Miramont-de-Quercy

Miramont-de-Quercy est une commune française située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Pour les articles homonymes, voir Miramont.

Miramont-de-Quercy

Mairie de Miramont-de-Quercy.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy
Maire
Mandat
José Rivière
2020-2026
Code postal 82190
Code commune 82111
Démographie
Population
municipale
316 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 52″ nord, 1° 04′ 00″ est
Altitude 197 m
Min. 81 m
Max. 224 m
Superficie 14,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Serres Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Miramont-de-Quercy
Géolocalisation sur la carte : France
Miramont-de-Quercy

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Barguelonne, la Séoune, la Petite Barguelonne et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Miramont-de-Quercy est une commune rurale qui compte 316 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 894 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Miramontains ou Miramontaines.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Quercy et plus précisément dans le Quercy Blanc, dans la vallée de la Barguelonnette.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Barguelonne, la Séoune, la Petite Barguelonne, un bras de la Petite Barguelonne, un bras de la Petite Barguelonne, un bras de la Séoune, le ruisseau de Baronne, le ruisseau de Bordemoulis, le ruisseau de Capel, le ruisseau de Pouchênes, le ruisseau de Saint-Jean et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    La Barguelonne, d'une longueur totale de 61,1 km, prend sa source dans la commune de Lhospitalet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Golfech à Lamagistère, après avoir traversé 24 communes[4].

    La Séoune, d'une longueur totale de 64,9 km, prend sa source dans la commune de Sauzet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Sauveterre-Saint-Denis, après avoir traversé 24 communes[5].

    La Petite Barguelonne, d'une longueur totale de 35,1 km, prend sa source dans la commune de Villesèque et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Barguelonne à Montesquieu, après avoir traversé 11 communes[6].

    Réseaux hydrographique et routier de Miramont-de-Quercy.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 821 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durfort », sur la commune de Durfort-Lacapelette, mise en service en 1993[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 765,6 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 33 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[17] à 14 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19] : les « corniches de Montagudet et de Valromane » (291 ha), couvrant 3 communes du département[20], et les « coteaux de St-Nazaire, entre la Séoune et la Barguelonne (Belle Cassagne) » (1 337 ha), couvrant 4 communes du département[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Miramont-de-Quercy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,5 %), terres arables (25,3 %), forêts (9,7 %), prairies (8,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Miromonte en 1249[25][réf. non conforme].

    Miramont : « Le premier élément du nom est une forme conjuguée du verbe occitan mirar, issu du latin mirare qui signifiait « voir avec admiration, avec étonnement, admirer ». Le deuxième élément, le latin montem a donné "mont" en occitan. Ce mot désigne une petite dénivellation. Le toponyme du nom fait allusion à une « hauteur que l'on distingue de loin » et permet de prévoir les attaques en cas de danger »[25].

    Quercy : ce terme est issu du latin cardurcinum, adjectif dérivé du nom du peuple qui habitait la région à l'époque de César. Devenu Carcin en occitan transcrit en Quercy[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    septembre 1965 mars 1983 Marcel Roques    
    mars 1983 mars 2014 Alain Lacombe DVG Conseiller général du Canton de Bourg-de-Visa(2008-2015)
    mars 2014 mai 2020 Étienne Rozes    
    mai 2020 En cours José Rivière    
    Les données manquantes sont à compléter.

    En 2007, Alain Lacombe a parrainé Frédéric Nihous.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2019, la commune comptait 316 habitants[Note 7], en diminution de 7,06 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    670743630804849875852894832
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    800763753695686659616618628
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    559542521462463513507458466
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    407384334287290339338340340
    2018 2019 - - - - - - -
    317316-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 138 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 310 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 830 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,2 %10,9 %13,9 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 201 personnes, parmi lesquelles on compte 76,6 % d'actifs (62,7 % ayant un emploi et 13,9 % de chômeurs) et 23,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 49 emplois en 2018, contre 58 en 2013 et 49 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,8 %[I 10].

    Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    26 établissements[Note 10] sont implantés à Miramont-de-Quercy au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 26 entreprises implantées à Miramont-de-Quercy), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations34292317
    SAU[Note 12] (ha)754831874842

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 29 en 2000 puis à 23 en 2010[32] et enfin à 17 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[33],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 754 ha en 1988 à 842 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 50 ha[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre de Miramont-de-Quercy.

    Héraldique

    Blason
    Coupé voûté : au 1er de gueules à deux clés passées en sautoir, adextrées d'une croix cléchée, pommetée de douze pièces et vidée et senestrées d'une fleur de lys, le tout d'or, au 2d de sinople à la halle du lieu soutenue d'une jumelle ondée, le tout d'argent[36].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Miramont-de-Quercy » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Miramont-de-Quercy » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Miramont-de-Quercy » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Miramont-de-Quercy » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Miramont-de-Quercy » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Miramont-de-Quercy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « la Barguelonne »
    5. Sandre, « la Séoune »
    6. Sandre, « la Barguelonnette »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Durfort - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Miramont-de-Quercy et Durfort-Lacapelette », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Durfort - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Miramont-de-Quercy et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Miramont-de-Quercy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « corniches de Montagudet et de Valromane » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « coteaux de St-Nazaire, entre la Séoune et la Barguelonne (Belle Cassagne) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Paul Burgan, André Lafon - Toponymie du Tarn-et-Garonne: dictionnaire étymologique ; les noms de communes, des anciennes paroisses et des lieux-dits importants[réf. non conforme].
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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