La Côte (Haute-Saône)

La Côte est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir La Côte.

La Côte

Vue du village et des Vosges.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lure
Maire
Mandat
Robert Vuillemard
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70178
Démographie
Population
municipale
526 hab. (2019 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 16″ nord, 6° 34′ 22″ est
Altitude Min. 307 m
Max. 362 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Côte
Géolocalisation sur la carte : France
La Côte
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
La Côte
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
La Côte
Liens
Site web pays-de-lure.fr/la-cote.htm

    Géographie

    Localisation

    Le village se trouve à environ 6 kilomètres de Lure et 10 de Ronchamp, entre Palante et Malbouhans.

    La surface sur laquelle le village s'étend forme une sorte de cuvette en deux pentes qui ont comme intersection la route de Lure-Ronchamp. La nappe phréatique est relativement peu profonde. La commune est essentiellement entourée de forêt (sapin, chêne et hêtre). Le village est desservi par deux routes principales formant une intersection au carrefour de l'église. Derrière la Poste s'étendent de très vastes terrains plats.

    Topographie

    Le territoire communal dans son contexte local.

    Géologie

    La Côte est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[1] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[2]. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[3].

    Hydrographie

    Le Rahin à La Côte.

    Au centre du village, à côté de l'école s'écoule le Rahin qui est alimenté par le ruisseau de l'étang de Malbouhans. Il est bordée sur sa rive gauche par des terrains agricoles inondables. Malgré les sécheresses, celui-ci n'est quasiment jamais à sec. Quelques étangs sont éparpillés sur la commune. On pratique la pêche dans l'un d'eux.

    Climat

    L'éloignement de la région de La Côte à la mer est important à l'échelle de la France : au moins 600 km de l'Atlantique, et 500 km de la Méditerranée. Cette position engendre un climat semi-continental, caractérisé par des fortes amplitudes thermiques journalières et annuelles. Les étés chauds et lourds de La Côte alternent avec des hivers secs marqués par un froid plus vif. Les températures peuvent y descendre fréquemment en dessous des −10 °C. Les précipitations sont importantes en raison de la présence des massifs montagneux qui, à l'est, font obstacle à l'évacuation des masses d'air humides sur la Suisse. Dans la commune voisine de Ronchamp, le cumul des précipitations annuelles de l'ordre de 1 700 mm/an. En hiver, en raison du froid, les précipitations, se produisent sous forme de neige[4].

    Relevés des précipitations et heures d'ensoleillement à Luxeuil-les-Bains – Saint-Sauveur[5]
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Total année
    Heures moyennes d'ensoleillement 65.2 89.7 133.6 167.5 198.1 225.5 247.8 229.5 169.5 120 73.5 55.1 1776
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 85.3 74.9 79.2 73.1 97.9 88.2 85.5 77.9 80.9 99.8 94.2 103.1 1049.1
    Relevés de températures à Luxeuil-les-Bains – Saint-Sauveur
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Moyenne année
    Températures minimales moyennes (°C) -1.9 -1.8 1.1 3.5 8.0 11.1 13.1 12.7 9.4 6.2 1.7 -0.6 5.2
    Températures moyennes (°C) 1.6 2.6 6.4 9.6 14.0 17.2 19.4 19.0 15.2 11.1 5.6 2.5 10.4
    Températures maximales moyennes (°C) 5.1 7.0 11.6 15.6 20.0 23.3 25.7 25.4 21 16.0 9.5 5.6 15.5

    Urbanisme

    Typologie

    La Côte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), prairies (12,9 %), zones urbanisées (9,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Projet d'aménagement et paysage

    La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [13]. La Côte fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[14].

    Voies de communication et transport

    La commune est traversée par la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville et la RD 619. Les Lignes Saônoises intègrent La Côte à leur réseau[15].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est installée au 3/4 sur une zone inondable en cas de crue du Rahin[16].

    Toponymie

    La Côte sur un atlas communal de la Haute-Saône, en 1858.
    Outillage de mineur et statue de la Vierge sur une ancienne ferme du village.

    Costa en 1187 est devenu La Coste en 1273. Le nom vient du mot -coste- en ancien français issu lui-même du latin costa. On peut traduire en français courant ces deux mots par colline, ce qui est vérifié géographiquement.

    Histoire

    Au XIXe siècle, dans la forêt communale était extraite de la tourbe. Le village, qui fait partie de la paroisse de Roye est alors connu pour sa production de pomme de terre et son kirsh de qualité issu de variétés rares de cerises[17].

    Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XIXe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[18]. Les mineurs du village travaillent essentiellement au puits Arthur-de-Buyer et au puits du Magny[19]. Le nombre de mineurs devient important à partir du XXe siècle, la commune en compte 35 en 1931 puis une quarantaine jusqu’en 1950[20],[21].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Lure.

    La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[22]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

    Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du et la commune rattachée au canton de Lure-Nord[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.

    La commune de La Côte fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.

    Dans l'ordre administratif, elle relève du Tribunal administratif et que de la cour administrative d'appel de Nancy[24],[25]

    Intercommunalité

    Le village fait partie depuis 2003[16] de la communauté de communes du Pays de Lure, intercommunalité créée en 1998.

    Liste des maires

    La Mairie.
    La place de la Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1938 1959 Maurice Georges[26] RPF
    puis ARS
    Industriel filateur à Lure
    Député de la Haute-Saône (1951 → 1958)
    Conseiller général de Lure (1947 → 1969)
    Président du Conseil général (1953 → 1955)
    1959 1994[16] Léon Simonin   Décédé en fonction
    juillet 1994 mars 2014[27] Michel Vergnory[16],[28] UMP[29]  
    mars 2014[30]   Robert Vuillemard SE  

    Population et société

    Évolutions démographiques


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2019, la commune comptait 526 habitants[Note 3], en augmentation de 3,14 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    231281342362445432489492469
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    442440437433438412395432432
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    441500496515545544556503492
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    547509517517468476502524518
    2019 - - - - - - - -
    526--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culte

    L'église.

    Le village dispose d'une église catholique.

    Concernant d'autres religions, les lieux de cultes les plus proches sont les temples de Magny-Danigon et Clairegoutte pour les protestants, la synagogue de Belfort pour les juifs et la mosquée de Lure pour les musulmans[34].

    Sport

    Le village est équipé d'un terrain de sport[16].

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire, le pôle éducatif « Les amis de l'école ». Pour les écoles supérieures, il faut aller dans d'autres villes, comme Lure.

    Santé

    L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, de plus en plus désinvesti par les services publics au profit de celui de Vesoul. Par ailleurs, ces hôpitaux fusionnent en 2017 au profit de la nouvelle infrastructure commune du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard, située à mi-chemin entre les deux villes, à Trévenans[35].

    Services

    La commune dispose d'un bureau de poste, d'une caserne de pompiers et d'une salle des fêtes. Quelques pompiers existent dans le village, et vendent leurs calendriers. Aucun poste de gendarmerie n'est implanté dans le village. L'accès internet est arrivé bien tard dans la commune ; il a fallu attendre l'arrivée qu'une antenne Wi-Fi soit édifié pour bénéficier du web. Divers réunions et autres prestations ont régulièrement lieu, comme les réunions d'anciens combattants.

    Les autres services publics sont disponibles à Lure, où l'on trouve notamment la sous-préfecture, les services sociaux locaux du conseil départemental et une de ses antennes techniques routières, Pôle emploi, EDF, les services fiscaux et cadastraux et un tribunal d'instance.

    Économie

    Du miel est produit à La Côte.

    Secteur primaire

    La commune est entourée par d'importantes ressources forestières exploitées. Le bois est abattu dans les forêts aux alentours. L'automne, la chasse est pratiquée de manière importante par les amateurs. Bien que quelques étangs existent, la pêche n'y est que pur loisir. Dans les pâtures, il y a quelquefois des chevaux. À l'extrémité du village, du côté de Palante, on cultive tantôt du maïs, tantôt du blé.

    Industrie

    La Côte possède un petit secteur industriel où sont présentes plusieurs firmes, notamment Val Métal, Val Air, Val Usinage, Plastigond. Knauf Fibres est la plus grande installation du village. L'usine ne se situe pas dans la zone industrielle[16].

    Commerces

    La Côte ne possède aucune grande surface. Cependant, on peut y trouver boulangerie, boucherie et brocanteur. Pour faire des achats, il est nécessaire de se rendre dans les imposantes zones commerciales de Lure. Une fois par an, le village organise un vide-greniers près de la Poste.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.

    Héraldique

    Les armes de La Côte se blasonnent ainsi :

    De sable aux trois bandes bretessées d'or à la fasce d'azur brochante.

    Sa devise est :


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). 
    • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne). 

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « La dépression sous-vosgienne », sur http://www.caue-franche-comte.fr/.
    2. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur http://www.massif-des-vosges.com/.
    3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
    4. Sabine Marbach et Cathy Guillot (bureau d'études techniques Ecoscop), « Plan de paysage de la communauté de communes de Rahin et Chérimont - diagnostic juin 2008 » [PDF], sur le site de l'office de tourisme de Ronchamp (consulté le ).
    5. « Luxeuil, Haute Saône(70), 271m - [1981-2010] », sur le site de Lameteo.org (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
    14. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Les Lignes Saônoises (lignes de bus) », sur cctv70.fr (consulté le ).
    16. Chantal Lavoine, « Je ne voulais pas être maire : Conseiller dès 1965, 1er adjoint en 1989, Michel Vergnory est installé dans le fauteuil de maire depuis 1994. Il ne rempilera pas un mandat supplémentaire. « Il faut laisser la place aux jeunes », L'Est républicain, édition de Haute-Saône, (lire en ligne).
    17. L. Suchaux 1866, p. 182.
    18. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
    19. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
    20. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 16.
    21. Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 2 : Le puits Arthur de Buyer, , p. 21.
    22. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    25. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    26. « Maurice Georges (1899 - 1970) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    27. « Michel Vergnory passe la main », L'Est républicain, (lire en ligne).
    28. « Michel Vergnory et André Begey honorés », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
    29. « Résultats élections municipales 2014 : La Côte 70200 », sur Le Monde (consulté le ).
    30. « Robert Vuillemard installé », L'Est républicain, (lire en ligne).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. « Mosquée de Lure », sur http://www.guidemusulman.com/ (consulté le ).
    35. « Trévenans : les urgences du nouvel hôpital sont ouvertes », sur L'Est républicain, (consulté le ).
    36. « Chemins de fer vicinaux de Haute-Saône Sud » [PDF].
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