Landes-le-Gaulois

Landes-le-Gaulois est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.

Landes-le-Gaulois

Un des dolmens de Landes-le-Gaulois
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys »
Maire
Mandat
Éric Peschard
2020-2026
Code postal 41190
Code commune 41109
Démographie
Gentilé Landais[1]
Population
municipale
742 hab. (2019 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 12″ nord, 1° 11′ 02″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 128 m
Superficie 24,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Onzain
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Landes-le-Gaulois
Géolocalisation sur la carte : France
Landes-le-Gaulois
Liens
Site web www.landes-le-gaulois.com

    Localisée au centre-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre.

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : un site natura 2000 et un espace naturel sensible, En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 12 en 1988, à 21 en 2000, puis à 13 en 2010.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un bâtiment porté à l'inventaire des monuments historiques : l'église Saint-Lubin de Landes-le-Gaulois.

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Landes-le-Gaulois se trouve au centre-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 12,9 km de Blois[4], préfecture du département et à 17,1 km de Veuzain-sur-Loire, chef-lieu du canton d'Onzain dont dépend la commune depuis 2015[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Blois[6].

    Les communes les plus proches sont[7] : Tourailles (km), Lancôme (4,3 km), La Chapelle-Vendômoise (4,5 km), Villefrancœur (5,2 km), Pray (5,7 km), Françay (5,9 km), Saint-Lubin-en-Vergonnois (6,1 km), Saint-Bohaire (6,1 km) et Herbault (6,3 km).

    Landes-le-Gaulois est un petit village logé dans la vallée de la Cisse Landaise.

    Il est composé d'un bourg principal et de plusieurs hameaux tels que Bennes, Moque Souris, Moulins Bourges, Villeruche, Rochefort, Villée, Pitouille et le Pont Neuf.

    Hydrographie

    La commune est drainée par la Cisse Landaise (4,737 km), la Fontaine et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17,37 km de longueur totale[8].

    La Cisse Landaise traverse la commune d'ouest en est. D'une longueur totale de 19,8 km, elle prend sa source dans la commune de Saint-Cyr-du-Gault et se jette dans la Cisse à Saint-Bohaire, après avoir traversé 6 communes[9]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en première catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[10].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5 °C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 653 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent 6 variables pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.

    Sites Natura 2000

    0 Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[12]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[13] : la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[14].

    Espaces naturels sensibles

    Dans le cadre de sa politique environnementale, le Conseil départemental labellise certains sites au patrimoine naturel remarquable, les « espaces naturels sensibles », dans le but de les préserver, les faire connaître et les valoriser. Vingt-six sites sont ainsi identifiés dans le département dont un situé sur le territoire communal : la « Carrière du Buisson Sabotier », présentant un intérêt géologique[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Landes-le-Gaulois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (11,6 %), cultures permanentes (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (3,5 %), forêts (65,2 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %), zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales (0,5 %)[8].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT du Blésois, approuvé en 2006 et révisé en juillet 2016[21].

    En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[22].

    Habitat et logement

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Landes-le-Gaulois en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (3,8 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,6 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

    Le logement à Landes-le-Gaulois en 2016.
    Landes-le-Gaulois[23] Loir-et-Cher[24] France entière[25]
    Résidences principales (en %) 91,0 74,5 82,3
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,8 18 9,6
    Logements vacants (en %) 5,2 7,5 8,1

    Risques majeurs

    Le territoire communal de Landes-le-Gaulois est vulnérable à différents aléas naturels : ), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[26],[27].

    Risques naturels

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[26]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[28]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

    Histoire

    Landes-le-Gaulois avait 2 paroisses : Saint-Martin, rive gauche, et Saint-Lubin, rive droite, que limitait la Cisse Landaise, affluent de la rivière de la Cisse, en vertu du traité signé en 1057 entre Thibault III, comte de Blois, et Foulques, comte de Vendôme. La paroisse Saint-Lubin appartenait au comté de Blois et suivait la coutume de Blois ; la paroisse Saint-Martin appartenait au comté de Vendôme et suivait la coutume de Vendôme.

    Landes formait aussi 2 collectes, appelées l'une et l'autre Landes dans la majorité des textes, sauf à la fin du XVIIIe siècle où la partie vendômoise prend parfois le nom de Bennes ou Benné, nom de son principal hameau.

    Les limites des 2 paroisses, des 2 coutumes et des 2 collectes ne coïncidaient pas : la paroisse de Saint-Lubin et une partie de celle de Saint-Martin relevait du bailliage de Blois, le reste, soit le village de Bennes et Chassay, paroisse de Saint-Martin, relevaient du bailliage et de l'Élection de Vendôme.

    À la suite de la fixation des limites entre les comtés de Blois et de Vendôme, en décembre 1329[31], entre Guy Ier de Châtillon, comte de Blois, et Bouchard VI, comte de Vendôme, des lieux-dits appartinrent en tournée à ces 2 paroisses : une maison du bourg, le château et le village des Moulins, les villages de Bourges, des Maisons-Rouges et de Veaugilet, le Moulin de Cholet. Pagus Vindocinensis. La paroisse Saint-Martin fut unie à celle de Saint-Lubin en janvier 1790 pour former la commune de Landes.

    Toponymie

    Autrefois nommée simplement « Landes », la commune fut renommée officieusement « Landes-le-Gaulois » par les habitants de la région lors de la découverte des menhirs qui entourent le village (on sait aujourd'hui que ce ne sont pas les Gaulois qui ont dressé les menhirs, qui sont antérieurs de plusieurs siècles à l'arrivée des Celtes en Europe).

    « Landes-le-Gaulois » devint le nom officiel de la commune par un décret du . C'est le seul nom de commune de France à contenir le mot « Gaulois »[32].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Landes-le-Gaulois est membre de la Communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys », un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [33].

    Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[6], en tant que circonscriptions administratives[6]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton d'Onzain depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[34] et à la troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[35].

    Conseil municipal et maire

    Le conseil municipal de Landes-le-Gaulois, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[36] avec listes ouvertes et panachage[37]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[38].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001   Michel Dupond    
    mars 2008 mai 2020 Didier Guillon[39]   Agriculteur exploitant
    mai 2020 En cours Éric Peschard[39],[40]   Agriculteur sur moyenne exploitation

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2019, la commune comptait 742 habitants[Note 5], en augmentation de 1,78 % par rapport à 2013 (Loir-et-Cher : −0,76 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697695746781810851880864902
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    912815877862794803811769720
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    731778735716700706712704697
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    654596586568589582648657724
    2017 2019 - - - - - - -
    750742-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 375 hommes pour 373 femmes, soit un taux de 50,13 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,55 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    1,1 
    5,4 
    75-89 ans
    9,3 
    14,1 
    60-74 ans
    14,0 
    26,8 
    45-59 ans
    25,3 
    19,1 
    30-44 ans
    18,5 
    12,4 
    15-29 ans
    12,0 
    21,9 
    0-14 ans
    19,9 
    Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    2,5 
    9 
    75-89 ans
    11,7 
    19,1 
    60-74 ans
    19,7 
    21 
    45-59 ans
    20,2 
    16,8 
    30-44 ans
    16,4 
    15,3 
    15-29 ans
    13,3 
    17,8 
    0-14 ans
    16,2 

    Lieux et monuments

    Patrimoine mégalithique

    Voies

    51 odonymes recensés à Landes-le-Gaulois
    au
    Allée Avenue Bld Chemin Cour Impasse Montée Passage Place Pont Route Rue Ruelle Venelle Autres Total
    0 0 0 1 [N 1] 0 3 [N 2] 0 2 [N 3] 1 [N 4] 1 [N 5] 1 [N 6] 19 [N 7] 0 0 23 [N 8] 51
    Notes « N »
    1. Chemin des Pâtures.
    2. Impasse de Nuisement, Impasse du Four Banal et Impasse Fraternelle.
    3. Passage de la Fraternelle et Passage Saint Gilles.
    4. Place de l'Église.
    5. Pont Neuf.
    6. Route de Pray.
    7. Dont Rue du 3-Juillet-1944.
    8. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
    Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & perche-gouet.net & OpenStreetMap

    Édifices et sites

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Doguereau (1777-1856), général des armées de la République et de l'Empire.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans, permettant de caractériser le climat sur cette période et servant de référence.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

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    2. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur https://geo.data.gouv.fr/ (consulté le ).
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    5. « Orthodromie entre "Landes-le-Gaulois" et "Veuzain-sur-Loire" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
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    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Loir-et-Cher (41) », (consulté le ).
    47. Notice no PA00125369, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Article connexe

    Bibliographie

    • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule : Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
    • Christian Poitou, Paroisses et communes de France : Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
    • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
    • Farid Abdelouahab (dir.) (préf. Jack Lang), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, , 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 123
      Photographie de Séraphin-Médéric Mieusement du café Roubardeau en 1900.

    Liens externes

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