Le Teich

Le Teich ([lə tɛʃ]) est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ne doit pas être confondu avec Établissement thermal du Teich.

Le Teich

Église du Teich.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bassin d'Arcachon Sud
Maire
Mandat
François Deluga
2020-2026
Code postal 33470
Code commune 33527
Démographie
Gentilé Teichois
Population
municipale
8 500 hab. (2019 )
Densité 98 hab./km2
Population
agglomération
68 185 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 05″ nord, 1° 01′ 21″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 35 m
Superficie 87,08 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine La Teste-de-Buch-Arcachon
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gujan-Mestras
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Teich
Géolocalisation sur la carte : France
Le Teich
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Le Teich
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Teich
Liens
Site web leteich.fr

    Ses habitants sont appelés les Teichois[1].

    Géographie

    Localisation

    Le Teich, à l'est d'Arcachon, est située sur le delta de l'Eyre en Pays de Buch au sud du Bassin d'Arcachon et fait partie du Parc naturel régional des Landes de Gascogne. La commune est limitrophe du département des Landes.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    On peut y accéder par l'autoroute française A660 (sortie no 3) ainsi que par le train : la gare du Teich est située sur la ligne Lamothe - Arcachon et est desservie par des TER Nouvelle-Aquitaine reliant Bordeaux à Arcachon. Les bus du réseau Baïa desservent la commune (lignes 5 et 6).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 959 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Barp », sur la commune du Barp, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 961,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[13] à pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Teich est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Teste-de-Buch-Arcachon, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[18] et 68 185 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,9 %), zones urbanisées (5,8 %), terres arables (3,3 %), zones humides côtières (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %), prairies (0,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme est documenté sous les formes [deu] Teys en 1276; [deu] Tilh en 1300; [de] Teissi en 1300; Teys en 1311; Tahis,Taix, Tais[27]; [Au]teis en 1338; [deu] Theis en 1342; Lo Theys en 1357[28], Le Teix en 1630.

    La présence de l'article défini masculin roman dans les formes les plus précoces est sans doute l'indice d’une formation toponymique médiévale et, du moins, d’un ancien nom commun utilisé dans le dialecte roman local avant de se fixer dans la toponymie. Il peut s'agir du mot gascon teich / teish, autrement tèch[28], prononcé [tɛʃ], issu du latin taxus et signifiant « if »[28]. Albert Dauzat qui ne cite pas de forme ancienne, sans doute n'en connaît-il pas, penche plutôt pour le mot occitan tech « toit »[29]. Cependant l’hypothèse du nom gascon de l’if est appuyée par l'existence de plusieurs autres lieux-dits Le Teich, Le Taich, dont Le Taich (Aude, Tais en 1176, Taixum en 1207, [de] Taisso en 1232; Taxum en 1234; Taix en 1781[30]) qui contient manifestement le nom du taxus en occitan / catalan et dont certaines formes anciennes sont tout à fait identiques à celle du Teich (voir supra). En outre, la forme fautive deu Tilh « du tilleul » renvoie à un autre nom d’arbre très fréquent en toponymie et conforte l'idée que le toponyme est compris comme un nom d'arbre. Bénédicte Boyrie-Fénié fait toutefois remarquer que la forme teish est en usage dans les Pyrénées et signale un mot local tach / taish d'étymologie inconnue, qui signifie « banc de sable » et qui pourrait également constituer un bon étymon[31] pour cette commune qui s'est développée sur le delta de l'Eyre. La ressemblance graphique avec le mot allemand Teich « mare, étang » n'est que visuelle et tout à fait fortuite car il se prononce [taɪ̯ç] et est issu du vieux haut allemand tīch, doublet de Deich, qui remonte au germanique commun *dīkaz, d'où procède également le néerlandais dijk qui a donné digue. Le passage du [d-] initial germanique à [t-] est propre au vieux haut allemand, tout comme celui de [-k] à [-ç].

    Le nom de la commune est Lo Teish [lu tɛʃ] en gascon.

    Histoire

    C'est sur le territoire actuel des communes du Teich et de Biganos, sur les bords de l'Eyre que s'installèrent les premiers habitants du Bassin d'Arcachon, les Boïates, quelques siècles avant notre ère. Ce peuple a été identifié dès l'époque romaine. On le retrouve ainsi sur les listes établies par Pline l'Ancien[32]. Ils ont laissé des traces de leurs sépultures à incinération, sous tumulus ou en tombes plates.

    Puis, dès le Ier siècle, avec l'arrivée des Romains, une cité gallo-romaine appelée Boïos et un port furent fondés comme en témoignent les vestiges archéologiques découverts sur le site de Biganos-Lamothe. Cette cité était une étape de la voie côtière menant de Bordeaux à Dax en usage dès l'époque protohistorique et relevé comme un des deux itinéraires privilégiés par les romains pour rallier le sud aquitain[33].

    Lors des dernières fouilles furent mis au jour les soubassements de bâtiments de l'époque gallo-romaine et mérovingienne dont un fanum et un entrepôt.

    À l'époque médiévale, afin de se prémunir des invasions maritimes, plusieurs tours d'observation furent érigées autour du bassin d'Arcachon. L'une d'entre elles fut élevée à l'emplacement actuel du château de Ruat. C'est à partir de ce bâtiment primitif que devait se développer et se transformer depuis la fin de l'époque médiévale jusqu'au XVIIIe siècle ce qui devait devenir la demeure des Captaux de Buch.

    Actuellement, cette demeure est toujours habitée par des descendants des fameux captaux de la seigneurie de Buch. À noter qu'après la visite de l'empereur Napoléon III à son ministre de l'intérieur le général Charles-Marie-Esprit Espinasse, époux de la fille du châtelain, Adrien Festugière, les grilles de l'allée furent définitivement closes jusqu'à aujourd'hui.

    Le Teich se trouve sur le chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, par la voie de Soulac.

    Héraldique

    Blason
    Parti, au premier coupé au I écartelé d'azur au lion d'argent et de sable aux trois loups ravissants d'or et au II de gueules au château de trois tours d'argent, au second d'or aux trois pins parasols au naturel.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    La commune fait partie depuis le 7 décembre 2001 de la communauté d'agglomération du Bassin d'Arcachon Sud - Pôle Atlantique abrégée en COBAS[34]. Cette intercommunalité fait suite au district sud bassin.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1962 mars 1989 Claude Laymand UDF-CDS Président du PNR des Landes de Gascogne
    mars 1989 En cours François Deluga PS Agent général d'assurances
    Conseiller régional (1998 → 2001; 2004 → 2008)
    Vice-président du Conseil régional d'Aquitaine (2008)
    Député de la huitième circonscription de la Gironde (1997 → 2002; 2008 → 2012)
    Président de la COBAS (2001 → 2008) puis vice président (2008 →)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2019, la commune comptait 8 500 habitants[Note 7], en augmentation de 18,8 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8297167788909039509921 0661 110
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2071 2221 3011 2841 3081 3141 3981 3661 370
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3691 4221 5261 3131 3851 3591 3801 3331 518
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6581 6802 1762 9463 6074 8225 8306 0486 586
    2015 2019 - - - - - - -
    7 6828 500-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 70 62 51 53 44 39 39 38
    Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542
    Église Saint-André.

    Lieux et monuments

    Carte du parc naturel régional des Landes de Gascogne.
    • Église Saint-André du Teich.
    • Le château de Ruat, construit au XVe siècle et réaménagé au XIXe siècle est inscrit monument historique en 1970[45].
    • La salle des fêtes de style Arts déco baptisée "Salle publique" construite en 1933 et rénovée en 2017[46]
    • Le parc ornithologique du Teich[47] existe depuis 1972[48]. Il permet de créer les conditions propices à la rencontre entre la faune sauvage et les visiteurs. Le parc ornithologique est une étape de repos pour la migration des oiseaux. On y trouve notamment de nombreuses cigognes qui font sa renommée.
    • Le delta de L'Eyre est constitué par les deux bras principaux de l'Eyre. Il se visite par un sentier littoral sur km de digues et permet de découvrir la richesse biologique du delta.
    • Le pont de Cebron ou Chevrons[49] permet de traverser le bras occidental du delta de l'Eyre et de rejoindre par un sentier pédestre la route départementale D650 qui relie Le Teich à Biganos. Fragilisé en 2017, il est remplacé par une passerelle neuve prévue pour être achevée en mars 2019[50].
    • Le Relais nature de Lamothe.
    • La fontaine Saint-Jean est située sur l'ancien chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle et date du XVIIe siècle. La source était autrefois l'objet d'un culte qui est peut-être d'origine celtique et antérieur à la conquête romaine. Elle était une halte pour les pèlerins de Compostelle. L'eau de cette fontaine était très prisée pour soigner les maladies de la peau[51].

    Vie locale

    Enseignement

    Le Teich dispose de deux écoles primaires (maternelle et élémentaire): les écoles du Delta et celle du Val des Pins. La commune est également dotée d'un collège[52].

    Dans la nuit du samedi 14 septembre 2019 au dimanche, un incendie détruit partiellement l'école du Delta (deux salles de classes, une salle informatique, la bibliothèque ainsi que la cantine)[53].

    Transports

    Culture et manifestations

    Depuis 2014, la commune dispose d'un centre culturel, baptisé L'Ekla au sein d'un bâtiment qui regroupe une salle de spectacle, la médiathèque et l'école de musique[55]. Le bâtiment a été implanté entre le collègue et l'un des deux groupes scolaires élémentaires.

    Les fêtes du Teich, appelées Music O Teich, ont lieu tous les ans vers la mi-juillet, avec l'organisation de nombreux concerts sur trois soirs dont l'apogée est le feu d'artifice du 14-Juillet.

    Sports et loisirs

    Cirque

    • Fondé en 2014, l'école de cirque Cirkini forme des passionnés dès l'âge de 3 ans

    Football

    Handball

    • La commune du Teich regroupe aussi un important club de handball HBCT (Handball Club Teichois). Les sections seniors masculines et féminines évoluent en 2019 au niveau départemental[58],[59].

    Danse

    • La commune du Teich dispose d'un club de danse

    Judo

    • Le Club de Judo Teichois a vu plusieurs de ses adhérents, obtenir des résultats au niveau régional et même national.[Quand ?]. Les entraînements se pratiquent dans le tout nouveau dojo, un des plus grands de Gironde.

    Cyclisme

    • On peut aussi pratiquer le cyclisme puisque qu'une piste cyclable permet de faire le tour du bassin en passant par Le Teich.

    Équitation

    • On pratique également l'équitation à travers les plaines du delta.

    Canoë-kayak

    • L'activité la plus importante est le canoé-kayak, le long du delta de la Leyre. La rivière serpente à travers la forêt landaise et les plaines du delta. On peut accéder à ces activités à partir de la maison de la Nature de Lamothe et on peut effectuer des trajets de 10 kilomètres (au départ de Mios), voire de 20 kilomètres (au départ de Salles).

    Bassin de baignade

    La zone du port de plaisance est équipée d'un bassin de baignade[60] alimenté à la marée haute par une conduite reliée à l'un des bras de la Leyre, commandée par une vanne. La baignade est surveillée en période estivale.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants du Teich sur habitants.fr, consulté le 21 décembre 2011.
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Le Barp - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Le Teich et Le Barp », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Le Barp - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Le Teich et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de La Teste-de-Buch-Arcachon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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    25. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 1265..
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 671a
    30. Antoine Sabarthès, Dictionnaire topographique de l’Aude, Paris, 1912, p. 439 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    31. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 359..
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    34. « L'Agglo », sur L'Agglo COBAS (consulté le ).
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    Bibliographie

    • Olivier de Marliave, Dictionnaire du Bassin d'Arcachon, éd. Sud-Ouest, collection Sites et Patrimoine, 2017.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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    Lège-Cap-Ferret
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    Voie de Soulac
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