La Garde-Adhémar
La Garde-Adhémar est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Lagarde.
La Garde-Adhémar | |||||
Saint-Michel de La Garde-Adhémar. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Drôme Sud Provence | ||||
Maire Mandat |
François Laplanche-Servigne 2020-2026 |
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Code postal | 26700 | ||||
Code commune | 26138 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lagardiens, Lagardiennes | ||||
Population municipale |
1 115 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 23′ 38″ nord, 4° 45′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 54 m Max. 232 m |
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Superficie | 27,73 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pierrelatte (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Tricastin | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.la-garde-adhemar.com/ | ||||
L'histoire de cette commune est liée à celle de la famille d'Adhémar, qui lui a donné son nom.
Géographie
Localisation
La commune est située dans le sud du département, à l'est de Pierrelatte.
Donzère | Les Granges-Gontardes | Valaurie | ||
Pierrelatte | N | Clansayes | ||
O La Garde-Adhémar E | ||||
S | ||||
Pierrelatte | Saint-Paul-Trois-Châteaux | Saint-Paul-Trois-Châteaux |
Relief et géologie
Le village est construit sur une crête rocheuse dominant la vallée du Rhône au niveau de Pierrelatte.
Sites particuliers[1] :
- Combe du Luc ;
- Combe Léron ;
- Montagne Collet (171 m) ;
- Montaury (117 m) ;
- Plaine de Saint-Romain ;
- Serre du Buis ;
- Val de Magne.
Hydrographie
La Garde-Adhémar est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- la Berre, affluent du Canal de Donzère Montdragon (28,3 km).
- le Canal de Donzère Montdragon ;
- le Charron ;
- les Écharavelles.
Climat
La Garde-Adhémar est un village provençal, le climat y est doux. Il fait chaud l'été. En hiver, les chutes de neige sont rares (comme pendant l'hiver 2017)[réf. nécessaire].
Réseau routier
L'accès à La Garde-Adhémar se fait par la route départementale RD 458, depuis Les Granges-Gontardes, au nord, ou Saint-Paul-Trois-Châteaux, au sud. De là, une route dessert le village, la RD 572.
L'autoroute A7 traverse la commune, à l'ouest, dans le sens nord-sud, mais sans sortie directe. Les sorties les plus proches sont les 18 au nord, et 19 au sud.
Réseau ferroviaire
La ligne de Combs-la-Ville à Saint-Louis (LGV) (ligne à grande vitesse Paris – Marseille) traverse le territoire communal. La LGV franchit l'autoroute, ainsi que le canal de Donzère-Mondragon par deux viaducs successifs.
Les gares les plus proches sont celles de Pierrelatte et Donzère, toutes deux implantées sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles (ligne Paris – Lyon – Marseille).
Aérodrome
L'aérodrome de Pierrelatte est situé en partie sur la commune[1].
Transports en commun
La ligne de bus no 42 (Avignon – Montélimar) dessert quotidiennement la commune, avec plusieurs allers-retours[2].
Urbanisme
Typologie
La Garde-Adhémar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Pierrelatte dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,3 %), forêts (25,1 %), terres arables (22,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), cultures permanentes (1,8 %), zones urbanisées (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Aérodrome de Montélimar
- Bois de la Dame
- Bois de La Fayette
- Borias
- Boudon
- Carrière de la Pessade
- Chabrelet
- Chaix
- Chanteperdrix
- Chapelle du Val des Nymphes
- Château de Chartroussas
- Chemin du Loup
- Croix de la Graille
- Espirouet
- la Baque
- la Berre
- la Garenne
- la Glacière
- la Jacotte
- la Justice
- la Pontbrianne
- la Rabaste
- la Ramée
- la Tuilerie
- le Chélas
- le Colombier
- le Creux Rouge
- le Jarrus
- le Mamarteau
- le Plan
- le Planas
- le Puy
- les Bonnes Filles
- les Borias
- les Boursiers
- les Buissières
- les Coudoulets
- les Escoirasses
- les Escombes
- les Escrottes
- les Fayettes
- les Fréresses
- les Garrigues
- les Grandes Terres
- les Grands Prés
- les Jaffagnards
- les Marais
- les Montjars
- les Péreyrets
- les Pessades
- les Riailles
- les Ribiers
- les Rochettes
- les Rosières
- les Rouvières
- les Sibarots
- les Terres Noires
- les Vignoulas
- Lingtier
- Magne
- Mas de la Côte
- Romany
- Saint-Joseph
- Sauveton
- Trèves
Toponymie
Attestations anciennes
- 1122 : mention de l'église : ecclesia de Guarda in Tricastrino (Juénin, Histoire de Tournus, 150)[9] ;
- 1179 : mention de l'église Saint-Michel : capella Sancti Michaelis de Garda (Juénin, Histoire de Tournus, 174)[9] ;
- 1223 : ad Guardam[10] ;
- 1291 : castrum de Garda (cartulaire de Montélimar, 32)[9] ;
- 1334 : Guarda Adhemari (cartulaire de Montélimar, 32)[9],[10],[11] ;
- 1579 : La Garde des Aimars (archives de la Drôme, E 2454)[9] ;
- 1793 (Révolution) : Garde-sur-Roche[9] ;
- 1891 : La Garde-Adhémar, commune du canton de Pierrelatte[9].
Étymologie
Le premier élément dérive de l'occitan gàrda[11], autrement gàrdo, issu du germanique wart « garde » → « tour de garde » → « forteresse »[10]. Cf. Lawarde (Picardie, Somme, Guarda 1117) et Vardes (Normandie, Seine-Maritime, ad Gardes 1210; Wardres vers 1240 cacographie pour *Wardes).
Le second élément -Adhemar > -Adhémar est attesté tardivement (XIIIe et XIVe siècles, voir supra). Il s'agit du nom du seigneur de l'époque[10] de la famille d'Adhémar. L'anthroponyme Adhemar est un nom d’homme occitan d’origine germanique.
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
Présence romaine[12] :
- Découverte de mosaïques, sarcophage, sculptures, inscriptions.
- Autels avec dédicace (christianisés, dans l'église).
Le Val des Nymphes tiendrait son nom d'un culte gallo-romain près des sources qui l'arrosent. Un autel votif aux nymphes, retrouvé au début du XXe siècle près du site, est conservé dans l'entrée de l'église paroissiale Saint-Michel de la Garde-Adhémar[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
Fief des Adhémar dès le XIIe siècle[12].
La seigneurie[9] :
- Au point de vue féodal, la Garde-Adhémar était une baronnie premièrement possédée par les Adhémar, de laquelle relevaient les terres de la Bâtie-Rolland, Cléon-d'Andran, les Granges-Gontardes, le Pont-de-Barret, Portes et le Puy-Saint-Martin.
- 1290 : les Adhémar l'hommagent aux comtes de Valentinois.
- 1543 : elle est acquise par les Escalin des Aimars.
- 1646 : les Escalin des Aimars obtiennent l'érection de la Garde-Adhémar en marquisat.
- 1706 : le marquisat passe (par héritage) aux Castellane-Adhémar.
- 1771 : il est vendu aux Villeneuve-Vence.
- 1784 : vendu aux Hugues, derniers seigneurs.
Le castrum de la Garde fut probablement implanté au XIe siècle sur l'éperon rocheux. Son nom souligne la fonction défensive et de surveillance de la vallée du Rhône et du vallon du Rieu.
- Fin XIe siècle (ou XIIe siècle) : un premier rempart protège les bâtiments essentiels (l'ensemble castral et l'église Saint-Michel) et quelques habitations.
- XIIIe siècle : les populations paysannes du Val des Nymphes, attirées par le renforcement du pouvoir seigneurial des Adhémar, s'installent à l'intérieur du castrum, ce qui nécessite son extension et la construction d'une seconde enceinte. L'habitat et les trois églises du Val des Nymphes (Saint-Martin, Saint-Pierre, Saint-Roman) disparaissent du paysage et de la mémoire collective.
- Dans le castrum, les réaménagements médiévaux soulignent la fonction résidentielle plutôt que défensive. Les observations archéologiques actuelles mettent en évidence des maisons-tours romanes, une aula (pièce résidentielle) seigneuriale au-dessus d'un vaste cellier, une maison aristocratique à fenêtres géminées. L'église Saint-Michel, originale par sa double abside, est un bel exemple de l'art roman provençal du XIIIe siècle[réf. nécessaire].
L'église Saint-Michel est mentionnée en 1119 : capella Sancti Michaelis de Gaba (Juénin, Histoire de Tournus, 145)[9].
Au XVIe siècle, un château Renaissance fut édifié par Antoine Escalin[13], baron de La Garde, ambassadeur et général des galères de France[réf. nécessaire].
Ce château, détruit pendant la Révolution française, fut la demeure de Pauline de Grignan, marquise de Simiane, fille de Françoise de Sévigné, comtesse de Grignan, et petite-fille de Mme de Sévigné. Le château faisait partie de la succession du marquis de La Garde, mort en 1713, dont Mme de Simiane fut la légataire universelle. Une tour subsiste encore, on dit que Charles IX et Catherine de Médicis y auraient passé une nuit[réf. nécessaire].
Vers 1750 (démographie) : la communauté de la Garde-Adhémar (qui comprend alors le territoire des Granges-Gontardes) est composée de 250 maisons et d'environ 350 habitants[9].
Avant 1790, la Garde-Adhémar était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et de la sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux. Son église, dédiée à saint Michel, était celle d'un prieuré de bénédictins, dépendant du prieuré du Val-des-Nymphes (voir ce nom), qui fut uni en 1539 au chapitre de Grignan, lequel a été, de ce chef, collateur et décimateur dans la paroisse de la Garde-Adhémar jusqu'à la Révolution[9].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].
En 2019, la commune comptait 1 115 habitants[Note 4], en augmentation de 1,36 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Les élèves de La Garde-Adhémar commencent leurs études à l'école maternelle située dans le quartier des Montjars puis à l'école primaire de la commune, qui comporte deux classes pour 41 enfants[19].
Manifestations culturelles et festivités
- Fête : le [12].
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, fruits, truffes, vignes (vin AOC Coteaux du Tricastin), ovins[12].
La commune est dans la zone de production des vins AOC Grignan-les-adhémar, anciennement Côteaux du Tricastin, ainsi que dans celle de la truffe du Tricastin. Deux domaines viticoles, une ferme biologique et une fromagerie sont installés sur la commune[20].
- Canalisation d’irrigation gravitaire en béton.
- Irrigation gravitaire : autre vue.
Commerces
- Une épicerie[réf. nécessaire].
- Trois restaurants[réf. nécessaire].
- Le café L'Absinthe, membre du réseau Bistrot de pays[21], adhère à une charte qui a but de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[22].
Artisanat
Plusieurs artisans, notamment liés au secteur du bâtiment, sont présents sur la commune[20].
Industrie
La société GELPALM, affiliée au Groupe ARDO, est spécialisée dans le secteur des légumes, herbes aromatiques et fruits surgelés[23].
Tourisme
Plusieurs gîtes et chambres d'hôtes[24].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Village médiéval (site inscrit) : restes de remparts (XIIIe siècle[réf. nécessaire]), ruelles, voûtes, maisons du XIIe siècle au XVIIIe siècle, fontaine médiévale[12].
- Église Saint-Michel (MH) de style roman provençal (XIIe siècle) : nef à berceau brisé, deux absides opposées en cul-de-four, croisée couverte d'une coupole octogonale sur trompes, clocher octogonal (refait au XIXe siècle), Vierge romane (objet classé) et Vierge Renaissance (objet classé)[12].
- D'abord chapelle castrale (XIe siècle ?), elle devient au début du XIIe siècle église paroissiale, dépendante de l'abbaye de Tournus jusqu'en 1540, époque où le pape Paul III l'attribue au chapitre de l'église collégiale de Grignan, qui en perçut les revenus jusqu'à la Révolution[réf. nécessaire].
- Restes du château Renaissance des Escalin[12].
- L'hôtel de Simiane (propriété privée) fait face à l'église Saint-Michel. Bâti sur des ruines antiques, il date du XVIe siècle. Il doit son nom à sa propriétaire, Pauline de Simiane, petite fille de la Marquise de Sévigné qui évoque la propriété dans ses lettres[réf. nécessaire].
- Chapelle de Pénitents (Pénitents Blancs[réf. nécessaire]) : fresques des XVIe et XVIIe siècles[12].
- Château de Chartroussas (XIXe siècle)[12].
- Calvaires[12].
- Le Val des Nymphes est situé à l’est de la Garde-Adhémar, entre des collines calcaires et arides. C'est une vallée verdoyante composée de prairies, de vergers et de chênes centenaires. Son nom viendrait d'un culte gallo-romain aux nymphes près des sources qui l’arrosent. Un autel votif aux nymphes, retrouvé au début du XXe siècle près du site, est conservé dans l'entrée de l'église paroissiale Saint-Michel de la Garde-Adhémar. Ce site abrite un des joyaux de l'art roman provençal : le Prieuré du Val des Nymphes[réf. nécessaire].
- Ruines de la chapelle du Val-des-Nymphes (MH), ancien prieuré bénédictin des XIe et XIIe siècles : façade d'inspiration romaine, abside en cul-de-four, double étage d'arcatures[12].
- Vue générale sur le village.
- Vue partielle sur le village.
- Jardin du presbytère de La Garde-Adhémar.
- Église Saint-Michel.
- Maison fleurie du village.
Patrimoine culturel
- Artisanat créateur[12].
La Garde-Adhémar est passée dans l'émission Le Village préféré des Français diffusée sur France 2. Elle est mentionnée dans le livre de Stéphane Bern[25].
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- Hélie de Saint Marc y a vécu ses dernières années, y est décédé le et y a été enterré le [26].
Héraldique, logotype et devise
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : Écartelé : au 1er d’argent à trois bandes de gueules, aux 2e et troisième d’azur à la croix pattée d’or chargée d’un besant du même, au 4e d’argent à la croix pattée d’or chargée d’un besant du même.
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Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- La Garde-Adhémar sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis .
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- Ligne n° 42.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 155 (La Garde-Adhémar).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 310b
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises - page 1677.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Garde-Adhémar.
- Yann BOUVIER, « Antoine Escalin des Aimars (1498?-1578) - De La Garde-Adhémar au siège de Nice, le parcours d'un Ambassadeur de François Ier », Recherches Régionales, Nice, Conseil Général des Alpes-Maritimes, no 188, octobre-décembre 2007, 28 p.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- école primaire de La Garde-Adhémar.
- économie de la commune.
- La charte Bistrot de Pays.
- L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010.
- ardo.com/fr.
- hébergements touristiques.
- Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 164, (ISBN 978-2-226-25929-5).
- « En direct de St-Jean. Les obsèques d’Hélie Denoix de Saint-Marc », Lyon People, 30 août 2013.
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