Le Vintrou

Le Vintrou est une commune française située dans le sud-est du département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Montagne Noire, un massif montagneux constituant le rebord méridional du Massif Central.

Le Vintrou

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Thoré Montagne Noire
Maire
Mandat
Gérard Cauquil
2020-2026
Code postal 81240
Code commune 81321
Démographie
Population
municipale
89 hab. (2019 )
Densité 7,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 32″ nord, 2° 27′ 47″ est
Altitude 575 m
Min. 396 m
Max. 742 m
Superficie 11,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mazamet-2 Vallée du Thoré
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Vintrou
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Le Vintrou
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Le Vintrou
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Le Vintrou
Liens
Site web Le Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arn, le ruisseau de Rieugrand, le ruisseau du Bouyssou et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Le Vintrou est une commune rurale qui compte 89 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 695 habitants en 1931. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Vintrounais ou Vintrounaises.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc sur l'Arn et le lac des Saints-Peyres

    Carte

    Communes limitrophes

    Au sud-ouest, la commune de Bout-du-Pont-de-Larn n'est qu'à 150 mètres du territoire communal[1].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Arn, le ruisseau de Rieugrand, le ruisseau du Bouyssou, le ruisseau de Fonteminal, le ruisseau de la moulière et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    L'Arn, d'une longueur totale de 55,7 km, prend sa source dans la commune de Fraisse-sur-Agout et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Thoré à Bout-du-Pont-de-Larn, après avoir traversé 9 communes[4].

    Réseaux hydrographique et routier duVintrou.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 272 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouairoux », sur la commune de Rouairoux, mise en service en 1992[10]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 561,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 36 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

    La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[19]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[20],

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21] :

    • les « gorges du Banquet » (396 ha), couvrant 4 communes du département[22] ;
    • les « sagnes du Bouyssou et sagne Crozes » (30 ha), couvrant 2 communes du département[23] ;
    • les « sagnes du Rieu Grand » (54 ha), couvrant 4 communes du département[24] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21] : les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » (9 725 ha), couvrant 10 communes dont deux dans l'Hérault et huit dans le Tarn[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Vintrou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[I 1],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), prairies (3,5 %), eaux continentales[Note 8] (3,4 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    La commune du Vintrou, située dans le Parc naturel régional du Haut-Languedoc a une superficie de 1 138 hectares et une population de 85 habitants au dernier recensement. L'altitude moyenne est de 575 mètres. La rivière l'Arn a permis la construction du barrage des Saints-Peyres en 1930 en vue de la production d'électricité.

    Actuellement, cette retenue représente à la fois un potentiel d'énergie important et un lieu de villégiature (tourisme, pêche, promenade).

    Il y a soixante-dix ans, il n'y avait en Montagne Noire que deux lacs historiques (barrage des Cammazes et Saint-Ferréol, alimentés par le Sor et le Lampy) pour l'alimentation du canal du Midi. En 1930, l'oubli de la nature était réparé aux environs immédiats de Mazamet avec le lac des Montagnès, encadré du pic de Montaud et la chaîne de Nore. C'est à 15 kilomètres que le lac des Saints-Peyres s'étend sur plus de 200 hectares.

    Cette bourgade a abrité deux cents personnes depuis ses origines qui remontent, peu avant l'an mille, jusqu'au milieu du XXe siècle. Une explosion démographique cependant, qui a fait doubler le nombre des habitants entre 1930 et 1935 : c'était lors de l'épopée de la construction du barrage des Saints-Peyres.

    Longtemps, la commune a été située dans l'évêché de Castres à la limite avec celui de Saint-Pons. En effet, une voie antique traversait l'Arn à la limite ouest et elle permettait aux gens du Sud Aveyron de se rendre dans le pays bas audois pour y faire des affaires.

    Cet axe rejoignait la via Domitia. Une situation géographique qui a favorisé l'installation d'un seigneur : « Il avait implanté un pont fortifié pour prélever de l'argent aux voyageurs. Jusqu'en 1800, on se rendait à dos de mulet au Vintrou!» raconte Jean Benoit, le responsable du centre de recherche sur le patrimoine et la mémoire.

    Un diacre cathare en 1300

    Comme toute la région, l'endroit a été marqué par les luttes religieuses. En 1300, on y recense un diacre cathare, Arnaud Bosc. Vers 1740, il y a eu des réunions du désert, en particulier au « Trou du Grand » et pendant la Réforme. Autour de 1790, des prêtres réfractaires y ont trouvé refuge.

    Pendant longtemps, les paysans ont cultivé les terres du Vintrou faisant usage de vieux outils et l'élevage dominait. De 1850 à 1950, les industriels mazamétains s'intéressent au territoire communal. Ces lainiers, comme Gaston Cormouls Houles, passionné d'agriculture, achètent des domaines fermiers qu'ils développent dans les parties les plus accessibles. Bientôt, ils investissent dans les plantations. C'est une évolution générale qui transforme le paysage en zone boisée.

    Le barrage construit, la centrale hydroélectrique est mise en service. Douze familles compléteront ainsi la population. Des agents de l'EDF qui resteront le plus longtemps possible et qui alimenteront en effectif l'école communale. Ses portes sont désormais fermées ! L'association des Amis du Vintrou y abrite une exposition « Outils et savoir-faire de nos anciens ».

    De nos jours l'ancien presbytère de l'église a été rénové en gîte communal, classé gîte de France[29].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Jean Benoit DVG  
    mars 2001 mars 2014 Rémy Fortanier    
    mars 2014 En cours Gérard Cauquil    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31]. En 2019, la commune comptait 89 habitants[Note 9], en augmentation de 9,88 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    406312363403417444456463461
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    382399381380339334295291267
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    241237222139116695144124113
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    13410662858570818380
    2017 2019 - - - - - - -
    8589-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]9,3 %5,6 %5,5 %
    Département[I 5]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 57 personnes, parmi lesquelles on compte 70,9 % d'actifs (65,5 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 29,1 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 6 en 2013 et 4 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 38, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58 %[I 8].

    Sur ces 38 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 97,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 10].

    Activités

    Un seul établissement[Note 11] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture est implanté au Le Vintrou au [I 11]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 12]</ref> (neuf en 1988)[35],[Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules à la bordure d'argent.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique du Vintrou » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale du Vintrou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « l'Arn »
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Rouairoux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Le Vintrou et Rouairoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météofrance Rouairoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    13. « Orthodromie entre Le Vintrou et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    20. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune duVintrou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « gorges du Banquet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « sagnes du Bouyssou et sagne Crozes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « sagnes du Rieu Grand » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Site de la mairie du Vintrou consulté le 12/09/08
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne<ref group=''>Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune du Le Vintrou - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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