Le Vigan (Lot)

Le Vigan est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.

Pour les articles homonymes, voir Le Vigan.

Le Vigan

Mairie.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Quercy-Bouriane
Maire
Mandat
Jean-Michel Favory
2020-2026
Code postal 46300
Code commune 46334
Démographie
Population
municipale
1 565 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 33″ nord, 1° 26′ 23″ est
Altitude 333 m
Min. 202 m
Max. 391 m
Superficie 34,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gourdon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gourdon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Vigan
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Le Vigan
Géolocalisation sur la carte : Lot
Le Vigan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Le Vigan

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Melve, le Bléou, le Rêt et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Les habitants du Vigan s'appellent les Vigannais et les Vigannaises.

    Le Vigan est une commune rurale qui compte 1 565 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon. Ses habitants sont appelés les Roucanels ou Roucanelles.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy en haute Bouriane sur le Bléou, la Melve et la route nationale 673 entre Gourdon et Rocamadour. Le Vigan est membre de la communauté de communes Haute Bouriane. Le Vigan est une commune d'une superficie totale de 3 440 hectares, son altitude varie entre 202 et 391 mètres. Au dernier recensement, Le Vigan comptait un peu plus de 1 450 habitants.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 955 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[14],[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[16] : le « pech Peyrou, pech Merlé et Moulin de Lestrou » (201 ha), couvrant 2 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Vigan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[I 1],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (35,8 %), prairies (17,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), zones urbanisées (3,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Le Vigan serait basé sur Vicanum qui désignerait un village faubourg par rapport à Gourdon[21].

    Le Vigan, s’appelait primitivement Carbonac[21] et ce jusqu'au XIe siècle.

    Histoire

    En 1108, l’église du chapitre dénommée Sainte-Marie est citée dans le testament de Géraud de Gourdon qui part en croisade. En 1143, Pierre de Chastre, archevêque de Bourges la prend sous sa protection. La riche et prospère abbaye deviendra par la suite monastère des chanoines réguliers de Saint-Jérôme et de Saint-Augustin jusqu'à la Révolution. En 1699, le chapitre du Vigan se composait de 20 chanoines, 12 prébendes et 8 demi-prébendes. Les charges canonicales valaient 600 livres et ses revenus s’élevaient à 36 000 livres.

    Avant la Révolution, Le Vigan était le siège d’une justice de paix ou trois juges se répartissaient ces importantes fonctions. Il ne reste aujourd’hui aucune trace de l’ancien collège qui dut avoir pourtant une certaine importance. Le Vigan possédait aussi un hôpital destiné aux malheureux infirmes ou aux vieillards sans ressources. La chapelle Sainte-Rondine est le seul reste de cet asile nommé l’hôpital de Notre-Dame-de-la-Pitié.

    La population du Vigan a été estimée autour de 1 680 habitants en 1789, pour atteindre 1781 habitants en 1 845 puis décroître à 922 habitants en 1990. La courbe ascendante a de nos jours repris, pour atteindre 1 393 habitants au dernier recensement.

    L’imposante abbatiale des XIIIe et XIVe siècles reste le témoin d’un passé prestigieux. Les dimensions extérieures sont 45 mètres de long et 15 de large. Le chœur et les chapelles sont éclairées par de belles croisées ornées de vitraux remarquables.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1804 Pierre Thiere    
    1804 1816 Jean-baptiste Belly    
    1816 1848 Guilhaume Glandin    
    1848 1871 Jean-louis André Fontanilhes    
    1871 1874 Jean Lagarrigue    
    1874 1880 Louis André Fontanilhes    
    1880 1883 Alfred Gozon (de)    
    1883 1884 Jean Brunet    
    1884 1889 Alfred Gozon (de)    
    1889 1909 Louis Camy (de)    
    1909 1916 Jean Gouloumes    
    1916 1919 Baptiste Delpech    
    1919 1925 Jean-antoine Lagarrigue    
    1925 1935 Emile Bel    
    1935 1941 Jean Delchie    
    1941 1943 René Manieres-mezon    
    1944 1969 Jean Delchie    
    1969 1983 Roland Delchie PS  
    1983 2020 Daniel Souladié    
    2020   Jean Michel Favori    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2019, la commune comptait 1 565 habitants[Note 7], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6002 2771 5621 5121 7121 7621 7811 8011 684
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6821 7091 7531 7001 6961 6631 5681 5741 462
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3371 2561 184997972952902918859
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8138458268369221 1891 3241 3721 476
    2015 2019 - - - - - - -
    1 5681 565-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Le Vigan comptait 1256 habitants[27].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 695 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 531 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 390 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]9,5 %10,4 %9,1 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 855 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (67,9 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gourdon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 333 emplois en 2018, contre 315 en 2013 et 367 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 604, soit un indicateur de concentration d'emploi de 55,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,2 %[I 10].

    Sur ces 604 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 177 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    147 établissements[Note 10] sont implantés au Vigan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble147100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1812,2 %(14 %)
    Construction2416,3 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    5034 %(29,9 %)
    Information et communication53,4 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance32 %(2,8 %)
    Activités immobilières21,4 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    149,5 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1711,6 %(12 %)
    Autres activités de services149,5 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34 % du nombre total d'établissements de la commune (50 sur les 147 entreprises implantées au Le Vigan), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations72552923
    SAU[Note 13] (ha)1 1841 058957754

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 72 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 55 en 2000 puis à 29 en 2010[30] et enfin à 23 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 68 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[31],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1184 ha en 1988 à 754 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 33 ha[30].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
    15. Le musée Henri-Giron a été créé autour d'une importante collection privée d’œuvres de l'artiste, né en 1914 près de Lyon et vivant actuellement à Bruxelles. Les paysages et les natures mortes le rattachent aux peintres flamands et nordiques par la lumière, la composition et la perfection de l'expression picturale.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Vigan » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Vigan » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Vigan » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Vigan » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Vigan et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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    14. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    15. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune duVigan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « pech Peyrou, pech Merlé et Moulin de Lestrou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

    • Christophe Loiseleur des Longchamps, Les fortifications médiévales dans le canton de Gourdon, Mémoire de Maîtrise. Université de Toulouse - Le Mirail, 1994.

    Articles connexes

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