entre la fin des années 1960 et le début des années 2000.
Lieux et monuments
L'église romane Saint-Ébremond (Xe – XIIe siècle) est inscrite aux monuments historiques depuis le [35]. Elle date du XIIe siècle (du second tiers selon les spécialistes, c'est-à-dire entre 1130 et 1170), tout au moins pour sa partie la plus ancienne, le chœur, et probablement la plupart des murs.
Activité et manifestations
Sports
L'Union sportive Semilly-Saint-André fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une deuxième équipe en division de district[36]. Née en 1976 de la fusion de l'Étoile sportive de La Barre-de-Semilly et de l'Avenir de Semilly-Saint-André, elle regroupe des joueurs des communes de Saint-André-de-l'Épine, Saint-Pierre-de-Semilly et La Barre-de-Semilly.
Service d'animation
Le centre de loisirs de La Barre-de-Semilly a ouvert ses portes en 1995. Il a une capacité d'accueil de cinquante enfants âgés de plus de 3 ans encadrés par cinq animateurs[37].
Voir aussi
Bibliographie
- Janjac Leroy, La Barre-de-Semilly et son histoire : l'église, Association Vivre à la Barre, 1991, multigraphié.
- Janjac Leroy, La Barre-de-Semilly et son histoire : les écoles, Association vivre à la Barre, 1992, multigraphié.
- Janjac Leroy, La Barre-de-Semilly et son histoire : les lieux-dits, Association vivre à la Barre, 1995, multigraphié.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- La Barre-de-Semilly sur le site de la communauté d'agglomération
- Résumé statistique de La Barre-de-Semilly sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- Section Lieux et monuments : La Barre-de-Semilly et son histoire édité par l'association Vivre à La Barre.
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- Distances orthodromiques selon le site Lion 1906
- « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr)
- « La Barre-de-Semilly » sur Géoportail..
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Barre-de-Semilly et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Barre-de-Semilly et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises, Page 1485.
- Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 184a.
- Ce nom gallo-romain est un dérivé à valeur patronymique du cognomen latin Similis, réemploi anthroponymique de l'adjectif latin similis « semblable, ressemblant », éventuellement donné à un jumeau (entre autres interprétations).
- Réélection 2014 : « Le maire Loïc Renimel réélu pour un 4e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – U.S. Semilly St Andre » (consulté le ).
- Site du Centre de loisirs.
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