Lit-et-Mixe

Lit-et-Mixe (prononcé [lit e miks]; en gascon Lit e Micse) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Mixe.

Lit-et-Mixe

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Côte Landes Nature
Maire
Mandat
Gérard Napias
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40157
Démographie
Population
municipale
1 657 hab. (2019 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 00″ nord, 1° 15′ 20″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 72 m
Superficie 112,95 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Côte d'Argent
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lit-et-Mixe
Géolocalisation sur la carte : France
Lit-et-Mixe
Géolocalisation sur la carte : Landes
Lit-et-Mixe
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lit-et-Mixe

    Ses habitants se nomment (lous) Lités, francisé Litois.

    Géographie

    Localisation

    Surnommée « la Grande Dame du Marensin », Lit-et-Mixe fait office de station balnéaire avec sa plage de la Côte d'Argent sur l'océan Atlantique (cap de l'Homy), située à km du village.

    Elle vit également de la sylviculture et possède dans son bourg principal (Lit) de nombreux commerces nécessaires pour alimenter sa vaste zone de chalandise, l'ensemble du Marensin.

    Le bourg, traversé du nord au sud par la route départementale 652, reste éloigné d'autres villes : Mimizan, Morcenx et Castets sont distantes d'une vingtaine de kilomètres et Dax, chef-lieu d'arrondissement d'une quarantaine. Mixe forme un quartier excentré à la sortie sud du bourg principal.

    Les principaux lieux-dits et écarts sont le Baratte, Bardot, Cap de l’Homy (qui accueille la plage surveillée de la commune), Contis-les-Marais, Contis Sud, Culassier, Gadou, Matruque, Lesalle, Lugadets, Padaou, Pernaout, Pétrocq et Séville.

    Communes limitrophes

    Transports en commun

    Pendant la période estivale un réseau de navette dessert la Communauté de communes Côte Landes Nature reliant les bourgs aux plages.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 212 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 188,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lit-et-Mixe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (2,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %), zones humides intérieures (0,5 %), zones humides côtières (0,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Contis est l’ancien bourg influant, autrefois nommée Cunctis, disparu. Il figure, avec Lellan, Lélos, Sart ou Auchise, parmi les bourgades médiévales, autrefois probablement puissantes, victimes de l'avancée des sables maritimes à la suite des excès de la déforestation. La bourgade accueillant sanctuaire et relais des Templiers, a laissé son nom au canal naturel d'évacuation des eaux, piégées dans les étangs derrière les masses dunaires. Le lieu-dit Contis au nord est devenu une station balnéaire de Saint-Julien-en-Born.

    Le bourg de « Lict-en-Maransin » ou Lit, dont le nom viendrait du latin Lictus - littoral, aux XVIIe et XVIIIe siècles formait une paroisse distincte de Mixe. Il est obligé de se déplacer dans les siècles précédents devant l’avancée des sables venant de l’ouest. L’ancien Lit avait son emplacement beaucoup plus proche de la mer, près du quartier de Contis-les-Marais, sous les dunes de la Pétrouille ou balise Saint-Jean[24]. Les lètes en gascon désignent les vallons inter-dunaires. Une ancienne variante dialectale est lite(s)[25]. Le bourg de Lit hérite peut être d'une vieille appellation de Contis, appliquée à son arrière-pays.

    D'une manière similaire, le bourg plus septentrional de Saint-Julien, dans le pays de Born, reste aussi placé sous le patronage des chevaliers Templiers.

    Hypothèses : Le village de Mixe, au sud du bourg, prendrait son nom d'un mansus, domaine agricole à l'époque gallo-romaine ; parallèles romans : les meix de Bourgogne et de Lotharingie (dans lesquels x notait une dentale chuintante) : le /i/ et le /ks/ de Micse restent inexpliqués. Dans ce domaine gascon un bas-latin *mixata- , *mictas (pour le classique mixta-, mixtu-) de miscere "mêler, joindre", a pu désigner une "(terre) jointe, réunie", ou un mode d'exploitation particulier, la conservation du groupe /ks/ s'expliquant comme dans Dax, Dacs (< *de aquis).

    La présence, en apparence hostile, de côtes sableuses, de rivières et d'étangs ouvre aux habitants la ressource maritime et fluviale, avec les poissons et les mollusques abondants. Les prairies et les cultures de céréales, légumes et vignes, l'arboriculture avec des châtaigniers, des pruniers et des cerisiers, développées par le labeur des habitants, complètent les ressources extensives plus modestes des landes, des forêts sèches, notamment les chênaies ou les pignadas, ou humides, en particulier les aulnaies ou saulaies, qui les bordent. Les lannes ou landes rases restent une terre de pâturage extensif, de porcs, de bovins, de chèvres ou d'ovins.

    Pendant près de six siècles, le Marensin est tributaire d'un système féodo-vassalique. Sous influence anglaise après le mariage d'Aliénor d'Aquitaine, il passe sous domination de la maison d'Albret jusqu'en 1584, date à laquelle son héritier Henri, futur Henri IV de France, vend la baronnie. La paroisse de Lit était « dans le vicomté d’Uza » et la « baronnie du Maransin » et dépendait de la juridiction de Linxe et de Dax[24]. Le baron de Tingon, les seigneurs de la Barre, de la Ferrade en sont les acquéreurs successifs. Au XVIIIe siècle, les comtes de Marcellus en furent les derniers barons.

    En 1825, sous la Restauration, les deux paroisses qui forment la commune actuelle fusionnent.

    En 1876, la commune de Lit-et-Mixe compte 1 858 habitants. Par la route, son centre se situe à 53 km de Dax. La route des étangs la relie à la première commune méridionale du pays de Born, Saint-Julien. L'étang de Saint-Julien couvre à cette époque plus de 696 ha.

    L'accès à la mer explique la reconnaissance du port de Lit parmi les six ports dépendant du quartier maritime de Dax, inclus comme deux ports autres landais du quartier maritime de Bayonne, dans le quatrième arrondissement maritime, siégeant à Rochefort.

    En 1907, la commune est marquée par les affrontements entre gemmeurs et propriétaires forestiers au cours de la grève des résiniers landais.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la bande du champ abaissée à dextre et haussée à senestre, câblée en chef et en pointe d'une tire d'or et chargée de l'inscription « LIT ET MIXE » en lettres du même, les montants à plomb et les traverses dans le sens de la bande, accompagnée, en chef à dextre, d'un écureuil contourné assis sur la bande, tenant une pomme de pin entre ses pattes, le tout d'or, à senestre, d'un berger landais de carnation regardant vers dextre, habillé d'argent et coiffé d'un béret de sable, sur ses échasses du même mouvant de la bande, et, en pointe, d'une barque d'or montée par huit hommes de carnation, habillés d'argent et coiffés d'un béret de sable, tenant des rames du même, voguant sur une mer d'azur[26].

    Ce blason n'est guère conforme à l'esprit de l'héraldique : manque de cohésion graphique, affichage du nom de la commune (alors que le blason a pour fonction de représenter par l'image), pas de centralité. On pourrait proposer, sans trahir l'idée de départ : d'azur à l'écureuil d'or tenant une pomme de pin, sur une barque du même, flanqué de deux échasses d'argent, l'une à dextre, l'autre à senestre.

    On peut aussi reprendre les armes anciennes des seigneuries correspondantes, si on les retrouve et qu'elles ne sont pas objet de droits.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1805 mai 1842 Jean Dupuy    
    mai 1842 août 1843 Dominique Mathio    
    août 1843 août 1848 Numa Turpin PDO Conseiller général (1834-1873) et député (1848-1851)
    août 1848 novembre 1848 Jean Soulan    
    (...) (...) (...)    
    juillet 1873 février 1874 Etienne Danchotte    
    février 1874 décembre 1876 Numa Boyou   Nommé par le préfet
    décembre 1876 janvier 1878 Etienne Danchotte    
    janvier 1878 novembre 1919 Louis Crouzet   Fils d'Henri Crouzet (1817-1880) et petit-fils de Numa Turpin ancien maire[27]
    novembre 1919 mai 1929 Dominique Mathio    
    mai 1929 mars 1941 Léon Sargos (1855-1944)[28]   Propriétaire-Négociant
    Chevalier de la Légion d' Honneur[29]
    Père de Roger Sargos (1886-1966) maire d'Aureilhan
    mars 1941 octobre 1947 Jean Bellegarde    
    octobre 1947 octobre 1975 Louis Sourgen   Médecin
    octobre 1975 mars 1983 Gérard Subsol   Forestier
    mars 1983 mars 2020 Guy-Bertrand Puyo UDF puis UMP
    puis LR
    Médecin, conseiller général du Canton de Castets (1979-2004)
    mars 2020 En cours Gérard Napias LR  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 1 657 habitants[Note 6], en augmentation de 6,01 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7086978571 0101 2771 4071 4831 6241 669
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8001 7852 0701 8211 8581 7111 6901 7111 717
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7891 8351 8701 7301 7621 7051 5331 4351 424
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4461 3531 2731 3221 4081 4411 4561 4521 520
    2015 2019 - - - - - - -
    1 5881 657-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,5 % la même année, alors qu'il est de 32,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 784 hommes pour 848 femmes, soit un taux de 51,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,52 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    3,4 
    13,6 
    75-89 ans
    16,2 
    28,2 
    60-74 ans
    28,5 
    21,5 
    45-59 ans
    21,5 
    14,4 
    30-44 ans
    12,4 
    11,7 
    15-29 ans
    8,4 
    9,9 
    0-14 ans
    9,7 
    Pyramide des âges du département des Landes en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    2,2 
    8,7 
    75-89 ans
    11,4 
    20 
    60-74 ans
    20,8 
    21,6 
    45-59 ans
    20,9 
    17,7 
    30-44 ans
    17,2 
    14,3 
    15-29 ans
    12,5 
    16,9 
    0-14 ans
    15 

    Lieux et monuments

    Aquarelle de l'église de Mixe sur la commune de Lit-et-Mixe.
    • L'église Notre-Dame de Lit : Depuis la construction de la partie ancienne de la tour carrée au XIIe siècle, Notre-Dame de Lit a subi quelques transformations. Au XIXe siècle, le clocher de l’église a été rehaussé. En 1904, il s’est doté d’une flèche qui donne aujourd’hui à l’édifice sa silhouette si particulière. En 1863, le cimetière entourant l’église a été déplacé à l’entrée du village et les pierres de l’enceinte ont servi à la construction de la maison des religieuses de Lit. Bien que cet édifice religieux de style gothique ait été modifié et restauré, il conserve son caractère défensif qui atteste de son origine médiévale.
    • Église Saint-Vincent de Mixe.
    • Musée vieilles Landes qui présente une collection de matériel traditionnel landais, présent dans les maisons et exploitations vivant de la sylviculture et du gemmage.
    • Les zones humides, aujourd'hui protégées, de l'ancien étang de Lit-et Mixe (plaine du Pigeon…) de par la richesse de la faune et de la flore qu’elles abritent sont classées en zone Natura 2000, dispositif se trouvant au cœur de la stratégie visant à enrayer la régression de la biodiversité.
    • À km à l'ouest de Mixe se trouve la source de Yons. C'est une source d'eau ferrugineuse réputée et fréquentée pour les maux d'estomac et la remise en forme. Elle était autrefois dédiée à Notre-Dame de Yons.
    La Vierge de Frois.
    • Au lieu-dit de Lugadets se trouve un petit oratoire dédié à Marie, dit de la Vierge de Frois, édifié en 1954 mais dont l’origine est plus ancienne.

    Économie

    Les activités qui soutiennent l'économie locale sont la sylviculture, très présente sur la commune, et ses dérivés industriels et artisanaux, ainsi que le tourisme estival.

    La commune produit également du vin de sable issu du vignoble des sables de l’océan.

    Loisirs et sports

    Le rugby[36] avec l'Union sportive litoise fondée en 1926 et qui prend le nom de Sport athlétique litois en 1933 a été :

    Devenue Landes Océan rugby club[38], le club devient Champion de France de 2e série 2017.

    Régulièrement des concentrations de grande envergure de 2CV et dérivées sont organisées sur la commune le week-end de l'Ascension, notamment les rassemblements nationaux, comme la 11e nationale en 2003 et la 17e nationale en 2009, qui drainent à chaque fois plus de 2 000 véhicules et des milliers de personnes, conducteurs, passagers et simples visiteurs.

    Personnalités liées à la commune

    Lieu de tournage cinématographique

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lit-et-Mixe et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lit-et-Mixe et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Roger Sargos, Contribution à l'histoire du boisement des Landes de Gascogne, Bordeaux, Delmas, 1949, p. 608 – Le patrimoine des Sargos
    25. Les lèdes, lètes ou lettes nomment aujourd'hui encore les bandes de terrains plats entre les cordons dunaires. Les larges plaines herbeuses de ce genre sont souvent, précise Jacques-Louis Delpal dans le lexique de son guide d'Aquitaine paru en 1989 aux éditions Arthaud, situées derrière la grande dune littorale.
    26. Armorial de France
    27. Pierfit, « Généalogie de Louis Crouzet », sur geneanet.org (consulté le ).
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    36. Les finales de l'USL sur finalesrugby.com
    37. Palmarès du Sport Athlétique Litois Rugby
    38. Entente Lit-et-Mixe et Saint-Julien-en-Born
    39. Interview du réalisateur

    Voir aussi

    Articles connexes

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