La Chapelle-d'Armentières
La Chapelle-d’Armentières (en néerlandais : Armentiers-Kapelle[1]) est une commune française située dans le département du Nord et la région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Pour les articles homonymes, voir La Chapelle.
La Chapelle-d’Armentières | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Damien Braure 2020-2026 |
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Code postal | 59930 | ||||
Code commune | 59143 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chapelloises, Chapellois | ||||
Population municipale |
8 577 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 830 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 25″ nord, 2° 53′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 20 m |
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Superficie | 10,33 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Armentières (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Armentières | ||||
Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | ville-lca.fr | ||||
Géographie
Situation
La Chapelle-d’Armentières se trouve sur le territoire des Weppes[2], en Flandre gallicante. Traversée par l'autoroute A25, qui relie la métropole lilloise au littoral, elle est située à 15 km au nord de Lille et 60 km au sud de Dunkerque, à proximité de la frontière belge.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Chapelle-d'Armentières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[19] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Principalement développée le long des routes départementales 933, 945 et 22, la commune de La Chapelle-d'Armentières s'étend sur une dizaine de kilomètres de long. Elle comporte trois zones principales d'urbanisation, héritées des anciennes paroisses[24] : le secteur central du Bourg, et les deux hameaux de la Choque au nord-ouest, et de Wez-Macquart au sud-est.
Ville surtout rurale, avec une surface agricole occupant les trois quarts de la superficie, La Chapelle-d'Armentières laisse une place importante aux espaces verts, parcs et jardins. Néanmoins, elle dispose également de zones industrielle et artisanale actives. En outre, l'urbanisation de la commune progresse de manière régulière, avec de nouveaux projets de lotissements en cours ou à venir.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones urbanisées (23,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Voies de communications et transports
- Réseau routier : Accès A25 (Sortie 8 - La Chapelle d'Armentières) vers Lille (15 km) et Dunkerque (65km)
- Réseau ferroviaire : La gare la plus proche est la Gare d'Armentières (commune limitrophe)
- Transport aériens : L'aéroport le plus proche est celui de Lille-Lesquin (23km)
- Transport en commun : La ville est desservie par le réseau de bus Ilévia
Histoire
Héraldique
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Les armes de la commune de La Chapelle-d'Armentières se blasonnent ainsi :
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Origines
Jusqu'à la Révolution française, le territoire actuellement occupé par la commune faisait partie d'Armentières. Toutefois, ses habitants se réunissaient habituellement dans la chapelle Notre-Dame du Vieil Biez, sur un territoire situé en dehors d'Armentières, dépendant des seigneuries de Saint-Simon et de Raisse. Dès 1685, ses administrateurs se virent accorder par le comte d'Egmont le statut d'échevins indépendants, préfigurant la future autonomie[27].
À la suite de l'abolition du régime seigneurial, c'est en 1790 que fut séparée d'Armentières une commune alors nommée Armentières-Paroisse, rebaptisée ensuite Armentières-Campagne. Cette première autonomie fut de courte durée, puisqu'un décret de la Convention réintégra le territoire à Armentières le . À la suite des protestations des habitants, une ordonnance séparera définitivement la localité d'Armentières le , et donnera à la nouvelle commune son nom actuel[28].
Époque contemporaine
À partir du milieu du XIXe siècle, La Chapelle-d'Armentières se développa autour de trois paroisses, Le Bourg, Wez-Macquart et La Choque, respectivement construites en 1863, 1864 et 1911[27]. Traversée par les tranchées durant la Première Guerre mondiale, la ville subit d'importantes destructions. Elle fut ensuite occupée par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale, et libérée le [27].
Politique et administration
Liste des maires
Depuis 1989, La Chapelle-d'Armentières est administrée par le maire DVD Bernard Coisne. Celui-ci fut élu à la suite du décès brutal du maire précédent, Henri Bouchery.
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Jumelages
Depuis 1989, La Chapelle-d'Armentières est jumelée avec cette commune britannique du Kent. Ce jumelage donne notamment lieu à des échanges culturels et scolaires. Par ailleurs, une délégation anglaise est invitée chaque année à l'occasion des festivités municipales du mois de mai.
En gage de leur amitié, les deux villes se sont échangé en 1994 des présents symboliques de leur patrimoine respectif. La Chapelle-d'Armentières offrit ainsi une Citroën 2CV à Birchington, qui lui fit don en retour d'une cabine téléphonique, installée à côté de la mairie[29].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2019, la commune comptait 8 577 habitants[Note 8], en augmentation de 0,08 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 119 hommes pour 4 508 femmes, soit un taux de 52,25 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La Chapelle-d'Armentières comporte plusieurs écoles maternelles et primaires[36] ;
- École mternelle Mozart ;
- École pimaire Louis-Bartier ;
- Groupe scolaire Notre-Dame de Fatima[37],[38], établissement catholique hors contrat sous l'égide de l'ICRSP ; ce groupe scolaire comprend une maternelle, une école primaire et un collège ;
- Groupe scolaire de Notre-Dame de Lourdes ;
- Groupe scolaire de Wez-Macquart ;
- Groupe scolaire du Bourg ;
- Groupe scolayre du Parc ;
- Groupe scolaire Omer-Ollivier.
Tissu associatif
Grâce à de nombreux équipements culturels et sportifs, La Chapelle-d'Armentières bénéficie d'un tissu associatif dense et dynamique, composé d'une cinquantaine de clubs et associations divers[39].
Économie
Avec 750 ha de terres agricoles sur une superficie totale de 1 072 ha, l'agriculture occupe une place importante à la Chapelle-d’Armentières[24]. Cette particularité offre à la commune un caractère de mixité urbaine très prisé de ses habitants.
Depuis les années 1980, une zone industrielle, de maintenant 50 ha, s'est développée à la Houssoye, à la sortie de l'autoroute A25. Elle accueille des entreprises actives dans les domaines de la construction mécanique, la distribution alimentaire, le transport ou encore la vente par correspondance[24].
Par ailleurs, la commune accueille, sur son sol, la Brasserie d'Annœullin depuis .
Culture locale et patrimoine
Christianisme
La Chapelle-d'Armentières est divisée en deux paroisses catholiques, St-Vaast et Notre-Dame-de-l'Espérance dont dépendent plusieurs églises : Saint-Vaast au Bourg, Notre-Dame-de-Lourdes à La Choque et l'Immaculée Conception à Wez-Macquart. Cette dernière avait d'abord été édifiée par Charles Leroy, architecte de la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille de Lille, mais fut détruite lors de la Première Guerre mondiale.
Des chanoines, du prieuré traditionaliste de l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, officient selon la forme tridentine du rite romain au sein de la Chapelle Notre-Dame-de-Fatima, œuvrant de concert avec le groupe scolaire éponyme
[40].
Cimetières militaires du Commonwealth
Ayant été le théâtre d'affrontements au cours de la Première Guerre mondiale, La Chapelle-d'Armentières possède six cimetières militaires du Commonwealth répartis à travers la ville :
Personnalités liées à la commune
Violaine Aernoudts, (1999- ), rameuse et membre de l'équipe de France[41]
Lieux de promenade
- Parc de la mairie : Ce parc est situé derrière la mairie. Il contient une zone de promenade, une aire de jeux pour enfants ainsi que des équipements sportifs.
- Parc de Courtembus : Ce parc a été inauguré en 2020. Il s'agit d'un parc semi-naturel qui a été conçu avec une priorité donnée à la faune et la flore, avec des zones fauchées et des zones tondues.
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Dominique Mamet, « La Flandre - Toponymie », (consulté le ).
- Frédéric Faucon, « Les Weppes », (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Chapelle-d'Armentières et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Chapelle-d'Armentières et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Ville de La Chapelle d'Armentières - Situation », Mairie de La Chapelle d'Armentières, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Ville de La Chapelle d'Armentières - Historique », Mairie de La Chapelle d'Armentières, (consulté le ).
- Statistique archéologique du département du Nord : Partie 1, , 385 p. (lire en ligne), p. 9.
- « Ville de La Chapelle d'Armentières - Jumelage », Mairie de La Chapelle d'Armentières, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-d'Armentières (59143) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Ville de La Chapelle d'Armentières - Ecoles Chapelloises », Mairie de La Chapelle d'Armentièresconsulté le=28 mars 2010, .
- Site du groupe scolaire Notre-Dame de Fatima
- La Voix du Nord du samedi 8 mai 2010 (éditions locales de la métropole lilloise).
- Annuaire 2009-2010 des associations chapelloises sur le site de la commune
- Site du prieuré Notre-Dame-de-Fatima
- « AERNOUDTS Violaine - FFA », sur ffaviron.fr (consulté le ).
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