Lembras

Lembras (prononcer [lɛ̃bra]; occitan: Lembras, [lɛ̃mbra][1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lembras

Le bourg de Lembras.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Michel Terreaux
2020-2026
Code postal 24100
Code commune 24237
Démographie
Gentilé Lembrasiens
Population
municipale
1 208 hab. (2019 )
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 05″ nord, 0° 31′ 23″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 155 ou 163 m
Superficie 10,59 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bergerac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lembras
Géolocalisation sur la carte : France
Lembras
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Lembras
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lembras
Liens
Site web lembras.a3w.fr

    Géographie

    Généralités


    Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, en Bergeracois, dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Lembras est bordée par les vallées du Caudeau au sud et de son affluent la Seyze au sud-est, et s'étend vers le nord-est en un plateau vallonné occupé par de vastes zones boisées. L'activité agricole y est également représentée, avec une dominante viticole sur des vignobles d'appellations d'origine contrôlée (bergerac et pécharmant).

    Traversé par la route départementale (RD) 936E1 (ancien tracé de la route nationale (RN) 21 depuis la mise en service en 2010 de la déviation à l'est de Bergerac), le bourg de Lembras est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres au nord-est du centre-ville de Bergerac, la sous-préfecture.

    Le territoire communal est également desservi par la RN 21 à l'est et par les RD 21E1 et 107, cette dernière marquant partiellement la limite ouest de la commune.

    À l'intersection de l'actuelle RN 21 et de son ancien tracé, la commune jouit d'une facilité d'accès par rapport aux centres d'emploi du Bergeracois. Cette proximité a fortement influencé son évolution récente vers une vocation résidentielle de plus en plus marquée. La population est bien desservie par la présence dans le bourg de plusieurs commerces de proximité et de services.

    En provenance au nord-est de la commune de Queyssac, le GR 654 traverse le territoire communal sur près de six kilomètres, passe dans le bourg de Lembras et continue vers la commune de Bergerac, au sud-ouest.

    Communes limitrophes

    Lembras est limitrophe de six autres communes, dont Saint-Sauveur au sud-est, sur un peu plus de 200 mètres.

    Carte de Lembras et des communes avoisinantes.
    Communes limitrophes de Lembras
    Eyraud-Crempse-Maurens
    (ancienne commune de Maurens)
    Queyssac
    Lamonzie-Montastruc
    Bergerac Creysse,
    Saint-Sauveur

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lembras est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Lembras.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 39 m[6] à l'extrême sud-ouest, là où le Caudeau quitte la commune et entre sur celle de Bergerac, au niveau du parc de Pombonne, et 155[6] ou 163 m[Note 1] à l'extrême nord-est, au lieu-dit Pinceguerre[7], en limite des communes d'Eyraud-Crempse-Maurens et de Queyssac[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 2] et 14 sous-unités[10]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[11],[12].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,59 km2[6],[13],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,79 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par le Caudeau, la Seyze, la Tortefeyssole, le ruisseau du Vert et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[17],[18].

    Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[19]. Il traverse la commune du sud-est au sud-ouest sur plus de cinq kilomètres, servant presque intégralement de limite territoriale face à Saint-Sauveur, Creysse et Bergerac.

    La Seyze (ou Galinat dans sa partie amont), d'une longueur totale de 9,58 km, prend sa source à Montagnac-la-Crempse et se jette dans le Caudeau en rive droite à Lembras, face à Creysse[20],[21]. Elle arrose l'est de la commune par deux bras parallèles, longs chacun de 800 à 900 mètres.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[24]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[25].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[24]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 842 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[28] complétée par des études régionales[29] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[30] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[31],[Note 7], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[32], à 13,1 °C pour 1981-2010[33], puis à 13,2 °C pour 1991-2020[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Lembras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[35],[36],[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[38] et 64 183 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[39],[40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[41],[42].

    Occupation des sols

    En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante : 45,2 % de territoires agricoles, 44,3 % de forêts ou de milieux semi-naturels et 11,1 % de territoires artificialisés[43].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau et ses rives, impactant le sud de la commune bordé par ce cours d'eau[44],[45].

    Toponymie

    Le nom de Lembras dans sa graphie actuelle apparaît pour la première fois dans un pouillé du XIIIe siècle, puis en 1373 sous la forme Grangia de Lembraco[46],[47]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Lembrat[48].

    Le nom du lieu correspond à un nom de personnage gallo-roman Lamprus suivi du suffixe -acum, déterminant le « domaine de Lamprus »[46].

    En occitan, la commune porte le nom de Lembrac[1].

    Histoire

    Le territoire communal comporte plusieurs gisements préhistoriques, notamment au niveau du lieu-dit la Ribeyrie[46], La présence mérovingienne est également attestée par plusieurs tombes découvertes dans ce même secteur de la Ribeyrie.

    L'ordre des Frères de l'Hôpital Saint-Jean de Jérusalem, devenu plus tard l'Ordre de Malte, avait placé Lembras sous la protection de saint Jean Baptiste. Ils édifièrent une forteresse à la Ribeyrie. En 1113 s'y dressait le château fort à trois enceintes. Vers 1198, Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre et duc d'Aquitaine, fit démanteler cette forteresse. Appelée « tour Cyrano », une tour du XVe siècle a subsisté[46], à la croisée des chemins de Queyssac et des Greloux, témoin du passé médiéval de la commune.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Lembras est rattachée au canton de Bergerac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. En 1973, ce canton est scindé en deux et Lembras est alors rattachée au canton de Bergerac-2[6].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014 et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[49].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Lembras intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989 mars 2008 Jean Liegey    
    mars 2008
    (réélu en mai 2020[52])
    En cours Michel Terreaux SE[53] Retraité

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Lembras relève[54] :

    Démographie

    Les habitants de Lembras se nomment les Lembrasiens[55].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].

    En 2019, la commune comptait 1 208 habitants[Note 10], en diminution de 0,41 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    596603573679623614624626643
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    594625608582572578563523554
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    524500487468459443464501555
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5705977239771 1741 1941 1941 1781 229
    2015 2019 - - - - - - -
    1 1521 208-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    AOC

    Vignes à Lembras.

    La commune de Lembras est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Creysse et Saint-Sauveur) où est cultivé le vignoble qui produit l'AOC pécharmant[59].

    Emploi

    En 2016[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 452 personnes, soit 39,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinquante-trois) a augmenté par rapport à 2011 (quarante-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 84 établissements[61], dont quarante-quatre au niveau des commerces, transports ou services, vingt-quatre dans la construction, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre dans l'industrie[62].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste[63].
    • La tour Cyrano du XVe siècle[46].
    • Au sud du chevet de l'église, le monument aux morts, œuvre du sculpteur Daniel Dorillac (1883 - 1939), représente un poilu.
    • Un ensemble important de rocaille datant de la fin du XIXe siècle composé d'une rambarde, de troncs d'arbres et de deux fauteuils en haut d'un escalier, est visible à l'extérieur d'une propriété privée (domaine de Bellevue Cottage).

    Héraldique

    Blason
    De sinople à la tour d'argent maçonnée et ouverte de sable, au chef cousu de gueules* à la croix d'argent.
    Détails
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sinople).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 163 mètres sur la carte et 155 sur son ancien site.
    2. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    3. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[26].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[27].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Le nom occiran des communes du Périgord - Lembrac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Lembras » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lembras », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. « 163 » sur Géoportail (consulté le 29 juin 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lembras », sur le site de l'Insee (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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    17. « Fiche communale de Lembras », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    18. « Réseau hydrographique de Lembras » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    19. Sandre, « le Caudeau »
    20. « Confluence Seyze-Caudeau au sud de la Ribeyrie » sur Géoportail (consulté le 15 août 2022)..
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    22. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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