Monbazillac

Monbazillac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour l’article homonyme, voir Monbazillac (AOC).

Monbazillac

Le château de Monbazillac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Pascal Prévot
2020-2026
Code postal 24240
Code commune 24274
Démographie
Gentilé Monbazillacois
Population
municipale
804 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 42″ nord, 0° 29′ 33″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 188 m
Superficie 19,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Monbazillac
Géolocalisation sur la carte : France
Monbazillac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Monbazillac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Monbazillac

    Elle a donné son nom au vin blanc liquoreux homonyme.

    Géographie

    Généralités


    Située dans le Périgord pourpre et dans l'aire urbaine de Bergerac, à dix kilomètres au sud de Bergerac, la commune de Monbazillac est implantée sur les coteaux qui dominent la vallée de la Dordogne.

    Connue pour son château du XVIe siècle classé monument historique, elle est surtout renommée pour son vin blanc liquoreux.

    Communes limitrophes

    Carte de Monbazillac et des communes avoisinantes.

    Monbazillac est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 300 mètres de celui de Singleyrac.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Monbazillac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant)  (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Monbazillac.

    Relief et paysages

    Les vignes au sud de l'ancien moulin de Malfourat.

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 46 m et 188 m[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,58 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,5 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Monbazillac.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Gardonnette, le ruisseau de Lespinassat, le ruisseau des Giroux et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[16],[17]. Elle sert de limite naturelle à la commune au sud sur trois kilomètres, face à Ribagnac.

    Son affluent le ruisseau des Giroux borde la commune au sud-ouest sur deux kilomètres et demi, face à Rouffignac-de-Sigoulès.

    Au nord-est, le ruisseau de Lespinassat, autre affluent de la Dordogne, prend sa source en limite de Colombier et leur sert de limite territoriale sur plus d'un kilomètre et demi.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 863 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[26] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Monbazillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (76,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), forêts (9,5 %), terres arables (2,3 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Mont Basalhac[39].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[40].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Monbazillac a été rattachée au canton de Ribagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Cunéges (devenu canton de Sigoulès en 1817) dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Monbazillac intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

    Liste des maires

    La mairie en 2017.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989[43] mai 2020 Jean-Pierre Peyrebrune RPR, puis SE[44] Retraité
    mai 2020 En cours Pascal Prévot Sans étiquette Chef d'entreprise

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Monbazillac relève[45] :

    Jumelages

    Démographie

    Les habitants de Monbazillac sont appelés les Monbazillacois[47].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

    En 2019, la commune comptait 804 habitants[Note 9], en diminution de 11,26 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8421 1121 0981 1321 2041 1001 2011 1561 141
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8259511 1051 1831 0471 020917887844
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    873939949860896905981961959
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    907846789831902899958957909
    2017 2019 - - - - - - -
    829804-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 401 personnes, soit 46,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (43) a augmenté par rapport à 2010 (41) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 121 établissements[52], dont cinquante-huit au niveau des commerces, transports ou services, quarante-six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans la construction, et quatre dans l'industrie[53].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Au sud, la Gardonnette borde le territoire communal sur plusieurs kilomètres. En aval de la route départementale 107, le cours d'eau et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où pousse une plante rare, la fritillaire pintade, (Fritillaria meleagris) et fréquentée par trois espèces de chauves-souris : le Grand murin (Myotis myotis), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[56],[57].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Monbazillac se blasonnent ainsi :

    De gueules aux deux tours d'argent accompagnées en chef d'une fleur de lys d'or.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Monbazillac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Monbazillac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Monbazillac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Monbazillac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Monbazillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Gardonnette-Dordogne au nord de Monteton » sur Géoportail (consulté le 17 août 2022)..
    17. Sandre, « le Gardonnette »
    18. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Orthodromie entre Monbazillac et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Monbazillac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    39. Le nom occitan des communes du Périgord - Mont Basalhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    40. (en) Sols 3013-3014: It's Freezing Cold…, NASA Science, Mars Exploration Program, 8 février 2021, consulté le 8 février 2021.
    41. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 6 septembre 2020.
    42. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
    43. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 22 août 2014.
    44. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
    45. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    46. « Un jumelage très actif », Sud Ouest édition Périgueux, 23 janvier 2019, p. 23.
    47. Nom des habitants de Monbazillac sur habitants.fr, consulté le 17 décembre 2012.
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    51. Dossier complet - Commune de Monbazillac (24274) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    52. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    53. Dossier complet - Commune de Monbazillac (24274) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    54. « Classement du château de Monbazillac », notice no PA00082651, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 12 décembre 2011.
    55. « Inscription du manoir de Fonvieille », notice no PA00082652, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 12 décembre 2011.
    56. [PDF] Vallée de la Gardonnette, INPN, consulté le 25 décembre 2018.
    57. Carte de la ZNIEFF 720014276, INPN, consulté le 24 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Dordogne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.