Vacognes-Neuilly

Vacognes-Neuilly est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 648 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Neuilly.

Vacognes-Neuilly

Église Saint-Sébastien et mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon
Maire
Mandat
Anne Mancel
2020-2026
Code postal 14210
Code commune 14721
Démographie
Population
municipale
648 hab. (2019 )
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 29″ nord, 0° 31′ 30″ ouest
Altitude Min. 63 m
Max. 157 m
Superficie 7,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évrecy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Vacognes-Neuilly
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Vacognes-Neuilly
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Vacognes-Neuilly
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Vacognes-Neuilly

    Géographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La petite rivière de l'Ajon passe par Neuilly-le-Malherbe et se jette dans l'Odon au Locheur.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 811 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges D », sur la commune de Seulline, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 007,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 14 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Vacognes-Neuilly est une commune rurale[Note 7],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), prairies (20 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom Vacognes-Neuilly vient des communes de Vacognes et de Neuilly-le-Malherbe associées en 1972 dans le cadre de la loi Marcellin.

    Le nom de la localité de Vacognes est attesté sous la forme Vasconia vers 1350[23],[24]. Les Vascons ont donné leur nom à ce toponyme.

    Neuilly-le-Malherbe vient du mot Norr (qu'on écrit Noue) qui signifie « lieu humide et gras » et de l'ancienne famille de Malherbe-Saint-Agnan qui en a possédé la seigneurie[25]. Il est attesté sous la forme Nully en 1328[26], Nuylly le Malherbe en 1453[24] et Nully le Malherbe en 1460[27]. Elle a porté le nom de Neuilly-sur-Odon[28] au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale.

    Histoire

    Au XIIIe siècle Jean Malherbe, de la famille Malherbe-Saint-Agnan, est seigneur de Neuilly-le-Malherbe[29]. En 1312 la terre de Neuilly-le-Malherbe est confisquée à Jean de Malherbe pour forfaiture et donnée à Pierre le Paumier, apothicaire du Roi[29].

    Au XVe siècle, Jean d'Arclais est seigneur de Neuilly-le-Malherbe et épouse le Marguerite Costard de Cambes. Leur fils Jean épouse Jeanne de Vauville en 1539. Leur fils Nicolas épouse Florimonde de Sainte-Marie en 1565. Leur fils Jean épouse Catherine de Vernay en 1597[30].

    Tombe d'Isabeau de Fontaines.

    Au XVIIe siècle et XVIIIe siècle, plusieurs membres de la famille de Fontaines sont seigneurs de Neuilly :

    • N. de Fontaines, dont la famille est anoblie en 1628[25] ;
    • Simeon ou Simon de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1647[25] ;
    • Claude de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1684[25] ; Guy de Fontaines, chanoine de Bayeux, supérieur général des Eudistes, mort à Bayeux le [25],[31] ;
    • Michel de Fontaines.

    On trouve la tombe d'Isabeau de Fontaines (avant 1590- ), mariée en 1605 à Siméon le Coustellier, et petite-fille de Catherine Malherbe[32] dans l'église Saint-Martin de Vacognes-Neuilly.

    Autre famille notable, les Vassel, famille qui siècle possédait des biens à Neuilly-le-Malherbe et a notamment intenté des procès aux curés Jean de Surville en 1722 et Antoine Louvet en 1733. Dans cette famille on trouve :

    • Nicolas Vassel. annobli en 1598. Né à Neuilly-le-Malherbe vers 1542 et mort entre 1614 et 1622[33].
    • Pierre Vassel, écuyer, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, chevalier de l'ordre du Saint Sépulchre de Jérusalem, marié à Florence du Thon le [34]. Il est fils aîné de Nicolas Vassel. En 1623 il possède le fief Baussain à Neuilly, ayant appartenu à Pierre Fontaine, écuyer, avocat au bailliage et siège présidial de Caen.
    • Guillaume Vassel, écuyer, marié à Madeline de Villaines en 1657, mort à Paris en 1678. Il est fils de Pierre Vassel[34].

    Dans la 2e moitié du XVIIIe siècle, René-Henri de Brunville est seigneur de Neuilly-le-Malherbe.

    Du début du second Empire jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale des carrières de galets et de sables sont exploitées à Neuilly-le-Malherbe[35].

    Au début du XXe siècle, l'abbé Eugène Marie (1854-1937) recueille des enfants abandonnés, comme le font ensuite ses successeurs les abbés Robine, Noë et Leroy[35]. En 1961 une association Les Amis de Jean Bosco est créée, avec comme objectif de reconvertir l'orphelinat en institution spécialisée et en 2012 l'association représentait 17 établissements et services, 550 salariés[36]. L'Institut Pédagogique des Amis de Jean Bosco, situé derrière l'église de Neuilly, ferme dans la décennie 2010.

    Dans le cadre du plan Raymond Marcellin visant à réduire le nombre de communes, Vacognes (109 habitants en 1968) absorbe le [37] Neuilly-le-Malherbe (137 habitants)[38],[28], au nord de son territoire, qui conserve le statut de commune associée.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? Henri Boutrois    
    Jacques Benoist DVD  
    mai 2020 Michel Bannier[39] SE  
    mai 2020[40] En cours Anne Mancel SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[40]. L'un des adjoints est maire délégué de Neuilly-le-Malherbe.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

    En 2019, la commune comptait 648 habitants[Note 9], en augmentation de 24,86 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Vacognes a compté jusqu'à 253 habitants en 1831, Neuilly-le-Malherbe atteignant son maximum démographique la même année avec 261 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    216235228245253238222205200
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    170185178148157144150145133
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    971211141079710410912196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    106109273332414412476510617
    2019 - - - - - - - -
    648--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un projet d'aménagement d'un champ éolien est actuellement en cours au sein de la commune. La commune entend ainsi profiter de l'essor de l'éolien pour assurer sa croissance et contribuer à atteindre les objectifs français en termes d'énergies renouvelables.

    Lieux et monuments

    Dalle funéraire du XVIe siècle située dans la nef de l'église Saint-Martin.
    • Château du Moustier, dont le site est classé depuis le [44].
    • Église Saint-Sébastien de Vacognes, médiévale.
    • Église Saint-Martin de Neuilly-le-Malherbe, médiévale. D'après Arcisse de Caumont, la nef (XIIIe siècle ?[45]) est plus ancienne que le chœur (période ogivale), lui-même plus ancien que le clocher en bâtière (XVIIIe siècle). La porte principale qui se trouvait dans le mur latéral sud a été refaite en 1783. Entre cette porte et la tour a été placée dans une niche une sculpture en pierre polychrome représentant la charité de saint Martin (XVIe siècle)[46]. L'église est remaniée en néo-gothique à la fin du Second Empire et au début de la IIIe République et le clocher est restauré en 1885[35]. Dans la nef, trois dalles funéraires : dalle funéraire non identifiée (datée 1545), d'Isabeau de Fontaines (1628) et d'Antoine Louvet (1748)[47]. L'église abrite des statues dont celles de saint Charles Borromée du début du XVIIe siècle[48],[49],[50],[26],[Note 10] (ou plutôt saint Célerin du XVe ou XVIe ?[51]) mais aussi des statues du XXe siècle comme celles de Thérèse de Lisieux et du curé d'Ars. Vitraux signés J. Pelletier (1958).
    • Ferme d'Auvers, construite vers 1600[35].
    • Grange aux dîmes du XVIIe siècle à côté de l'église Saint-Martin, détruite après la Seconde Guerre mondiale[35].
    • Croix de chemin : croix route d'Évrecy, érigée en 1861, réédifiée en 1893, brisée en 2017 ; croix des Baudes, route de Tournay, sans date ; croix des Bois, chemin des Londes, sans date.
    • Lavoir de Neuilly construit en 1903 et restauré en 1988[35].
    • Château du XVIIe siècle, acquis par François Louis, comte de Saint-Pol (1780-1846)[52]. Ce château, endommagé pendant les bombardements de Normandie de , n'existe plus[35] : ne subsistent au XXIe siècle que ses dépendances.
    • Château classique avec chapelle néogothique, construits par la famille de Saint-Pol au Second Empire. De 1897 à 1899, Lazare Cernuski, connu pour son faux témoignage contre Alfred Dreyfus, y est hébergé[53].

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Anne, Brève monographie de Vacognes-Neuilly, Vacognes-Neuilly, Jean Anne, , 23 p.
    • Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d.
    • René Dubourg, « Quelques pages d'histoire locale : les Vassel, seigneurs de Neuilly-le-Malherbe », Annuaire des cinq départements de la Normandie, , p. 185-286 (lire en ligne)
    • Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Calvados. Archives civiles. Série E supplément, Caen, Charles Vallin, (lire en ligne), p. 86-89
      Actes de baptêmes, mariages et sépultures pages 86 à 89 pour Neuilly-le-Malherbe et pages 146 à 152 pour Vacognes.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. L'ouvrage Les trésors d'art religieux du Calvados en 1940 est le premier à l'identifier comme représentant saint Charles Borromée et à la dater du début du XVIIe siècle tout en remarquant qu' «  on la croirait du XVIe siècle, si la canonisation de saint-Charles Borromée ne datait de 1605. Ce serait donc un de ses premières statues ». L'ouvrage précise aussi que d'après l'abbé Marie cette statue aurait été trouvée au XIXe siècle, enterrée dans le cimetière. L'hypothèse y est émise que cette statue aurait fait partie d'un autel détruit, d'autant qu'il se trouvait « à Caen, au presbytère Saint-Julien, une statue, des mêmes dimensions, de saint Martin, provenue de Neuilly-le-Malherbe, et hospitalisée par M. Le chanoine de Saint-Pol  ». La statue est exposée en 1957 pour l'exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie. Cette identification et datation sont reprises dans le catalogue publié dans la revue Art de Basse-Normandie en 1957 puis répétées. L'hypothèse émise dans la brochure éditée par la communauté de communes d'une représentation de saint Célerin est plus en accord avec le style Renaissance de la statue.

    Références

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    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    49. Jean Seguin, Saints guérisseurs, saints imaginaires, dévotions populaires... : en Basse-Normandie et Haute-Bretagne, Paris, Librairie Guénégaud, , 256 p. (lire en ligne), p. 156
    50. « Exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie Église Saint-Nicolas de Caen Été 1957 », Art de Basse-Normandie, no 6, , p. 29
    51. Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d., p. 31
    52. « Généalogie de la famille de Saint Pol - 9 », sur pinsonnais.free.fr (consulté le )
    53. Ministère de la Justice, Enquête de la Chambre criminelle : Affaire Dreyfus : 2e révision. Tome 2, Paris, Imprimerie nationale, , 511-[19] (lire en ligne), p. 107

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