Lawarde-Mauger-l'Hortoy

Lawarde-Mauger-l'Hortoy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Lawarde-Mauger-l'Hortoy

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Gautier Tourniquet
2020-2026
Code postal 80250
Code commune 80469
Démographie
Population
municipale
162 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 29″ nord, 2° 16′ 49″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 167 m
Superficie 9,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lawarde-Mauger-l'Hortoy
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Lawarde-Mauger-l'Hortoy
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Lawarde-Mauger-l'Hortoy
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Lawarde-Mauger-l'Hortoy

    Géographie

    Localisation

    Le village, situé sur le plateau picard, est limitrophe du département de l'Oise.

    Sol, sous-sol, relief, hydrographie

    Le grès et le calcaire abondent en surface. Les parties hautes du territoire sont formées des couches argileuses du limon des plateaux, mélangé de silex. Au-dessous, on trouve une craie blanche ou marneuse. Le relief est inégal et très accidenté. Le plateau est coupé par des vallées sèches qui se dirigent vers Berny et La Faloise pour aboutir à la Noye. Le territoire ne dispose d'aucun cours d'eau. La Noye passe à 4 km.

    En 1899, les deux puits du village sont profonds l'un de 32 m et l'autre de 93 m. Ils sont alimentés par de faibles sources souterraines dites « pleureuses ». Beaucoup de particuliers recueillaient alors l'eau de pluie dans des citernes pour leur consommation[1].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Lawarde-Mauger-l'Hortoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,8 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (2,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    On trouve : Guarda en 1197, Garda Malgerii, Warda, La Warde, Warde-Maugres en 1258, Custodia Margeri, La Vuarde.

    La Warde-Mauger signifierait la Garde (forteresse) Mauger[1].

    L'Hortoy serait tiré de l’ancien français hort, issu du latin hortus « jardin ».

    Histoire

    La Warde est supposé d'origine gauloise. De larges fosses, en ligne, du côté du fort rappelleraient cette origine[1].

    En 1164, l'évêque d'Amiens concède la dîme de l'église à l'abbaye Notre-Dame de Breteuil.

    La seigneurie de Lawarde nous est connue à partir du XIIe siècle[9]. Il existait au Moyen Âge, un château fort à Lawarde. En 1899 on en voyait encore l'emplacement.

    Les Jacques de La Warde, unis à ceux des environs, ont détruit le château de La Faloise et celui de Courtemanche, appartenant au comte de Clermont[1].

    La terre dépendait de la châtellenie de Bonneuil et du comte de Clermont[1].

    Le village renferme de nombreuses muches ou souterrains qui serviront de refuge pendant les guerres[1],[10],[11],[12].

    En 1557, Firmin Le Cat, seigneur de La Warde est présent à la rédaction des coutumes d'Amiens[1].

    Lawarde-Mauger devient chef-lieu de canton en 1790 mais ce découpage administratif sera remanié en l'an VIII[1].

    La commune de Lawarde-Mauger, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1826 et 1831 celle de L'Hortoy, puis définitivement en 1926, et devient Lawarde-Mauger-l'Hortoy[13].

    En 1899, il existe une quinzaine de cordonniers à façon qui travaillent pour de grandes maisons d'Amiens. Un messager y conduit le travail chaque semaine. Les tisserands autrefois très nombreux ne sont plus que trois. Les métiers de charron, maréchal et menuisier sont représentés mais il n'y a plus de moulin à vent[1].

    Seconde Guerre mondiale

    Au cours de la campagne de France de 1940, des éléments du 50e régiment d'infanterie français tinrent position au bois Corne au sud-ouest de Lawarde-Mauger. Le poste de commandement du 21e régiment d'artillerie était à L'Hortoy[14].

    Le , en fin d'après-midi, le bombardier français Lioré et Olivier LeO 451 no 106 chargé d'attaquer des colonnes motorisées progressant sur la route d’Amiens à Albert en direction d'Amiens, s'écrasa au nord-ouest du village de Lawarde, le jour même ou les habitants devaient évacuer les lieux[15].

    Le village de Lawarde-Mauger fut presque totalement détruit pendant la guerre. La commune a été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze, par décret du [16].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-sur-Noye[13], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [17], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[18], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[19],[20]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[21] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [22] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [23], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    .
    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 janvier 2013[25] Alain Baillin   Décédé en fonction
    mars 2013 avril 2014[26] Charles Guénard    
    avril 2014[26] 2020 Thérèse Flamant    
    2020[27] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Gautier Tourniquet    

    Politique de développement durable

    Le parc éolien du Quint, situé sur les communes de Fransures, Flers-sur-Noye et Lawarde-Mauger-l‘Hortoy, a été inauguré en . Ses 9 éoliennes, dont 4 édifiées sur la commune, ont une hauteur de 150 mètres et une puissance unitaire de 2 mégawatts et sont exploitées par la société belge Elicio[28].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2019, la commune comptait 162 habitants[Note 3], en diminution de 11,48 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    371417412380422428420423398
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    393365375358332306293268257
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    248233237238186212197163169
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    148160146141128132142152181
    2014 2019 - - - - - - -
    181162-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Michel[32]. En 1899, l'église renferme un lutrin du XVe siècle et un retable en chêne doré du XVIe siècle, classé aux monuments historiques[1].
      Reconstruite après la Seconde Guerre mondiale[33], elle contient notamment le retable du XVIe siècle de l'ancienne église[34],[35], une Vierge à l'enfant couronnée en bois doré du XIXe siècle[36] et une statue en bois peint de saint Michel terrassant le dragon du XVIIIe siècle[37].
    • Chapelle Saint-Thibault (ancienne église paroissiale de l'Hortoy). Autrefois dotée d'un campenard, la cloche baptisée Jehanne aurait été fondue en 1548 et porte les armoiries du seigneur de Rogy[38],[39]. Elle contient un ensemble d'objets d'art sacré ancien. On peut noter :
      • une statue du saint patron, en bois en bois taillé peint polychrome du XVIe siècle[40] ;
      • une statue en bois peint polychrome de la Vierge, du XVIe siècle[41] ;
      • des bancs-bannière de saint Thibault[42] ;
      • un christ en croix en bois peint du XVIIIe siècle[43].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Lawarde-Mauger, M. Warmé, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens. lire en ligne.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Michel de La Torre, Guide de l'art et de la nature Somme, Paris, Nathan, 1985 (ISBN 9 782 092 863 800).
    10. Cliché lieutenant Allard, Section photographique de l'armée, « Photo : Lawarde-Mauger. Le vieux château : dans les souterrains : couloir et salle voûtée », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    11. Cliché lieutenant Allard, Section photographique de l'armée, « Photo : Lawarde-Mauger. Le vieux château : dans les souterrains, salle de prisonniers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    12. Cliché lieutenant Allard, Section photographique de l'armée, « Photo : Lawarde-Mauger. Le vieux château : dans les souterrains », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « Groupe de bataillons de chars no 11 - 12e bataillon chars de combat », Journaux de marche, sur http://www.chars-francais.net, (consulté le ).
    15. « Lioré et Olivier LeO 451 N° 106 - 20 mai 1940 », Les découvertes, Somme aviation 1939-1945 (consulté le ).
    16. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - 51 Dormans, (consulté le ), p. 46.
    17. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    18. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    19. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    20. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    21. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    22. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    23. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    24. « Les maires de Lawarde-Mauger-l'Hortoy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    25. « Avis de décès - M. Alain Baillin », Mémoire, La Voix du Nord, (consulté le ).
    26. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard (édition de Grandvilliers), no 3286, , p. 27.
    27. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    28. Thierry Griois, « Le parc éolien du Quint inauguré dans le canton d’Ailly-sur-Noye : Trois communes ont officiellement accueilli neuf nouveaux aérogénérateurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Lawarde-Mauger, d'après nature, 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    33. Philippe Seydoux, Églises de la Somme, Paris, Nouvelles Editions latines, 1973.
    34. « Retable », notice no PM80000806, base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. « Mises au tombeau en Pays de Somme : Petite mise au tombeau dans un retable- Eglise de Lawarde-Mauger », Patrimoine des églises, sur https://www.richesses-en-somme.com (consulté le ).
    36. « Statue : Vierge à l'Enfant couronnée », notice no PM80002270, base Palissy, ministère français de la Culture.
    37. « Statuette : Saint Michel terrassant le démon », notice no PM80000809, base Palissy, ministère français de la Culture.
    38. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 207 (ASIN B000WR15W8).
    39. « La cloche », notice no PM80000807, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. « Statue de saint Thibault assis », notice no PM80002271, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « statue : Vierge à l'Enfant à la grappe de raisin. », notice no PM80000808, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « Bancs-bannière de saint Thibault », notice no PM80002272, base Palissy, ministère français de la Culture.
    43. « Statue : Christ en croix », notice no PM80002273, base Palissy, ministère français de la Culture.
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