La Méaugon
La Méaugon [la meogɔ̃] est une commune française située près de Saint-Brieuc dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.
La Méaugon | |||||
Église Saint-Méaugon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Saint-Brieuc | ||||
Intercommunalité | Saint-Brieuc Armor Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Labbé 2020-2026 |
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Code postal | 22440 | ||||
Code commune | 22144 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méaugonnais | ||||
Population municipale |
1 326 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 196 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
170 779 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 58″ nord, 2° 50′ 14″ ouest | ||||
Altitude | 150 m Min. 39 m Max. 155 m |
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Superficie | 6,78 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Brieuc (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ploufragan | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de la commune | ||||
Géographie
La commune se situe près de la rivière du Gouët.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,2 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[11].
Voies de communication et transports
La Méaugon est relié au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce à la ligne 80 des Transports urbains briochins (TUB).
Elle possède une gare SNCF qui est une halte TER entre Saint-Brieuc et Guingamp.
Urbanisme
Typologie
La Méaugon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Brieuc, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[15] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,8 %), terres arables (14,9 %), forêts (11,1 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 7] (2,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Morphologie urbaine
La ville regroupe au centre la majeure partie de la population. Plusieurs hameaux sont dispersés dans la campagne.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Lameaugon au XVe siècle[22].
Le nom de la commune provient de la francisation du mot breton lann qui signifie « ermitage » et de saint Méaugon[22], plus connu en Bretagne occidentale sous le nom de saint Maeoc, qui procéda à l'évangélisation des habitants au Ve siècle[23].
Le nom breton de la commune est Lanveogon. « Le nom français [La Méaugon] provient d'une fausse coupe »[22].
Histoire
Le Moyen Âge
Des traces d'une motte féodale existent au Châtel.
L'essentiel de la paroisse, qui faisait partie de l'évêché de Saint-Brieuc, a longtemps dépendu de la seigneurie de Chemillé Kermartin au moins depuis 1566, une autre partie dépendant des ducs de Rohan qui étaient seigneurs de la paroisse avant la Révolution française. La Méaugon dépendait également du comté du Goëlo.
La paroisse toutefois n'a été créée qu'au XVe siècle[23] par démembrement tardif de la paroisse de l'Armorique primitive de Plerneuf[24].
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms de 31 soldats morts pour la Patrie[25] :
- 25 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
- 4 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
- 2 sont morts durant la Guerre d'Indochine.
L'Époque contemporaine
Des carrières de granite ont été exploitées au XVIIIe siècle et au XIXe siècle dans la vallée du Gouët.
Le pardon de saint Blaise[Lequel ?] attirait alors des milliers de pèlerins, mais le remplacement de la statue ancienne du saint, jugée vétuste, par une nouvelle au début du XXe siècle provoqua une désaffection des fidèles, qui préférèrent aller prier la statue ancienne, donnée au recteur de Plélo et depuis exposée dans la chapelle Saint-Gouesnou dans cette paroisse[26].
En 1978 sera construit le barrage de Saint-Barthélémy.
Politique et administration
Liste des maires
Finances locales
Cette sous-section présente la situation des finances communales de La Méaugon[Note 8].
Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de La Méaugon s'établit à 1 383 000 € en dépenses et 1 837 000 € en recettes[A2 1] :
En 2013, la section de fonctionnement[Note 9] se répartit en 870 000 € de charges (649 € par habitant) pour 976 000 € de produits (728 € par habitant), soit un solde de 106 000 € (79 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :
- le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 10] pour 425 000 € (49 %), soit 317 € par habitant, ratio supérieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (248 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 278 € par habitant en 2011 et un maximum de 317 € par habitant en 2013 ;
- la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 11] pour une somme de 363 000 € (37 %), soit 270 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio augmente de façon continue de 235 € à 270 € par habitant.
Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de La Méaugon[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :
- la taxe d'habitation quasiment égale 20,70 % ;
- la taxe foncière sur le bâti quasiment sans variation 23,75 % ;
- celle sur le non bâti constante 118,67 %.
La section investissement[Note 12] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :
- des dépenses d'équipement[Note 13] pour une somme de 443 000 € (86 %), soit 331 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 217 € par habitant en 2009 et un maximum de 501 € par habitant en 2011 ;
- des remboursements d'emprunts[Note 14] pour une valeur de 70 000 € (14 %), soit 52 € par habitant, ratio inférieur de 16 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (62 € par habitant).
Les ressources en investissement de La Méaugon se répartissent principalement en[A2 4] :
- nouvelles dettes pour une valeur de 250 000 € (29 %), soit 186 € par habitant, ratio supérieur de 162 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (71 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 0 € par habitant en 2012 et un maximum de 301 € par habitant en 2011 ;
- subventions reçues pour 235 000 € (27 %), soit 175 € par habitant, ratio supérieur de 116 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (81 € par habitant).
L'endettement de La Méaugon au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 15], l'annuité de la dette[Note 16] et sa capacité de désendettement[Note 17] :
- l'encours de la dette pour une valeur de 1 037 000 €, soit 773 € par habitant, ratio supérieur de 29 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (601 € par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 429 € par habitant en 2010 et un maximum de 773 € par habitant en 2013[A2 5] ;
- l'annuité de la dette pour un montant de 110 000 €, soit 82 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 55 € par habitant en 2011 et un maximum de 82 € par habitant en 2013[A2 5] ;
- la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 111 000 €, soit 83 € par habitant, ratio inférieur de 47 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (156 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de −21 € par habitant en 2011 et un maximum de 117 € par habitant en 2009[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 9 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ un an en 2007 et un maximum très élevé, de plus de 50 années en 2011.
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Méaugonnais.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2019, la commune comptait 1 326 habitants[Note 18], en augmentation de 2,63 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Méaugon : date des XVIe siècle (la chapelle Saint-Blaise) et XVIIIe siècle, fut restaurée en 1850 après avoir été endommagée par la foudre ; son clocher date de 1703, mais fut restauré en 1755[24].
- La fontaine Saint-Blaise : sur le parking de l’église, date du XVIIe siècle.
- La fontaine des Vergers : de Saint-Nicolas ou du Vau-Briend, XVIIe siècle.
- L’ancien presbytère : XVIIe siècle.
- Le manoir de la Garenne : XVIIe siècle.
- Les croix du bourg et de l’ancien cimetière : XVIIe siècle.
- Le Viaduc de La Méaugon : sur la retenue d'eau créée par le barrage de Saint-Barthélémy.
L'église de la Méaugon au clocher recouvert d'ardoises date, en partie du XVIe siècle comme la fontaine Saint-Blaise faisant face au blason de la commune. Les croyances populaires accordent beaucoup de vertus à cette fontaine puisque "Saint-Blaise tout mal apaise". Abondamment fleurie, cette place est un lieu idéal de pique-nique. En plus de la fontaine, nous y trouvons le blason de la commune réalisé avec des fleurs et une commémoration de l'appel du 18 Juin.
Blason Halte Viaduc Barrage de Saint-Barthélémy Appel du
Héraldique
Blasonnement :
D’azur au pont droit de trois arches et deux piles d’argent mouvant des flancs, sommé d’un chef d’or chargé d’un cœur de gueules senestré d’une branche de houx feuillée de trois pièces de sinople et fruitée de gueules, le dit pont soutenu d’une champagne aussi d’or ployée abaissée à dextre et haussé à senestre, le tout flanqué en pal à dextre de gueules aux trois mâcles d’or l’une sur l’autre. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant La Méaugon. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
- La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
- Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
- Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
- La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
- Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
- Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
- L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
- L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
- La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dette⁄capacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de La Méaugon.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes
- « Les comptes des communes - La Méaugon : chiffres clés » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - La Méaugon : opérations de fonctionnement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - La Méaugon : fiche détaillée » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - La Méaugon : opérations d'investissement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - La Méaugon : endettement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - La Méaugon : autofinancement » (consulté le ).
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Saint-Brieuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 83.
- « Histoire et patrimoine », sur le site de La Méaugon (consulté le ).
- « La Méaugon », sur Infobretagne.
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-meaugon-la-meaugon
- Archives Départementales des Côtes-d'Armor.
- « Municipales à La Méaugon. Jean-Marc Labbé succède à Armelle Bothorel à la tête de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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