Descartes (Indre-et-Loire)
Descartes est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Descartes (homonymie).
Descartes | |||||
Hôtel de ville et statue de René Descartes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Loches | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loches Sud Touraine | ||||
Maire Mandat |
Bruno Méreau 2020-2026 |
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Code postal | 37160 | ||||
Code commune | 37115 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Descartois | ||||
Population municipale |
3 366 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 58′ 28″ nord, 0° 41′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 121 m |
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Superficie | 38,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Descartes (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Descartes (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-descartes.fr/ | ||||
Anciennement connue sous le nom de La Haye-en-Touraine, puis de La Haye-Descartes depuis la Révolution, elle prend son nom actuel en 1967 afin de rendre hommage à René Descartes, natif de la commune.
Cette petite cité du Sud de la Touraine s’inscrit dans la vallée de la Creuse, qui marque la frontière avec le département de la Vienne et la région Nouvelle-Aquitaine. Longtemps célèbre cité papetière, elle forme désormais un pôle économique concentrant activités commerciales et artisanales et est au centre d’une unité urbaine formée avec la commune voisine de Buxeuil.
Géographie
La ville est située à 300 km de Paris, et à une cinquantaine de kilomètres de Tours. Elle appartient au département d'Indre-et-Loire et à la région Centre-Val de Loire.
Hydrographie
Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 23,33 km, comprend un cours d'eau notable, l'Esves (1,889 km), et divers petits cours d'eau dont le Ravin (6,542 km)[1],[2].
L'Esves, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source à 135 m d'altitude à Betz-le-Château[3]. et se jette dans la Creuse à Descartes, à gauche de la commune au droit du hameau du Moulin Poujard, à 44 mètres d'altitude[4], après avoir traversé 12 communes[5]. Sur le plan piscicole, l'Esves est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].
Deux zones humides ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « Source du Bonnet Rouge » et « Les Réaux »[7],[8].
Urbanisme
Typologie
Descartes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Descartes, une agglomération inter-régionale regroupant 3 communes[12] et 5 579 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,3 %), prairies (9,8 %), forêts (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), eaux continentales[Note 2] (1,7 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Descartes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Esves et la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991 et 1999[21],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 878 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1595 sont en en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 1995, 1996, 2003, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].
Toponymie
Le village, attesté sous la forme latinisée Haiam vers 1155[26] (désignant un bois ou un champ entouré d'une haie), La Haye puis La Haye en Touraine[27].
Rebaptisée La Haye-Descartes au cours de la Révolution française[28], nom révolutionnaire qu'elle conserve jusqu'au milieu du XXe siècle.
La commune étroite et la commune voisine Balesmes qui l'entourait s'associent en 1966[28]. La nouvelle commune ainsi formée prend, à partir de 1967, le nom de Descartes[28],[27] en hommage au philosophe René Descartes, né dans le village le .
Elle est surnommée localement « la ville aux Trois René » (René Descartes, René de Buxeuil, René Boylesve).
Histoire
Occupé depuis l'époque paléolithique, le territoire de la commune livre régulièrement des silex taillés provenant de la commune voisine du Grand-Pressigny.
À la fin du premier millénaire, un château y est construit, dont il ne reste que les soubassements (dans l'actuel jardin public. On ignore s'il s'agissait effectivement d'un château en pierres ou d'une simple motte castrale.
Selon l'érudit Jean-Louis Chalmel[29],[30], sous réserve de confirmation, les premiers sires de La Haye seraient issus d'Adalaud/Adalard et de son fils Garnier de Loches (lui-même père de Roscille, la femme de Foulques le Roux d'Anjou, au Xe siècle). On trouverait ensuite Sanson (fl. vers l'an mil), mari d'Hameline et père de Renaud (Ier), Ascelin et Hervé ; André, fl. vers 1105, serait le fils de Renaud. Apparaît ensuite Cassinotte, aussi vicomtesse de Tours, qui épouse Gosselin/Josselin (ou plutôt Hugues ?) de Ste-Maure, puis Jean de Montbazon, fl. 1126 : d'où leur fils Hugues, père de Renaud (II) de Montbazon-La Haye et de Barthélemy. Selon cette construction, les sires de La Haye sont désormais une branche des Montbazon, mais cela reste à étayer...
Renaud (II) épouse Hersende de Colombier(s), fl. 1159, d'où Hamelin, père de Geoffroi Ier qui soutient les fils d'Henri II Plantagenêt révoltés contre leur père. Après Geoffroy, on trouve Hugues, sans doute son fils, puis le probable rejeton de ce dernier, Philippe/Philibert (de Montbazon) (est-ce un parent de Pierre (II) Savary qui continue les sires de Montbazon et de Co(u)lombiers/Villandry vers 1206-1238, et qui avait pour père ou grand-père un Philippe/Philibert de Montbazon et Colombiers ?) dont la femme Isabelle de Passavant est veuve en 1255. Leurs enfants sont Geoffroy archevêque de Tours en 1314-1323 et son frère Barthélemy Ier de La Haye, époux d'Elise/Helvise de Lusignan, fille de Guillaume Ier de Valence sire de Mervent et Mouchamps et de Marquise de Mauléon : père de Guillaume, lui-même père de Geoffroi II de La Haye marié à Marie fille d'Hardouin V de Maillé, fl. 1370 : leur fille héritière Isabelle de La Haye-Passavant épouse Pierre de Marmande et St-Michel-sur-Loire.
La seigneurie est alors continuée par la fille de ces derniers, Marguerite de Marmande, dame de La Haye, Passavant, Azay, Marmande (cf. à Vellèches et Marigny), St-Michel-sur-Loire, Cravant-les-Côteaux, La Roche-Clermault, Chezelles-Savary, Faye-la-Vineuse..., femme de Jean III comte de Sancerre, † 1402/1403 : leur fille héritière Marguerite comtesse de Sancerre, † 1418, transmet ces fiefs à son époux Béraud II dauphin d'Auvergne, † 1399. Leur illustre postérité — les Orléans-Longueville, les Bueil, les Chaumont d'Amboise — n'aura pas La Haye, passée avec Azay-le-Rideau au quatrième et dernier mari de la comtesse Marguerite : Jacques de Montbron-Maulévrier, maréchal de France, † 1422.
Durant, la guerre de Cent Ans, le , lors de la chevauchée du Prince noir, les Anglais passent la nuit à La Haye.
Jacques de Montbron cède La Haye à Jean de Torsay sire de Lezay et de La Mothe-Saint-Héray, chambellan du roi (Charles VI) et maître des Arbalétriers, dont la fille Jeanne de Torsay épouse 1° André de Beaumont-Bressuire, 2° Jean Ier de Rochechouart-Mortemart, 3° Philippe de Melun de La Borde, frère aîné du Grand-maître Charles (postérité des trois unions). Son fils Jacques de Beaumont, † 1492, chambellan de Louis XI, mari de Jeanne fille de Jean Ier de Rochechouart-Mortemart et de sa première femme Jeanne Turpin de Crissé, transmet La Haye, Lezay, La Mothe-St-Héray et Bressuire à sa fille Philippe (prénom alors épicène), † 1525, mariée à Pierre de Laval-Montmorency, † 1528, seigneur de Loué et Montsabert.
La Haye est alors vendue à Guillaume de Morenne puis à Louis de Rohan prince de Guéméné (Louis IV, Louis V ou Louis VI ? ; des descendants des anciens Montbazon) : Les Rohan-Guéméné l'intègrent, avec Ste-Maure et Nouâtre, à leur duché de Montbazon érigé en 1588/1594.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation passe à la Haye Descartes.
Déjà dynamitée en par le Génie afin de retarder l'avancée de l'armée allemande, l’arche centrale du pont sur la Creuse s’effondre à nouveau en , sabotée par les FFI[31].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[33].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2019, la commune comptait 3 366 habitants[Note 4], en diminution de 8,76 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,1 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 627 hommes pour 1 800 femmes, soit un taux de 52,52 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,91 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Descartes se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches.
La commune compte plusieurs établissements scolaires :
- L'école maternelle Côte des Granges
- L'école élémentaire Côte des Granges
- L'école primaire Balesmes
- L'école primaire privée Louis Lefé
- Le collège Roger Jahan
Transports
- Réseau de mobilité interurbaine (Rémi) avec les lignes H1 et TC. Un service de transport à la demande est également disponible, entre les communes d'Abilly, La Celle-Guenand, Descartes, Saint-Flovier, Grand Pressigny, Preuilly-sur-Claise et Loches.
- Ligne de bus PHIL'O'BUS (Transports Urbains - Bus)[39]
Service de transport urbain entre « Maison médicale > Mendès France », qui circule toute la journée du mardi au vendredi et le samedi matin.
Économie
Culture locale et patrimoine
Musées
- Musée Descartes, dans la maison natale du philosophe[40].
- Maison du Patrimoine.
Vestiges préhistoriques et antiques
- Dolmen du Chillou-du-Feuillet (monument historique). La table est basculée mais repose encore sur ses supports; les pierres sont de couleur rouge[41]
Architecture civile
- Maison natale de René Descartes XVIe siècle (inscrit Monument historique)[40].
- Statue de René Descartes, érigée en 1849, par Nieuwekerke, coulée à la fonderie d'Abilly.
- Maison de Boylesve XVIe siècle.
- Ancien presbytère XVe siècle.
- Papeterie de La Haye-Descartes.
- Barrière signalant la ligne de démarcation entre la France occupée et celle du régime de Vichy.
Architecture religieuse
- Église Saint-Georges de La Haye-Descartes XIIe siècle, remaniée XVe siècle (monument historique inscrit).
- Ancienne église Notre-Dame de La Haye (monument historique classé).
- Église Saint-Pierre de Balesmes (monument historique) XIIe siècle et XVIIIe siècle.
- Ancienne chapelle Saint-Marc.
Spectacle de plein air
Descartes dans la littérature
René Boylesve, natif de Descartes, a fréquemment reproduit sa ville natale dans ses œuvres, sous des noms d'emprunt. C'est Néans dans Le Médecin des dames de Néans[42] ou Beaumont dans La Becquée puis l'Enfant à la balustrade.
Personnalités liées à la commune
- René Descartes (1596-1650), philosophe, mathématicien et physicien.
- Pierre-Ernest Ballue (1855-1928), artiste peintre né et décédé dans la commune. La ville a donné son nom à la rue principale où il est né.
- René Boylesve (1867-1926), écrivain : son nom a été donné, par hommage, à la rue où se situe sa maison natale.
- René de Buxeuil (1881-1959), compositeur devenu aveugle enfant à la suite d'un accident.
- Gustave Trouvé (1839-1902), ingénieur, inventeur. On lui doit de nombreuses inventions liées à l'électricité.
- André Goupille (1897-1983) Docteur-Vétérinaire, résistant, avec sa famille, fait passer la ligne de démarcation aux évadés, aviateurs, juifs, réfractaires, etc. Toute la famille fut déportée en camp de concentration et tous sont revenus.
- Jeanne Goupille (1896-1986), Juste parmi les Nations, résistante, elle a recueilli Sacha Danemans après la déportation de ses parents à Auschwitz.
- Mennesson ( -1940), militaire, dragon, sous-lieutenant, tué dans l'action aux commandes de son char le 22/06/1940 dans la défense de la commune.
Héraldique
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Les armes de Descartes se blasonnent ainsi : D'or à la fasce de sinople chargée de trois tours d'argent, maçonnées de sable [43].
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Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Descartes », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Source de l'Esves » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
- « Confluence de l'Esves avec la Cruese » sur Géoportail (consulté le 28 novembre 2015)..
- « Fiche Sandre - l'Esves », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Descartes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, volume 2. Librairie Droz 1991. p. 1210.
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- « La Haye, p. 119-125 », sur Histoire de Touraine, t. III, par Jean-Louis Chalmel, chez A. Aigre à Tours, 1841.
- « Isabelle de La Haye-Passavant », sur Généalogie Québec.
- Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon, éd. Horvath, 1993 (ISBN 2-7171-0838-6), p. 228.
- « Décès d’une "figure", Jacques Barbot », La Nouvelle République, (lire en ligne)
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- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Descartes (37115) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département d'Indre-et-Loire (37) », (consulté le ).
- http://www.ville-descartes.fr/pdfs/flash%20infos%2050.pdf
- http://descartesmuseesexpos.pagesperso-orange.fr/page3.html
- Lemaistre, Jacques, 1941-, Mégalithes : chasse au trésor autour du Grand-Pressigny, (ISBN 979-10-97407-15-5, OCLC 1103676047, lire en ligne), p. 31.
- André Bourgeois, La vie de René Boylesve, vol. 1 : Les enfances (1867-1896), Genève, Paris, Droz, Minard, , 240 p. (ISBN 978-2-600-03450-0, lire en ligne), p. 227.
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=3093
Voir aussi
Bibliographie
- M. de la Marsonnière, « États de service d'un gouverneur de la ville & du château de La Haye en Touraine ancien exempt des gardes du corps de Henri IV », dans Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest, 1893, 2e série, tome 16, p. 435-468 (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
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