La Roche-Posay

La Roche-Posay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine et faisant partie de l'ancienne province de la Touraine.

Pour les articles homonymes, voir La Roche.

Pour la marque de produits de soins et de beauté du même nom, voir La Roche-Posay (marque).

La Roche-Posay

Le donjon, en 2011.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Yannick Tartarin
2020-2026
Code postal 86270
Code commune 86207
Démographie
Gentilé Rochelais
Population
municipale
1 560 hab. (2019 )
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 09″ nord, 0° 48′ 43″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 139 m
Superficie 35,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Roche-Posay
Géolocalisation sur la carte : France
La Roche-Posay
Géolocalisation sur la carte : Vienne
La Roche-Posay
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Roche-Posay
Liens
Site web larocheposay.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans l'est[1] du département, à la limite avec le département d'Indre-et-Loire.

    Communes limitrophes

    Carte de la commune de La Roche-Posay et de ses proches communes.

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux[2] et lieux-dits[2] de la commune sont : la Bardonnière, la Bordé, les Bouchers, Bourdigal, la Colline Ensoleillée, le Coudret, Fonsémont, Gâtineau, la Grandinière, le Grand Tiret, la Merci Dieu, Montfou, Mousseaux, Neussouan, la Nouillère, les Touches, les Varennes, Verlet, Voiret et la Nouillère.

    Géologie et hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par les rivières Creuse[2] et Gartempe[2]. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales[3] : 3 , 5, 15, 16, 725 et 725B. L'échangeur autoroutier le plus proche est la sortie 26 (Châtellerault Nord) de l'autoroute A10, à 20 km.

    La ligne de chemin de fer de Châtellerault au Blanc, inaugurée en 1891, fut fermée aux voyageurs en et les rails déposés en 1972[4]. La gare ferroviaire la plus proche est celle de Châtellerault[3], à 22 km.

    La commune est desservie par la ligne 204 du réseau Lignes en Vienne[5], par la ligne H1 du réseau Touraine Fil Vert[6] et par un transport collectif gratuit desservant différents lieux de la commune, avec une fréquence variable suivant les saisons.

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Poitiers-Biard[3], à 54 km.

    Le territoire communal est traversé par : le sentier de grande randonnée 364[2], le sentier de grande randonnée 48[2], le sentier de randonnée : Vals et Collines de Gartempe[2],[7] et par cinq[8] sentiers de petites randonnées : Petite Ceinture (km), Les Bois de la Roche Sud (11 km), Les Bois de la Roche Nord (12 km), château d'Alogny-les-Froux (12 km) et ancienne abbaye de la Merçi-Dieu (12 km).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 708 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1965 à 1994 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[15]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records ROCHE-POSAY Cou (86) - alt : 130 m 46° 47′ 42″ N, 0° 46′ 42″ E
    Statistiques établies sur la période 1981-1994 - Records établis sur la période du 01-01-1965 au 31-05-1994
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1 0,6 3 4,6 8,3 11,2 13,2 12,8 10,4 7,2 3,4 2 6,5
    Température moyenne (°C) 4,2 4,7 8 10 14,1 17,2 19,9 19,4 16,5 12,1 7,4 5,2 11,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,4 8,8 13,1 15,4 20 23,2 26,5 26 22,5 17 11,5 8,3 16,7
    Record de froid (°C)
    date du record
    −16
    17.01.85
    −12,5
    08.02.91
    −8,2
    07.03.71
    −5,2
    09.04.77
    −1,8
    08.05.74
    2,1
    05.06.76
    3,8
    06.07.65
    2
    26.08.66
    0,1
    19.09.77
    −3
    21.10.72
    −8
    23.11.93
    −14,5
    30.12.85
    −16
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,4
    15.01.75
    22,5
    23.02.90
    25,1
    28.03.89
    27,6
    24.04.84
    31,1
    12.05.69
    37,2
    28.06.86
    38
    22.07.90
    38,5
    03.08.90
    32,8
    04.09.82
    29,4
    02.10.85
    21,5
    01.11.84
    20
    16.12.89
    38,5
    1990
    Précipitations (mm) 63,3 54 51,5 59,2 65,3 52,3 51,8 50,3 51,7 73,4 72,6 74 719,4
    Source : « Fiche 86207003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    La Roche-Posay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,4 %), forêts (30,5 %), prairies (18,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), eaux continentales[Note 6] (1,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Rochelais[22].

    Histoire

    Déjà à l'époque gallo-romaine, La Roche-Posay était une station thermale[23].

    La seigneurie appartenait à la maison de Preuilly et passa par mariage, vers 1410, à Geoffroy Chasteigner, devenu baron de Preuilly et de la Roche-Posay. Cette branche donna plusieurs chambellans, conseillers ou ambassadeurs des rois François Ier à Henri IV, et un évêque de Poitiers (1611). Elle s'éteignit avec Charles (de) Chasteigner, député de la noblesse du Poitou aux États généraux de Tours en 1651, titré marquis de la Roche-Pozay, mort en 1667, dont la fille épousa en 1662 le marquis de Pleumartin[24]. Le blason de la maison de Chasteigner est devenu celui de la commune.

    Le , La Roche-Posay absorbe la commune de Posay-le-Vieil par décret[25].

    Pendant la Seconde Guerre mondiale[26], le 4e régiment de zouaves fait sauter les entrées du pont en béton armé, conçu par Albert Caquot et construit en 1937. C'est un pont en arc à deux articulations avec tablier au-dessus de l'arc, d'une portée principale de 59 m. Ce pont aura aussi servi à évacuer l’or entreposé dans la Banque de France de Poitiers[27],[28]. Quelques jours plus tard, la ligne de démarcation traversait la commune[29], et était située en haut de la côte route de Châtellerault. Le chef-lieu se trouvait en zone occupée. Un point de passage de la ligne de démarcation se trouvait sur la commune[30].

    Robert Périvier, chef de district de la Régie d'Électricité de la Vienne, titulaire d'un laissez-passer, a ainsi pu faire passer de nombreux résistants en zone libre[réf. nécessaire]. D'autres habitants de la Roche Posay ont aussi fait passer clandestinement la ligne de démarcation : Eugène Guillemain, employé à la centrale hydroélectrique du Moulin de Gatineau, et sa femme Adrienne Malbran, aidés par Gustave Saulnier, de 1940 à 1942 ; Marie-Louise Malbran et sa fille de 10 ans Marie-Thérèse faisaient passer du courrier en zone libre (J. Farisy, La ligne de démarcation dans la Vienne).

    L’abbé Charles-Amarin Brand, futur archevêque de Strasbourg, sauva, du au , trente notables de La Roche de la colonne allemande Elster qui ouvrait la route à une grosse unité du Reich. Le commandant exigea du jeune aumônier l'abbé Brand, germanophone, de négocier avec les FFI la non-destruction du pont de Preuilly et la cessation des attaques des résistants contre sa colonne. Ce qui fut fait. En 1994 fut inauguré le square Abbé-Brand.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement de Châtellerault, du canton de Châtellerault-3, de la quatrième circonscription de la Vienne et de la communauté de communes des Vals de Gartempe et Creuse.

    Elle dispose d'un bureau de poste[31] et d'un centre de secours.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Gaston Chenu  ?  ?
    octobre 1947 mars 1959 Robert Nonet  ?  ?
    mars 1959 mars 1965 Léon Huet  ?  ?
    mars 1965 1968 Guy Séguret  ?  ?
    1968 mars 1971 André Métivier  ?  ?
    mars 1971 mars 1977 Henri Graffeuil  ?  ?
    mars 1977 1979 Jean Monmousseau  ?  ?
    1979 mars 1983 Louis Caillaud  ?  ?
    mars 1983 René Barré[32],[33] SE  ?
    Pascale Moreau[34],[35] DVD Vice-présidente du Conseil Départemental de la Vienne
    En cours Yannick Tartarin SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2019, la commune comptait 1 560 habitants[Note 7], en augmentation de 1,1 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3393784251 2681 3541 4011 2721 3701 496
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5481 5041 4181 4601 4661 4211 3911 3391 352
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2741 3681 3271 3341 3771 4021 4841 5131 434
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3651 3231 4001 4041 4441 4451 5221 5621 556
    2019 - - - - - - - -
    1 560--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'agriculture est l'une des économies de la commune, même si les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 328 hectares en 2000 à 1 289 hectares en 2010. 37 % sont destinées à la culture des céréales[Note 8], 12 % pour les oléagineux[Note 9], 20 % pour le fourrage et 19 % reste en herbes. En 2000, 3 hectares étaient consacrés à la vigne. Il ne reste plus que dix-sept exploitations[40] agricoles en 2010 contre trente-deux en 2000. Six exploitations en 2010 (contre onze en 2000) abritent un élevage de bovins (416 têtes en 2010 contre 507 en 2000). Cinq exploitations en 2010 (contre dix en 2000) abritent un élevage d'ovins (1 432 têtes en 2010 contre 1 322 têtes en 2000).

    La Roche-Posay est aussi une station thermale de renommée internationale où l'on soigne les affections de la peau. C'est l'une des capitales européennes de la dermatologie thermale, les vertus de ses eaux apaisantes et cicatrisantes sont connues depuis le XVIe siècle, certaines sources parlent même d'une découverte par les Romains. La réputation de ses soins a permis la création d’une marque de produits cosmétiques : La Roche-Posay (groupe L'Oréal). À La Roche-Posay, on soigne le psoriasis, l'eczéma, l'acné, séquelles cicatricielles ou cutanées des suites de traitement contre le cancer et autres affections de la peau, surtout depuis le XIXe siècle, époque où le thermalisme s'est beaucoup développé.

    Tourisme

    Le thermalisme et le tourisme occupent une part importante de l'économie de La Roche-Posay[41]. Le centre thermal de La Roche-Posay (regroupant les thermes du Connétable et les thermes Saint-Roch) accueille de nombreux curistes souffrant de problèmes de peau tout au long de l'année, pour un total annuel de 500 000 nuitées[41]. La Roche-Posay est aussi une destination touristique, la ville ayant développé des infrastructures dédiées au loisir (golf, casino, hippodrome, tennis, jeux pour enfants, bibliothèque pour les curistes...). La ville possède une capacité d'accueil en hébergement variée comprenant meublés, hôtels, résidences de tourisme, camping, chambre d'hôtes et gîtes.

    Population et société

    La porte de ville (Bourbon), en 2011.

    La commune possède comme lieux d'enseignements[42] : une école primaire publique (Claire-Fontaine) et un collège[43] public (Léon-Huet).

    Au niveau sportif[44], elle dispose d'une baignade surveillée, d'un terrain de pétanque, d'un parcours de golf 18 trous et son practice, d'un stand de tir, d'un complexe de tennis composé de deux courts couverts et quatre courts extérieurs et d'un terrain de beach-volley. Près du collège, on trouve un gymnase et un plateau sportif servant pour l'EPS. Le stade du Breuil est utilisé pour la pratique du football. La maison de la culture et des loisirs, propose diverses cours (gym, danse, arts martiaux...), mais également du modélisme automobile, l'établissement privé le « Spa Source » propose une piscine couverte et des espaces consacrés au bien-être. Il existe également un hippodrome[45] de 1re catégorie appelé la Gâtinière, qui accueille trois pistes (une trot, une plat et une obstacles) et une tribune de 2 000 places. Sur l'année, il propose sept journées dont 3 trois PMU.

    Culture locale et patrimoine

    Le donjon en 2014.
    Le donjon en 2014.
    • Château de La Merci-Dieu.
    • Château de Valcreuse (XIXe siècle).
    • Château de Posay : datant de 1810, il est aujourd'hui occupé par le casino.
    • Donjon (XIe siècle) : il a été classé comme monument historique en 1942 et il est le seul vestige de l'ancien château. Ouvert à l'occasion de rares manifestations, il est habituellement fermé au public.
    • Église Notre-Dame : datant du XIIe siècle, elle fut fortifiée au XVe siècle et est classée comme monument historique depuis 1907[46]. L'église abrite dans le transept, deux bas-reliefs qui datent de 1685. Ils proviennent de l'abbaye de la Merci-Dieu. Celui de gauche représente la Nativité et celui de droite le martyre de saint Laurent. Le bras du transept nord accueille la pierre tombale de Henri-Louis Chasteigner, évêque de Poitiers au XVIIe siècle.
    • Monument aux morts.
    • Matériel néolithique et magdalénien.
    • Porte de ville (Bourbon) (XVe siècle) : elle est inscrite comme monument historique depuis 1927.
    • Restes de fortifications (XVe siècle) : elles sont inscrites comme monument historique depuis 1937.
    • Maison à colombages du Moyen Âge (XVe siècle).
    • Ruines de l'abbaye cistercienne de La Merci-Dieu (XIIe et XVIIIe siècles) : l'abbaye a été fondée par le baron de Preuilly en 1151.
    • Abbaye de la Merci-Dieu.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D’or au lion passant de sinople, armé et lampassé de gueule.
    Détails
    Une formulation moins orthodoxe : « au lion posé » en font des armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Logotype de la commune de La Roche-Posay :

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs.
    9. Un quart des sols en colza et trois quarts en tournesol.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site de Lion 1906 : Vienne, consulté le 18 septembre 2012.
    2. Site du Géoportail : La Roche-Posay, consulté le 15 décembre 2013.
    3. Site de ViaMichelin : La Roche-Posay, consulté le 14 décembre 2013.
    4. Document du SI - Horaires de la navette.
    5. Site du conseil général de la Vienne : Lignes en Vienne, consulté le 14 décembre 2013.
    6. Site de Touraine Fil Vert : Carte réseau & horaires, consulté le 14 décembre 2013.
    7. Site de la communauté de communes des Vals de Gartempe et Creuse : Sentiers de Randonnée des Vals et Collines de Gartempe, consulté le 26 août 2012.
    8. Site Rando-ValdeLoire.fr : La Roche-Posay, consulté le 26 août 2012.
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Fiche du Poste 86207003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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