Marcillac-Lanville
Marcillac-Lanville est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Marcillac.
Marcillac-Lanville | |||||
Lanville et son église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Rouillacais | ||||
Maire Mandat |
Marie Annic Roy-Plantevigne 2020-2026 |
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Code postal | 16140 | ||||
Code commune | 16207 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
492 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 50′ 50″ nord, 0° 01′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 136 m |
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Superficie | 18,41 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Nouère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
La commune de Marcillac-Lanville, commune du Pays d'Aigre, est située à 25 km au nord d'Angoulême et 5 km kilomètres au sud d'Aigre, chef-lieu de son canton. Elle est au bord de la Charente, sur sa rive droite.
Marcillac-Lanville est aussi à 10 km de Rouillac, 11 km de Montignac, 13 km de Mansle et 25 km de Ruffec[1].
La D 737, route d'Angoulême à Niort par Montignac et Aigre, traverse la commune ainsi que les bourgs de Marcillac et Lanville. Elle franchit la Charente par un pont en pierre qui porte localement le nom du "Grand pont entre La Chapelle et Marcillac-Lanville". La D 736, entre Rouillac et Ruffec, traverse aussi la commune et passe à 1,5 km au nord-ouest du bourg[2].
La gare la plus proche est celle de Luxé, à 8 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
Le village de Lanville est situé à 0,4 km au nord du bourg de Marcillac, et comprend l'église abbatiale.
La commune compte quelques hameaux importants, comme Germeville à l'ouest, et Aizet au nord, situé près du bourg d'Aigre. Celui de Saint-Michel est intégré au bourg de Marcillac[2].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Une faille orientée nord-ouest sud-est traverse la commune, entre Pont-Roux et le Puy Cerclot. Les vallées de la Charente et de l'Auge sont couvertes d'alluvions récentes datant du Quaternaire (limon, sable, tourbe). On trouve aussi une zone de colluvions calcaires à l'ouest de Lanville[3],[4],[5].
Le relief de la commune est celui d'un plateau compris entre trois vallées. Les hauteurs sont situées au nord-est. Le point culminant est à une altitude de 136 m, situé à l'est de Lanville. Le point le plus bas est à 47 m, situé le long de la Charente sur la limite sud. Le bourg de Marcillac, construit sur une légère élévation au confluent de l'Auge et de la Charente, est à 65 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, l'Aume, le ruisseau l'auge, le ruisseau des Jauges et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La commune de Marcillac-Lanville est bordée dans sa partie orientale par la Charente dont elle occupe la tête d'un vaste méandre où le fleuve prend une orientation vers l'ouest avant de reprendre sa course vers le sud.
L'Aume, affluent de la Charente arrosant Aigre, traverse le nord de la commune où elle est canalisée entre deux digues[8].
L'Auge, ruisseau descendant d'Auge-Saint-Médard et appelé le Sauvage[9] dans cette commune, se jette dans la Charente au sud du bourg de Marcillac.
La Charente comme l'Auge de divisent en de nombreux bras.
On trouve aussi quelques fontaines, principalement près de Lanville comme la Fontaine Saint-Maur, mais aussi la Font Dutreuil au nord-est, et la Fontaine des Gazons et le Puits Devin au nord[2].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Marcillac-Lanville est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (4,7 %), prairies (4,7 %), forêts (2,7 %), cultures permanentes (0,3 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de Marcillac est attesté sous Les formes vicaria Martiliacensi, vicaria Martiliaco[18], Marciliaco en 1274, Marchiliaco au XIIIe siècle[19].
Les formes anciennes de Lanville sont Allevilla (prior Allevillae) vers 1140[18], Alanvilla, Anlavilla au XIIIe siècle[19], Aulaevilla[20].
L'origine du nom de Marcillac remonterait à un nom de personne latin Marcellius, Marcilius ou Martilius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Marciliacum, « domaine de Marcilius »[21],[Note 2].
Marcillac est à peine au sud de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en -é, -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny[2].
L'origine du nom de Lanville remonterait à un nom de personne germanique Alla auquel est apposé le suffixe latin -villa, « domaine »[21],[22].
Les noms en -ville en Charente, fréquents entre Barbezieux et Aigre, seraient issus des implantations franques après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[23].
Histoire
Marcillac
Le comte Vulgrin Ier fit construire vers 867 le château fort de Marcillac pour défendre la vallée de la Charente des raids des Vikings. Il le confie à son gendre, le vicomte Ramnoul, dont les descendants auront Marcillac aux IXe – XIe siècles, puis Ruffec à partir du XIe siècle.
La terre de Marcillac fait directement partie du domaine des comtes d'Angoulême jusque vers la fin du XIe siècle, époque à laquelle elle passe à la famille de Rancon[24] (de plus, Geoffroy III ou IV de Rancon épouse peut-être Isabelle, fille de Guillaume VI Taillefer d'Angoulême, dans la 2e moitié du XIIe siècle).
Marcillac fut une des six vigueries de l'Angoumois. La haute justice de Marcillac rendait jugements pour les fiefs d'Aigre, Barbezières, Ébréon, Fouqueure, Marcillac, Oradour, Villejésus, Verdille et Ranville.
La seigneurie de Marcillac, est attestée vers 1150 comme un lieu de péage sur le transport du sel en Angoumois, au point de franchissement de la Charente[25].
En 1178, Richard, le futur Cœur de Lion, met le siège devant le château de Marcillac et s'en empare. Devenu roi d'Angleterre, il revient en Angoumois en 1194. Durant la guerre de Cent Ans le château et l'église de Marcillac sont détruits.
Vers 1258/1259 meurt Geoffroy IV ou V de Rancon le Vieux, probable fils de Geoffroy III-IV et seigneur prince de Marcillac ; dès 1263 son jeune fils Guillaume V ou VI le Jeune disparaît sans postérité. Marcillac passe alors à la descendance féminine de Guillaume IV de Rancon, plus précisément à l'une de ses filles ou plutôt petites-filles (peut-être nommée Jeanne, née vers 1240-† en 1302), mariée à Guillaume III ou IV de Ste-Maure : la famille de Ste-Maure hérite donc de Marcillac qu'elle transmet ensuite à la Maison de Craon (Amaury III de Craon épouse en 1° noces en 1301 Isabelle de Ste-Maure, arrière-petite-fille de Jeanne de Rancon de Marcillac et de Guillaume III ou IV de Ste-Maure), qui le gardera jusqu'au début du XVe siècle.
Le mariage de Marguerite de Craon, arrière-arrière-petite-fille d'Isabelle de Ste-Maure et d'Amaury III de Craon, avec Guy VIII de La Rochefoucauld à la fin du XIVe siècle, fait passer Marcillac aux La Rochefoucauld qui conserveront cette terre jusqu'en 1790, ainsi que le titre de prince de Marcillac. En effet, à partir de 1517, l'aîné de la famille est autorisé par le roi François Ier à porter ce titre.
Le château de Marcillac est rebâti par Jean de la Rochefoucauld au milieu du XVe siècle mais il est victime des guerres de religions et du manque d'entretien. Il n'en reste actuellement qu'une motte féodale.
Sous l'Ancien Régime, le fief de Marcillac formait une enclave du Poitou en Angoumois aux limites mal définies, mais qui s'étendait au moins sur les quatre paroisses de Marcillac, Lanville, Mons et Barbezières. C'était une châtellenie dépendant de l'élection de Cognac, de la généralité de La Rochelle et du diocèse d'Angoulême. Marcillac relevait de l'évêché, et pour une petite partie, de l'abbaye de Saint-Cybard. À différentes reprises entre le XVIe et XVIIIe siècles, l'évêché eut à lutter contre les seigneurs de La Rochefoucauld qui tentaient de faire passer au roi l'hommage dû pour Marcillac, ce qui fut le cas entre 1740 et 1765.
Le titre de principauté que portait cette châtellenie depuis le XVIe siècle ne fut jamais consacré par aucune lettre royale et représentait simplement une prétention, fréquente à cette époque et aux siècles suivants, chez les possesseurs de grands fiefs de la région.
D'importantes foires se tenaient dans le bourg de Marcillac le 11 de chaque mois.
Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1586, ce qui en fait un des plus précieux fonds d'archives communales de Charente.
D'après ces registres, une épidémie de peste en 1632 a fait 55 victimes en six mois[24].
Lanville
Le prieuré de Lanville, à sa fondation, dépendait de l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême. On sait qu'en 1120 il était soumis à la règle de saint Augustin et placé sous l'invocation de Notre-Dame. Il a été fortifié et durant la guerre de Cent Ans, seul son cloître a été touché mais durant les guerres de Religion, ses bâtiments sont très endommagés en 1568. Il est relevé et uni à l'abbaye Sainte-Geneviève du Mont, à Paris, en 1659[26].
Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Lanville se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[27].
Au milieu du XVIIe siècle, les paroisses de Marcillac et de Lanville sont réunies. En effet, la paroisse de Marcillac eut du mal à se relever de la guerre de Cent Ans. Son église Saint-Michel ne fut jamais reconstruite, et la paroisse ne fut reconstituée que pendant un siècle, avant d'être rattachée à Lanville[24].
Au XVIIIe siècle, le prieuré n'a plus que peu de revenus[28].
Administration
En 1793 Marcillac-Lanville est chef-lieu de canton mais en 1801 la commune perd ce statut, elle est rattachée au canton de Rouillac, puis au canton de Val de Nouère en 2015.
Fiscalité
La fiscalité est d'un taux de 24,09 % sur le bâti, 48,47 % sur le non bâti, et 10,07 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).
La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2019, la commune comptait 492 habitants[Note 3], en diminution de 16,04 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 241 hommes pour 261 femmes, soit un taux de 51,99 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Marcillac absorbe Lanville entre 1790 et 1794[31].
Économie
Agriculture
L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Ambérac et Marcillac-Lanville. Marcillac-Lanville accueille l'école élémentaire, comprenant deux classes, et Ambérac l'école primaire. Le secteur du collège est Aigre[36].
Troisième âge
La maison de retraite du Prieuré se trouve à Lanville.
Lieux et monuments
Le prieuré Notre-Dame de Lanville dont il reste l'église qui est devenu église paroissiale.
L'église est du XIIe siècle, les bâtiments du prieuré et les caves voûtées du XIVe siècle la salle capitulaire et le cloître du prieuré du XVe siècle, d'autres bâtiments sont du XVIIe siècle.
Ont été classés monument historique le les restes de la salle capitulaire et du cloître du prieuré, attenant à l'église puis le la façade et la toiture du corps de logis situé en fond de cour, et les caves voûtées[37].
- Le chœur,
- Ruines
- du
- cloître.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les noms de communes Marcillac (au sud), Marcillé ou Marcilly (au nord) sont nombreux en France.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Marcillac-Lanville » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- BRGM, « Notice de la feuille de Mansle » [PDF], sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Marcillac-Lanville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « l'Aume »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Sauvage (R2200520) » (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 52,97,136
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 89,132-141,275,284
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 92
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 433.
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- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
- Histoire passion
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcillac-Lanville (16207) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Crus du cognac par communes » [PDF], Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, (consulté le )
- « Annuaire des écoles », Site de l'inspection académique de la Charente (consulté le )
- « Prieuré de Lanville », notice no PA00104411, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Catillus Carol, « Marcillac-Lanville », (consulté le )
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