Lewarde
Lewarde est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert la fosse Delloye, qui est devenue le Centre historique minier de Lewarde.
Ne doit pas être confondu avec la ville de Leeuwarden.
Lewarde | |||||
La fosse Delloye, aujourd'hui centre historique minier de Lewarde. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent (siège) |
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Maire Mandat |
Denis Michalak 2020-2026 |
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Code postal | 59287 | ||||
Code commune | 59345 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lewardois | ||||
Population municipale |
2 430 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 623 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 20′ 30″ nord, 3° 10′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 22 m Max. 80 m |
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Superficie | 3,9 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-lewarde.fr | ||||
Géographie
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
La commune est traversée par la route départementale 645 de Douai à Denain ainsi que par les routes départementales 132 et 135.
Lewarde est desservie par la ligne A du réseau de transport de Douai.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Lewarde est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[17] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,5 %), zones urbanisées (27,4 %), forêts (7,6 %), mines, décharges et chantiers (6,5 %), prairies (5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
- au XIIe siècle : Warda Sti-Remigü (chronique Gisleb).
- 1246 : Custodia de S. Remigio (1er cartulaire d'Artois).
- 1255 : Le Warde Saint-Rémi (Titre d'Anchin, Escallier)[24].
Histoire
Archéologie
- 1843 : Époque celtique, découverte d'une précieuse monnaie gauloise en cuivre, portant une tête casquée et au revers un coq debout.
- Époque romaine : trouvées à diverses reprises médailles romaines ; urnes remplies de cendre et cachées dans les carrières de grès ; quatre têtes en bronze de style gallo-romain[24].
Le village de Lewarde prend naissance sur une crête boisée (les monts Saint-Rémi) autour d'une zone fortifiée, construite par le comte de Hainaut au XIIIe siècle, d’où l'on pouvait surveiller la frontière commune aux Comtés de Flandres et de Hainaut.
De cette zone fortifiée, il ne reste rien. Mais, c'est à cet endroit supposé, sur le fief de Lewarde, que fut construite l'église du village.
Le fief de Lewarde comprenait, au Moyen Âge, environ la moitié de la commune, l'autre étant incluse au fief des Vésignons. Ce dernier comprenait et comprend toujours un bois où l'on peut admirer une tour et un obélisque.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, de riches familles vécurent à Lewarde : les Béharelle, Dervaux, Delegorgue... d'où l'édification d'importantes maisons bourgeoises ou de châteaux. On retrouve certains de ces patronymes sur les pierres tombales du cimetière.
À la fin de l'Ancien Régime, c'est dans l'une des habitations de la cité que naquit Jacques-François Momal qui deviendra très vite un peintre renommé.
Au XIXe siècle commence l'édification de chapelles à Lewarde, la dernière datant des années 1950.
Lors des deux conflits mondiaux, les habitants de la commune furent durement touchés. Deux monuments aux morts commémorent ces événements.
Le village vivait autrefois de l'agriculture, mais aussi de l'extraction du grès qui reste très présent dans le village, en particulier à l'église et son ancien cimetière. Ces activités furent remplacées, au début du XXe siècle, par l'extraction houillère comme en témoignent la « cité Béharelle », l'ancien cavalier minier des Houillères, la Fosse Delloye et son Centre Historique Minier, et par le développement d'une brasserie.
Aujourd'hui, le syndicat d'initiative de Lewarde a planté une vigne, dans les anciens jardins du presbytère au pied de l'église, entretenu par des bénévoles de l'association.
Sur le site de l'ancienne fosse Delloye se trouve aujourd'hui le plus grand Centre historique minier de France. C'est à la fois un centre de documentation et un lieu touristique qui présente de nombreux objets, outils et machines. Le visiteur, guidé par d'anciens mineurs, peut également se faire une idée du travail dans les mines de charbon en parcourant des galeries reconstituées. Elles reprennent le concept des mines-images utilisées par les compagnies minières pour la formation de leurs personnels.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales le , dix-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 792 inscrits, dont 979 votants (54,63 %), 12 votes blancs (1,23 %) et 949 suffrages exprimés (96,94 %). La liste Continuons ensemble pour Lewarde menée par le maire sortant Denis Michalak recueille 666 voix (70,18 %) et remporte dix-sept sièges au conseil municipal contre deux pour la liste L'alternative lewardoise menée par Thierry Pamart avec 283 voix (29,62 %)[25],[26]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[27]. Denis Michalak est réélu maire avec dix-sept voix sur dix-neuf, deux bulletins sont nuls[28].
Liste des maires
Maire en 1802-1803 : Dervaux[29].
Irénée Nottez, né au milieu des années 1930, conseiller municipal d'opposition de mars 1965 à mars 1971, est élu maire en mars 1977, il est syndicaliste et conducteur à la SNCF. Il est le suppléant de Georges Hage lors des élections législatives de 1978 et est à cette époque président du Syndicat intercommunal de la région de Somain-Aniche[30].
Alain Bruneel devient maire de Lewarde en . Il assure les fonctions de conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 2004 à 2015 ainsi que de conseiller général du Canton de Douai-Sud de 2011 à 2015. Élu député de la seizième circonscription du Nord en 2017, ne pouvant cumuler ses mandats, il démissionne et Danis Michalak devient à son tour maire, début .
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Irénée Nottez (d)[31] ( - ) | 21 ans et 9 mois | Parti communiste français | ||
Alain Bruneel (né le ) | (démission) | 18 ans et 6 mois | Parti communiste français | |
Denis Michalak (d)[32],[33],[34] (né le ) | En cours | 5 ans, 1 mois et 28 jours | Parti communiste français |
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2019, la commune comptait 2 430 habitants[Note 8], en diminution de 5,56 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 204 hommes pour 1 223 femmes, soit un taux de 50,39 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
- Salle omnisports (Tennis de table, Judo, Gymnastique, Tennis, Piscine, Stade olympique),
- Stade municipal (Football).
- Club de football : USCL Lewarde (Union Sportive Corporative Laïque de Lewarde), créé en 1968
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Remi (XVIe siècle-XIXe siècle) où certaines scènes de la série télévisée Maria Vandamme furent tournées dans les années 1980.
- Château de Vésignion rebati en 1765 par le président Deforest[41] de Lewarde. Le a été inauguré un parc en bordure du château. Ce parc, donnant directement sur le château, compte un nombre important de sculptures sur bois ainsi qu'un labyrinthe « naturel ». Des activités « accrobranches » sont ponctuellement organisées.
- Domaine Bauck (XIXe siècle-XXe siècle)
- Le manoir de Layens (XVIe siècle-XVIIIe siècle)
- L'ancien cavalier des houillères
- La pyramide ou l'obélisque (entre 1816 et 1818)
- Monuments aux morts de Maurice Rogerol
- Le centre historique minier de Lewarde
- Bâtiment d'extraction.
- Le train qui emmène les passagers dans les galeries reconstituées.
- La scierie, devenue restaurant.
- Une grue ferroviaire.
- La zone où le charbon était déchargé, en bas, on aperçoit le bâtiment des galeries reconstituées.
Avec son bois, son centre historique minier et son parc, Lewarde s'impose comme un haut lieu du tourisme du Nord-Pas-de-Calais.
Personnalités liées à la commune
- Jacques-François Momal, peintre né en 1754 peintre et graveur, dirigea pendant de longues années l'école de peinture de Valenciennes décédé à Valenciennes le [41].
- Jacques Van Cappelen, ancien footballeur professionnel du LOSC est né à Lewarde[42].
Fête communale
La « fête de la châtaigne » a lieu le deuxième dimanche d'octobre. Les sociétés locales, la municipalité, les Lewardois y participent. Tout au long de ce week-end se mêlent activités sportives, culturelles, artistiques (marché aux puces, cross de la Châtaigne, soirées, défilé…). On y ajoute pour la parfaire, « Le Truffé Lewardois », pâté à la châtaigne dont les secrets de fabrication sont jalousement conservés.
Spécialités culinaires
Ces deux spécialités ne peuvent se goûter que lors de la fête de la châtaigne
Héraldique
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Les armes de Lewarde se blasonnent ainsi : « Coupé : en chef, d'or à un lion de gueules tenant de ses deux pattes de devant une banderole du même ; en pointe, d'azur à trois merlettes d'argent. »
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Pour approfondir
Articles connexes
- Catastrophe de Courrières
- Communes du Nord
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Fosse Delloye de la Compagnie des mines d'Aniche, devenue le Centre historique minier de Lewarde
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lewarde et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lewarde et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- page 617, statistique archéologique du département du Nord seconde partie, Librairies Quarré Lille ; Leleu, Lille, A. Durand Parisarchive au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- « Élections municipales, Lewarde », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 34.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Lewarde », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, .
- « Denis Michalak réélu maire sans surprise », L'Observateur du Douaisis, no 907, , p. 14.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Législatives 1978 (Nord, 15e circonscription) : professions de foi du 1er tour », sur https://archive.org/details/archiveselectoralesducevipof (consulté le ).
- Nello Benedetti, « Lewarde : maire pendant vingt-deux ans, Irénée Nottez est décédé », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Conseiller municipal d’opposition de 1965 à 1971, puis maire de 1977 à 1999, Irénée Nottez (85 ans) est décédé mercredi au Canet-en-Roussillon (Pyrénées orientales) où il s’était retiré. »
- « Cœur d’Ostrevent : clash entre Denis Michalak et Frédéric Delannoy », L'Observateur du Douaisis, : « Denis Michalak, au nom du groupe démocrate et citoyen de la CCCO (en gros les élus communistes du territoire), a expliqué pourquoi les membres de son groupe votaient contre cette demande. »
- J.-L. R., « Lewarde : Denis Michalak élu nouveau maire », La Voix du Nord, : « Élu député de la 16e circonscription, Alain Bruneel ne pouvait rester maire de Lewarde. Il a démissionné de ce mandat ce soir vendredi, lors d’un conseil municipal extraordinaire. [...] C’est Denis Michalak, le 2e adjoint, qui a été élu à l’issue d’un vote à bulletin secret, à l’unanimité des votants (vingt-deux). »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :
« Lewarde : Parti communiste »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lewarde (59345) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- page 618, statistique archéologique du département du Nord seconde partie, Librairies Quarré Lille ; Leleu, Lille, A. Durand Parisarchive au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Jacques Van Cappellen, l'ancien footballeur du LOSC s'est éteint à l'âge de 89 ans
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15
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