Larribar-Sorhapuru

Larribar-Sorhapuru est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Larribar et Sorhapuru.

Larribar-Sorhapuru

Paysage dans les environs du village de Larribar.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Daniel Heuguerot
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64319
Démographie
Gentilé Larribartar
Population
municipale
183 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 36″ nord, 1° 00′ 47″ ouest
Altitude Min. 54 m
Max. 245 m
Superficie 10,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Larribar-Sorhapuru
Géolocalisation sur la carte : France
Larribar-Sorhapuru
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Larribar-Sorhapuru
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Larribar-Sorhapuru

    Le gentilé est Larribartar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Larribar-Sorhapuru se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 91 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 62 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 6,4 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Uhart-Mixe (1,6 km), Lohitzun-Oyhercq (3,5 km), Béhasque-Lapiste (3,5 km), Orsanco (4,1 km), Saint-Palais (4,2 km), Arhansus (4,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (4,9 km), Domezain-Berraute (5,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Larribar-Sorhapuru fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Larribar-Sorhapuru.

    La commune est drainée par la Bidouze, Ispatchoury erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[12],[Carte 1].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 383 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 46 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Larribar-Sorhapuru est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[31],[32],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49 %), zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (16,4 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    Larribar-Sorhapuru est desservie par les routes départementales D 242 et D 933.

    Toponymie

    Mentions anciennes

    Le toponyme Larribar apparaît sous les formes Sancta Maria de Larreivare (1160[37]), Larrayvat (1304[37]), Larrayvar (1309 et 1350[37]), Larraybar (1413[37]), Nostre-Done de Larribar (1472[38], notaires de Labastide-Villefranche[39]) et Larriba (1513[38], titres de Pampelune[40]).

    Le toponyme Sorhapuru apparaît sous les formes Sanctus-Martinus de Sorhapuru (XIIe siècle[38], collection Duchesne volume CXIV[41]), Soharpuru in Mixia et Soarpuru (XIIe siècle[38] pour ces deux formes, cartulaire de Sorde[42]), Soarpuru et Sorhapuru (1150[37]), Sorhaburu (1304[37]), Sorhapure (1472[38], notaires de Labastide-Villefranche[39]), Sorhaburu (1665[38], règlement des États de Navarre[43]) et Sorhapura (1801[44], Bulletin des lois).

    Jean-Baptiste Orpustan[37] indique que Larribar signifie « val de lande » et Sorhapuru « limite des terres (cultivées) ».

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Larribarre-Sorhapürü[1].

    Histoire

    La commune a été créée le [45] par la réunion des communes de Larribar et de Sorhapuru.

    Sorhapuru était sous l´obédience de la famille d´Uhart dont les membres étaient barons de Sorhapuru. La famille d´Uhart était localement puissante et alliée à Florence de Belsunce () qui avait épousé en premières noces Bertrand d´Harambure (Aramburu) puissante famille locale installée à Lantabat non loin de là. Bertrand d´Harambure fit l´acquisition de la seigneurie de Picassary par le biais de son frère Gratian d´Harambure seigneur d´Elizeche le (1)(2). Le vendeur était Roger de Cheraute (3). Un peu plus tard il achètera encore le la dîme d´Olhaby de la famille Gramont. Florence de Belsunce et Bertrand d´Harambure seront les parents de Jean d'Harambure dit « le Borgne ».

    (1) Au plaisir de se battre. p 45 et 46

    (2) Mauléon Procuration à Bertrand de Sohescun conseiller du roi de Navarre

    (3) Contrat du notaire Arnaud de Genssane notaire royal

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Jean-Pierre Etcheberry    
    2008 En cours Daniel Heuguerot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient à six structures intercommunales[46] :

    Larribar-Sorhapuru accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique intercommunal Ispachoury.

    Population et société

    En 1350, 12 feux sont signalés à Larribar[47].

    Le recensement[48] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[49] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[50], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Larribar la présence de 9 feux, le second de 19 feux.
    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[51] dénombre 42 feux à Larribar.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].

    En 2019, la commune comptait 183 habitants[Note 11], en diminution de 5,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    246183206242178226444450451
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    385388351334359331311266261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    281276303279250244283266248
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    248214235230242186192193189
    2017 2019 - - - - - - -
    188183-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[56].

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L’église Saint-Martin de Sorhapuru recèle une statue en bois[57], représentant saint Martin, et datant du XVIe siècle.

    Larribar possède également une église, l’église de l'Assomption.

    Équipements

    Éducation

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Larribar-Sorhapuru » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Larribar-Sorhapuru », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Larribar-Sorhapuru », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Larribar-Sorhapuru », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Larribar-Sorhapuru », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous Géoportail
    12. « Fiche communale de Larribar-Sorhapuru », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « la Bidouze ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    22. « Orthodromie entre Larribar-Sorhapuru et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    28. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    37. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque, Presses universitaires de Bordeaux 2006 (ISBN 2 86781 396 4).
    38. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    39. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
    41. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    42. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    43. Collection manuscrite de 11 volumes de délibérations (1606 à 1789) - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sorhapuru », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    45. Ordonnance du 12 mai 1841 (Bulletin des lois de la République française).
    46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    47. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
    48. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
    49. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
    50. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    51. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    56. http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1%5bcommune%5d=96&tx_ecoles_pi1%5bcdc%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bprovince%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bcategory%5d=16&tx_ecoles_pi1%5btype%5d=0&tx_ecoles_pi1%5beducation_mode%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bsubmit%5d=Rechercher&id=183&L=0.
    57. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de saint Martin

    Pour approfondir

    Article connexe

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