Mons-Boubert

Mons-Boubert est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mons (homonymie).

Mons-Boubert

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CA de la Baie de la Somme
Maire
Mandat
Emmanuel Delahaye
2020-2026
Code postal 80210
Code commune 80556
Démographie
Gentilé Mons-Boubertois
Population
municipale
552 hab. (2019 )
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 47″ nord, 1° 39′ 43″ est
Altitude Min. 5 m
Max. 71 m
Superficie 9,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-2
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mons-Boubert
Géolocalisation sur la carte : France
Mons-Boubert
Géolocalisation sur la carte : Somme
Mons-Boubert
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Mons-Boubert
Liens
Site web https://www.monsboubert.fr/

    Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

    Géographie

    Entrée du village.

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Boismont Saigneville
    Arrest N
    O    Mons-Boubert    E
    S
    Franleu Quesnoy-le-Montant

    Géologie

    Située sur l'extrémité occidentale du plateau picard s'étendant au Vimeu, la commune repose sur un substratum rocheux composé de craie. Généralement, les formations superficielles rencontrées correspondent à des limons de plateau et des limons de pente qui résultent du glissement des précédents. Aux bois de Prêle et de Bretel subsistent des lambeaux alluviaux déposés par la Somme.

    À la hauteur de Mons-Boubert, une profonde vallée affluente de la Somme - anciennement appelée la Dame Rise - correspond à une cassure du plateau[1].

    Hydrographie

    Les infiltrations d'eaux de pluie sont piégées dans une craie reposant sur un important niveau argileux (argiles du Gaux, d'âge albien…). La quasi-totalité des eaux potables du village provient de cette nappe. Les eaux souterraines et de surface empruntent majoritairement la même direction : du haut du village vers la rive gauche de la Somme[1].

    Quand il pleut, la rue principale collecte toutes les eaux de ruissellement. Les jours d'orage ou de fonte de neige, une véritable rivière s'est souvent formée[a 1].

    Transports routiers

    La localité est desservie par la ligne d'autocars no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Mons-Boubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,3 %), prairies (27,2 %), zones urbanisées (8,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Boubert est attesté sous les formes Bobert en 1166, Boberc en 1176, Bobers en 1187, Bouberc de 1209, Bouberch régulièrement de 1220 à 1616, ensuite Boubert régulièrement de 1757 à 1836, Boubers les Monts en 1766, Boubers en 1867[10].

    Mons est mentionné pour la première fois en 1121, on trouve Mons-Bourbet dès 1284, Montes au XIIIe siècle, Mons in Vimiaco en 1301, Mons en Vimeux en 1421, Mons en Beaubert en 1741, Mons en Boubert en 1756, Monts près Boubert en 1766, Mont en 1778, Montboubert en 1824, Mons-Boubers en 1850[11].

    L'association de Mons et de Boubers est ancienne, on la relève dès 1284. Mons ne représente pas le nominatif singulier du latin, c'est-à-dire mons, mais bien l'ancien français mons avec le [s] du pluriel ou du locatif, à savoir monts. En effet le substantif sujet mont en ancien français n'est pas issu directement du latin mons, mais de son accusatif montem devenu MONTE en latin populaire. Le pluriel est encore écrit mons au XIIIe siècle[12].

    Étant donné la régularité des formes les plus anciennes en -berch, il s'agit de l'appellatif germanique berg / berc « élévation, colline, mont » dont mons représente la transcription romane. Le [c] final de berc s'est régulièrement amuï comme dans clerc qui cependant bénéficie d'une orthographe étymologique. Il s'agit donc partiellement d'une tautologie.

    Il existe au moins deux autres Boubers plus au nord, dans le Pas-de-Calais, à savoir Boubers-lès-Hesmond (Budberz et Buberch 1079) et Boubers-sur-Canche (Budberz et Bobert en 1079, Buberch en 1129) qui disposent donc de formes plus anciennes dans lesquelles on identifie un élément Bud- adjectif ou appellatif germanique à valeur obscure.

    Histoire

    Des vestiges d'une villa gallo-romaine ont été découvertes en 1830 sur les territoires de Mons-Boubert, Brétel et Drancourt[13].

    La commune de Mons-Boubert est issue du fief de Boubers-en-Vimeux, qui passe dans la famille d'Abbeville par le mariage d'Ide de Boubert ou Bouberc(h) (1200-1232) avec Guillaume d'Abbeville, maison d'Aumale.

    Les Bouberch étaient d'autre part seigneurs de Tunc et de Bernâtre, près Doullens, ce dernier fief leur étant venu en 1360 par le mariage de Mahaut de Raineval, dame de Bernâtre, avec Jean de Boubers, seigneur de La Motte-les-Auxy. Aussi les Boubers furent-ils souvent appelés vicomtes de Bernâtre.

    Parmi les illustrations de cette famille, on cite Jean, dit le cardinal d'Abbeville, et Bernard d'Abbeville (1259-1278), évêque d'Amiens qui fit achever la cathédrale d'Amiens.

    Le , pendant la guerre de Cent Ans a lieu la bataille de Mons-en-Vimeu : un affrontement entre les troupes de Philippe de Bourgogne et celles de Jean de Luxembourg se termine à l'avantage des Bourguignons. Les sept cents morts sont enterrés sur le territoire de Saigneville, au lieudit les Fosses[a 2].

    Le , messire de Boubers, seigneur de Bernatre et Mianney reçoit sa maintenance, preuves faites d'après Antoine de Boubers (1529)[14].

    Au terme de la guerre franco-allemande de 1870, le village est occupé par les troupes prussiennes du 16 au [a 3].

    Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de France, deux soldats anglais, tués dans leur tank en 1940, rue de Quesnoy, lors de l'invasion allemande, reposent dans le cimetière[a 4].

    Le village est libéré le par des soldats canadiens, un petit monument rappelle l'évènement. Deux Allemands sont faits prisonniers au moulin de Boubert[a 5].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Valery-sur-Somme[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Mons+Boubert est intégrée au canton d'Abbeville-2.

    Intercommunalité

    Mons-Boubert était membre de la communauté de communes Baie de Somme Sud, créée fin 1997.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de la Baie de Somme dont Mons-Boubert est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[a 6]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945   Eugène Pénel    
    1947   Adolphe Bernard    
    1953   Albert Mansion    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1989 Pierre Marcassin PCF  
    1989   Josette Leignez    
    mars 2001 En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Emmanuel Delahaye UMP Vice-président de la CC Baie de Somme Sud (2014 → 2016)
    Membre du bureau de la CA Baie de Somme (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[16],[17]

    Distinctions et labels

    Après le passage du jury régional évaluant les villes et villages fleuris, Mons-Boubert a obtenu une troisième fleur au classement révélé le à Amiens-Mégacité[18].

    En , quatre fleurs récompensent les efforts locaux en faveur du fleurissement[19],[20].

    Population et société

    Vue du village depuis les hauteurs de l'église.

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2019, la commune comptait 552 habitants[Note 3], en augmentation de 4,35 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1711 2101 1501 2861 2801 2841 2971 2961 307
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3131 3821 4151 3591 3191 2401 1581 0971 046
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    954910845760730683668642636
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    625567519508506483521528558
    2019 - - - - - - - -
    552--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,3 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 285 hommes pour 271 femmes, soit un taux de 51,26 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    1,5 
    8,7 
    75-89 ans
    9,1 
    21,1 
    60-74 ans
    17,3 
    19,0 
    45-59 ans
    19,8 
    17,9 
    30-44 ans
    17,3 
    18,4 
    15-29 ans
    16,4 
    14,3 
    0-14 ans
    18,6 
    Pyramide des âges du département de la Somme en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    6,3 
    75-89 ans
    9,2 
    16,6 
    60-74 ans
    17,4 
    20,1 
    45-59 ans
    19,3 
    18,3 
    30-44 ans
    17,7 
    19,4 
    15-29 ans
    18 
    18,7 
    0-14 ans
    16,7 

    Enseignement

    Jusqu'en , les classes primaires sont gérées au sein du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) comprenant également l'école de Quesnoy-le-Montant.

    En 2019, un nouveau RPI est créé, associant les communes de Boismont, Franleu, Mons-Boubert et Saigneville. À la rentrée de septembre, deux classes de maternelle seront à Mons-Boubert, les autres communes accueilleront une classe élémentaire. La communauté d'agglomération Baie de Somme attend 110 enfants à la rentrée de septembre. Un service de repas pour le midi sera mis en place dans chaque collectivité[26].

    Le collège de la Baie-de-Somme, à Saint-Valery, assure la suite de la scolarité qui peut se poursuivre au lycée du Vimeu à Friville-Escarbotin (labellisé lycée des métiers de l’industrie et du tertiaire) ou au lycée Boucher-de-Perthes à Abbeville.

    L'université de Picardie Jules-Verne (UPJV) assure l'enseignement supérieur.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    De l'origine, seule subsiste la fenêtre absidale de l'église du XIVe siècle. Un agrandissement a été réalisé en 1765 : ajout d'une travée de chaque côté[1].
    • Le moulin de pierre de Mons (en réalité en brique) : il a cessé de tourner à la mort du dernier meunier Louis Joseph Testu, le 9 août 1923. Ses murs font quatre pieds d'épaisseur (1,30 m). En 1895, Achille Jean-Baptiste Lejeune, le grand-père du député-maire d'Abbeville Max Lejeune, était aux commandes du moulin. Le premier meunier relevé sur les registres de catholicité, François Pénel, est décédé en 1658[a 7].
    • Du moulin de Boubert, il ne reste qu'une bosse qui marque son emplacement. Identique à celui de Saint-Maxent (moulin en bois, à pivot), il a fonctionné jusqu'en 1914[a 8].
    • Monument 1914-1918 : en contrebas de l'église. Cet hommage aux morts de la grande guerre donna lieu à d'âpres débats à propos de la pertinence d'une croix chrétienne sur socle[1]. Les victimes de la Deuxième Guerre mondiale ont été associées à celle de la précédente. Quarante-trois noms rappellent leur mémoire.
    • La motte féodale est encore bien marquée avec une partie de son fossé. Le château aurait été détruit au XVe siècle[1],[31].
    • Le château du bois de Boubert, construit par le sous-préfet Manessier[a 9] d'Abbeville durant la Deuxième République et le Second Empire, date de 1867[1].
    • L'ancien cimetière a été supprimé en 1946. Originalité locale : seize cimetières privés ont été installés, par nécessité, à la fin du XIXe siècle[1].

    Personnalités liées à la commune

    Stèle Deboubert.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert et France Devismes, Mons-Boubert, mon village, préface de Roger Agache, édit. Vague verte, Woignarue, 1996
    • Robert Devismes, Les Méthodes traditionnelles de la construction rurale à Mons-Boubert, 1968
    • G. Baron, Le Vimeu, une étude de pays, édit. C.R.D.P., Amiens, 1986

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Mons-Boubert, découverte d'un village picard, une vallée du Vimeu, APEV (Association pour la promotion de l'environnement dans le Vimeu), J. Delépine, S. Lefranc, A. Freté, J. Danel, B. Joly, Imp. I&RG, Amiens, p. 4 et 5.
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. M. J. Garnier, « Dictionnaire topographique du département de la Somme », p. 143 - 144 in Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, Volume 1
    11. « Lithographie : Plan figuratif d'un établissement romain appelé les Montoirs, situé sur les territoires de Mons-Boubert, Brétel et Drancourt. Offert à M. Dusevel par F. César Roussel, topographe. Arrondissement d'Abbeville : canton de St Valery : fouilles de 1830 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    12. Source : famille Boubers racineshistoire.free.fr
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « À Mons-Boubert, Emmanuel Delahaye veut poursuivre le projet de « ruralité moderne » : À l'occasion de la cérémonie des vœux le 18 janvier 2020, le maire de Mons-Boubert (Somme) Emmanuel Delahaye, a annoncé sa candidature aux prochaines élections municipales », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Celui qui fête ses 19 ans à la tête de la municipalité ne s’est pas étendu sur les résultats de son dernier mandat, campagne électorale oblige, mais il a tout de même profité de ce rendez-vous annuel pour faire le point sur les évolutions du village ces dernières années. Il a abordé, entre autres, le classement 4 fleurs au concours des villes & villages fleuris en seulement trois ans, ou la labellisation « Grand Site de France » avec la baie de Somme ».
    15. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    16. Liste des localités au palmarès.
    17. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 28 octobre 2016.
    18. C. D., « Le jury viste le bourg aux 4 fleurs : Mercredi 10 juillet, le jury national du concours « Villes et Villages Fleuris » s'est rendu à Mons-Bouber. L'occasion de faire le point sur les évolutions du bourg depuis 2016, année d'obtention de sa quatrième fleur. Retour », L'Éclaireur du Vimeu, no 3968, , p. 31.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mons-Boubert (80556) », (consulté le ).
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
    24. Mathieu Hérault, « Un nouveau regroupement d'écoles a été créé. », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
    25. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Mons-Boubert, d'après nature, 27 juin 1850 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    26. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Mons-Boubert, d'après nature, 18 avril 1859 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    27. L. Gillard, « Dessin : Église de Mons-Boubert : canton de Saint-Valery-sur-Somme », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
    28. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Chaire dans l'église de Mons-Boubert, d'après nature, 18 avril 1859 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    29. L. Gillard, « Dessin : Emplacement de l'ancien château de Mons-Boubert : canton de Saint-Valery-sur-Somme », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    30. « M. Simon : cultivateur et Conseiller en l'Election de Neufchatel : né à Mons Boubert en Picardie le 11 fevrier 1757 : Député du Baillage de Caux a l'Assemblée Nationale de 1789. - Turlure, del. - Courbe, sculp. - A Paris, chez le Sr Dejabin Editeur de cette collection, Place du Carrousel, n°4 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    31. « Chronique locale », L'industrie du Nord et du Pas-de-Calais, no 14, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.

    Ouvrages

    • Robert Devismes et France Devismes, Mons-Boubert, mon village, La Vague verte, , 189 p. (ISBN 2-908227-51-7, ISSN 1254-7360)
    1. p. 187.
    2. p. 17.
    3. p. 134.
    4. p. 118.
    5. p. 163.
    6. p. 67.
    7. p. 13.
    8. p. 179.
    9. p. 171.
    10. p. 117.
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