Sévignacq-Meyracq
Sévignacq-Meyracq (en béarnais Sevinhac-Meirac ou Sebignac-Meyrac) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Sévignacq.
Sévignacq-Meyracq | |||||
Le village de Meyracq. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée d'Ossau | ||||
Maire Mandat |
Monique Moulat 2020-2026 |
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Code postal | 64260 | ||||
Code commune | 64522 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
530 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 06′ 51″ nord, 0° 24′ 39″ ouest | ||||
Altitude | Min. 296 m Max. 618 m |
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Superficie | 14,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Arudy (banlieue) |
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Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Sévignacq-Meyracq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 20 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Sainte-Colome (1,4 km), Arudy (1,5 km), Bescat (1,8 km), Izeste (2,6 km), Louvie-Juzon (3,0 km), Buzy (4,4 km), Castet (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Sévignacq-Meyracq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Neez, le Soust, un bras du gave d'Ossau, le ruisseau de l'Oustau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[8].
Le Neez, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Jurançon, après avoir traversé 5 communes[9].
Le Soust, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Pau, après avoir traversé 7 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 32 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23],[24]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 6] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[25],[26].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[28],[Carte 2] :
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 9] est recensée sur la commune[31],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[32].
Urbanisme
Typologie
Sévignacq-Meyracq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arudy, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[36] et 4 250 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,1 %), forêts (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), terres arables (7 %), zones urbanisées (0,2 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Bour de Sévignacq ;
- Couloumats ;
- le Grand Hameau ;
- le Hameau de Meyracq.
Toponymie
Le toponyme Sévignacq apparaît[42] sous les formes
Sevignag (1270, titres d'Ossau[43]),
Savinhacum (1286, titres de Béarn[44]),
Sebinhac (1385, censier de Béarn[45]),
Sebinach (1614, réformation de Béarn[46]),
Sanctus-Petrus de Sevignacq (1674, insinuations du diocèse d'Oloron[47]),
Sévignac (1863, dictionnaire de Paul Raymond[42]).
Le toponyme Meyracq apparaît[42] sous les formes
Mayrac (1376, montre militaire de Béarn[48]),
Sanctus-Saturninus de Meyrac (1607, insinuations du diocèse d'Oloron[47]),
Meirac (1675, réformation de Béarn[46]) et
Meyrac (1863, dictionnaire de Paul Raymond[42]).
Sévignacq est formé du nom latin Sabinius et signifie domaine de Sabinius, de même Meyracq signifie domaine de Macer[49].
Son nom béarnais est Sevinhac-Meirac[50] ou Sebignac-Meyrac[51].
Histoire
Paul Raymond[42] note que la commune de Sévignacq comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Sévignacq comptait 29 feux et dépendait du bailliage d'Ossau[42].
Meyracq était un village dépendant de Sévignacq et comptait 6 feux en 1385[42].
À la fin du XVIIe siècle, le village fut ravagé par la peste, qui fit plusieurs dizaines de victimes.
Un ermite y vécut de nombreuses années au XVIIIe siècle[réf. nécessaire].
Sévignacq et Meyracq ont fusionné en 1866.
Héraldique
Blason | D'argent aux trois fasces abaissées d’azur surmontées d’un sanglier de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de sept structures intercommunales[52] :
- l'agence publique de gestion locale ;
- la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
- le syndicat d'eau de la vallée d'Ossau ;
- le syndicat d'électrification du Bas-Ossau ;
- le syndicat de la perception d'Arudy ;
- le syndicat de regroupement pédagogique de Sainte-Colome et Sévignacq-Meyracq ;
- le syndicat intercommunal d'assainissement de Sainte-Colome.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2019, la commune comptait 530 habitants[Note 12], en diminution de 7,34 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. Sévignacq-Meyracq fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Des carrières de marbre et de granit sont toujours en activité dans la commune.
Une ancienne source thermale est actuellement exploitée.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Maisons des XVe et XVIe siècles.
- Château de Sévignacq, ou château d'Étigny (ancienne abbaye laïque) datant du début du XVIIe siècle et remanié au XIXe siècle.
Patrimoine religieux
L’église Saint-Pierre de Sévignacq date du XVIIe siècle.
Équipements
La commune possède une école primaire.
Personnalités liées à la commune
- Auguste Cazalet (1938-2013), homme politique français, membre du groupe UMP et sénateur-maire, y est né.
- Léon Gimpel (1873-1948), photographe, y est mort.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Sévignacq-Meyracq » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sévignacq-Meyracq », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Sévignacq-Meyracq », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Sévignacq-Meyracq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sévignacq-Meyracq et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sévignacq-Meyracq et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Sévignacq-Meyracq », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Sévignacq-Meyracq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Sandre, « le Neez ».
- Sandre, « le Soust ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- Titres de la vallée d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
- Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
- Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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