Péguilhan
Péguilhan (Peguilhan en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Cet article concerne la ville française. Pour les autres significations, voir Péguilhan (homonymie).
Péguilhan | |||||
L'église. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges | ||||
Maire Mandat |
Céline Laurenties-Barrère 2020-2026 |
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Code postal | 31350 | ||||
Code commune | 31412 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Péguilhanais | ||||
Population municipale |
267 hab. (2019) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 56″ nord, 0° 42′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 218 m Max. 345 m |
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Superficie | 23,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Gaudens | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | peguilhan.fr | ||||
C'est depuis le une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée[1].
Péguilhan est une commune rurale qui compte 267 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Péguilhanais ou Péguilhanaises.
Géographie
Commune située dans le Comminges à 35 km au Nord de Saint-Gaudens. C'est une commune limitrophe avec le département du Gers par la Gimone.
Communes limitrophes
Depuis 2017, la commune touche Saint-Blancard à la suite de l'absorption de Lunax.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Gimone, la Gesse, le ruisseau de Larjo, le ruisseau de Barran, un bras de la Gesse, le ruisseau de Biouent, le ruisseau de Couas, le ruisseau de Gouarast, le ruisseau de Naudin, le ruisseau des Baraques, le ruisseau des Carretès, le ruisseau de Soulagnet, le ruisseau des Pevrères, le ruisseau des Picharottes, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 31 km de longueur totale[4],[5].
La Gimone, d'une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[6].
La Gesse, d'une longueur totale de 52,1 km, prend sa source dans la commune d'Arné (65) et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Save à Espaon (32), après avoir traversé 21 communes[7].
Le ruisseau de Larjo, d'une longueur totale de 14,8 km, prend sa source dans la commune de Mondilhan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Gesse à Molas, après avoir traversé 9 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[14] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, dans le département du Gers, mise en service en 1985 et à 38 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[18] à 13,5 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Toponymie
Péguilhan vient de Puy Guilhem, c'est-à-dire : "Puy Guillaume".
Histoire
Des vestiges romains attestent un habitat de cette époque hypothétiquement du début de l'ère chrétienne.
Le village de Péguilhan fut au Moyen Âge la première baronnie de Comminges et plus tard un comté.
Le premier seigneur connu de Péguilhan est Astorg de Péguilhan né vers 1125. La branche initiale de ces premiers seigneurs de Péguilhan s'est éteinte au début du XIIIe siècle. À cette époque, la terre de Péguilhan était possédée en indivision par le comte de Comminges et par les seigneurs de Montpezat et de Coarraze.
Lors de son mariage en 1380 avec Belle de Cédons, c'est Bernard de Coarraze - également co-seigneur d'Encausse - qui est cité comme seigneur de Péguilhan. Son fils Raymond-Garcie de Coarraze meurt avant lui.
C'est la fille de Raymond-Garcie de Coarraze - Jeanne de Coarraze - qui transmet en 1420 par contrat la terre de Péguilhan à son mari Aymery V de Comminges. Il est vraisemblable qu'il s'agit de la dot de Jeanne de Coarraze.
C'est un descendant d'Aymery V de Comminges - Roger de Comminges - qui fit ériger en 1613 la terre de Péguilhan en comté par lettres patentes.
La famille de Comminges-Péguilhan est une des cinq grandes familles françaises qui - dit-on - pourraient prétendre au trône de France, si leur filiation ne comportait pas de manques[réf. nécessaire]. Cette illustre famille se distingua au cours des croisades. Ses racines remontent au IXe ou Xe siècle
Avant la Révolution, le village actuel de Saint-Ferréol faisait partie de Péguilhan. C'est pour cela qu'une partie de la population vivant aujourd'hui en Péguilhan, au quartier des Lurines, est administrativement de Péguilhan mais toujours inhumée à Saint-Ferréol.
C'est depuis le une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée[1].
Chapelle Sainte-Germaine
C'est dès l'origine sainte Camellie, qui imprime au quartier son nom de Camelle. La Révolution française la fit détruire presque entièrement et la renomma Notre-Dame-de-la-Gimone. Ce fut vers 1860 que sa reconstruction fut acquise dans l'élan conjugué de la canonisation de sainte Germaine de Pibrac, et fut définitivement dédiée et connue en Sainte Germaine. Elle est ouverte au culte et des cérémonies y sont célébrées à la demande.
Politique et administration
Le la commune a fusionné avec Lunax[1].
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Péguilhan (siège) | 31412 | CC Cœur et Coteaux du Comminges | 23,58 | 218 (2014) | 9,2
|
Lunax | 31307 | CC du Boulonnais | 5,10 | 66 (2014) | 13 |
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Boulonnais et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Péguilhan faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).
Liste des maires
population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2019, la commune comptait 267 habitants[Note 5].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27],[Note 6].
En 2014, la commune comptait 218 habitants, en diminution de −12,45 % par rapport à 2009 (Haute-Garonne : 6,59 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
selon la population municipale des années : | 1968[30] | 1975[30] | 1982[30] | 1990[30] | 1999[30] | 2006[31] | 2009[32] | 2013[33] |
Rang de la commune dans le département | 173 | 228 | 271 | 310 | 305 | 360 | 344 | 361 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Les archives communales attestent que la population de Péguilhan, au début du XIXe siècle dépassait les 800 habitants. On note, pour cette période, quelques cas d'émigration vers l'Espagne ou l'Amérique du Sud. source = INSEE[34].
Économie
Elle est essentiellement rurale. L'agriculture et l'élevage constituent un fort potentiel d'activité pour de jeunes agriculteurs qui maintiennent des exploitations ancestrales, nécessairement mécanisées pour être compétitives. Cultures céréalières, pâturages, élevages bovins, ovin. De nouvelles orientations attestent d'un engagement vers des modes de production biologiques. La volonté municipale soutenue par la population a permis de créer une zone artisanale au fort potentiel de salariés. L'habitat ancien qui avait été abandonné, fut peu à peu acquis par de nouveaux venus du nord de l'Europe. Ce regain de population et de cultures différentes revitalise le pays et fait naitre aujourd'hui des projets de constructions nouvelles. C'est la vocation du PLU - Plan Local d'Urbanisme - en cours d'élaboration. Grâce au partage consenti entre agriculture, petites industries et artisanat, s'insère la zone artisanale géographiquement à mi-chemin entre Toulouse et Tarbes, deux grands pôles économiques de Midi-Pyrénées. Diverses activités y ont été créées, à savoir :
- Transports Barrère,
- Garage réparations automobiles,
- Station de lavage,
- Centrale à béton,
- Entreprise S.A.T.O.B. spécialisée dans le concept de maisons et structures à ossatures bois,
- CUMA des Coteaux, Silos UAC.(antenne de Péguilhan)
Enseignement
Péguilhan fait partie de l'académie de Toulouse.
Manifestations culturelles et festivités
Sur le site de la chapelle Sain- Germaine, l'association "CAMEL'ARTS" génère, sur ce lieu bucolique, d'importantes activités culturelles et artistiques (renseignements à la mairie). Les mois de juillet et août, tous les week-ends, les amateurs d'arts, (peinture, sculpture, décoration et autres) tout comme ceux qui aiment la musique et le chant, viennent proposer leurs talents et savoir-faire. C'est là le cadre d'activités culturelles estivales canton en juillet et août, tous les week-ends.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Au nord du village se dresse le château de Bonrepos XIVe siècle, ayant appartenu à l'ancienne famille de Saint Pastou. L'antique demeure est aujourd'hui restaurée par son nouveau propriétaire ;(privé).
Au centre du bourg est un autre château du XVIIIe siècle avoisinant de l'église, dit le château de Villeneuve (privé). fut la résidence des Haget et puis celle des de Villeneuve. trois membres de cette famille furent maires de Péguilhan. Pons de Villeneuve fut également préfet de la Corrèze et des Hautes-Pyrénées.
- L'Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge de Péguilhan fut remaniée au XIXe siècle. La voûte à croisées d'ogives est entièrement décorée sur le thème de la feuille d'acanthe sur fond bleu marial. Cette commande de la fabrique fut, très probablement exécutée par les frères Pedoya, spécialistes de ce style que l'on retrouve dans bien d'autres églises de la région.
- Fonts baptismaux en pierre (classés Monument historique décoré de figures humaines et animalières curieuses. La grande cuve, à huit pans coupés, est posée sur le socle d'un autel votif romain trouvé dans le village voisin. Les trois personnages sculptés figurent la famille.
- Fresques modernes dans le chœur, réalisées en 1951[Note 7]. Vierge en pied peinte par Jacques Fauché. L'église est dédiée à la Nativité de la Vierge Marie, et c'est en cela que la fête patronale du village est toujours fixée au premier dimanche de septembre. Autre peinture latérale dans le chœur représentant l'Arbre de Jessé en son entier, fresque exceptionnelle dans ses dimensions et par l'exhaustivité du récit biblique, exécutée par Pierre Igon, Jacques Fauché et Pierre Saint-Paul[Note 8]. Ils sont tous trois fraichement sortis des Beaux Arts de Toulouse, par la suite Jacques Fauché y sera professeur puis directeur. Ces trois peintres, de l'école toulousaine des années 50, ont réalisé à Péguilhan leurs plus grandes fresques[Note 9].
- Église Sainte-Marguerite de Lunax.
- Chapelle castrale avec vitraux armoriés du XIXe siècle dont celui de la famille de Villeneuve dont le château est contigu. Un autre vitrail nous présente le blason du pape Pie IX.
- Chapelle Sainte-Germaine de Péguilhan.
- Chapelle dite de Bétis d'Ambrosi.
- Autel votif en marbre blanc des Pyrénées conservé à Péguilhan à la chapelle de Bétis (propriété privée).
- Au début du XXe siècle il fut réutilisé et creusé en manière de bénitier pour la dite chapelle. La dédicace de ce dieu des « chars » (en patois local un char se dit car, transporter se dit « caréjar ») peut être assimilée au fameux "Saint-Christophe" tombé en désuétude.
- Au cimetière, chapelle funéraire de la famille de Villeneuve. Il s'agit en fait du chœur, inachevé, de la première église du village église. Bel autel en pierre de Péguilhan. Piliers latéraux et colonnes engagées donnent à penser que le projet était vaste et grandiose pour un petit village. La commune possédait une carrière de pierre qui servit à édifier de nombreuses constructions dans le village, comme aussi l'église de Boulogne-sur-Gesse ou la chapelle de Saint-Sabin à Escanecrabe.
Autres pièces remarquables : Pietà en bois peint, probablement du XVe siècle (IMH) (propriété privée), ainsi que le fragment d'autel votif dit "le bénitier de Bétis". Il s'agit de la partie haute d'un autel romain dont on a modifié et réutilisé en manière de bénitier, placé à l'entrée de la dite chapelle de Bétis (privée) au hameau d'Ambrosi. Ce petit bloc de marbre de Saint-Béat, porte la dédicace "Carpinto Deo". Les moines de l'abbaye de Nizors, près de Boulogne, possédaient dès le XIe siècle les fermes des Busquets à Péguilhan. BUSQUET-d'EN-HAUT et BUSQUET-d'EN-BAS.
- Moulin à eau sur la Gesse, origine XIVe. Il possédait une scierie, et du XIXe au milieu du XXe siècle il possédait une boulangerie. Le moulin à vent au nord-est du village fut détruit au début du XXe siècle.
- Au centre du village un ancien local possède un grand four à pain qui ferait suite au four banal du Moyen Âge.
- La carrière de la "Houme" exploitée par la famille Benac après 1880, connut une forte activité avec plus de 25 employés.
- Au quartier de la Camelle, la famille Escoubas, fit prospérer une tuilerie qui connut un essor d'une cinquantaine d'années, seulement, dans la première moitié du XIXe siècle.
- Lac de la Gimone.
Personnalités liées à la commune
- Aimeric de Peguilhan (XIIe siècle), célèbre troubadour,
- Famille Comminges Péguilhan,
- Saint Pastou, chanoine constructeur de la cathédrale de Saint-Bertrand-de-Comminges,
- Le chevalier César de Péguilhan, capitaine et gouverneur de Montfort-L'Amaury, vers 1650, époux d'Isabeau d'Astorg, vicomtesse de Larboust .
- Famille de Villeneuve Arifat,
- Antoine de Villemur et de Boubon,
- Felix de Bertrand-Pibrac. Chef d'escadron, fut maire de Péguilhan de 1919 à 1920. Il présida à l'édification et à l'inauguration du monument aux morts du village. Il fut propriétaire du château des Villeneuve.
- Abbé Magre, écrivit l'histoire de la Chatellenie de l'Isle-en-Dodon.
- Celestin Bénac, propriétaire de la carrière de la Houme. Entrepreneur et sculpteur de petits édicules à Péguilhan.
- Raoul Cammas. Né en 1905 à Montans dans le Tarn et prit sa retraite à Péguilhan. Il mourut en 1987. Amateur éclairé il consacra son temps libre à parcourir la campagne pour rassembler une imposante collectes d'objets, silex, ivoires, outils de la préhistoire. Il est l'inventeur de la « mandibule de Montmaurin », fossile pré-néandertalien mis au jour en 1949 et daté de 190 000 à 240 000 ans ; et a travaillé sur plusieurs des grottes de Montmaurin.
- Maison de Bourbon-Lavedan
Héraldique
Blason | D’argent à la croix cléchée et pommetée de douze pièces d’or, remplie de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Haute-Garonne
- Liste des communes nouvelles créées en 2017
- Dieux pyrénéens voir = Carpentus ou Carpinto. CAR = char, charette.
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Voir inscription derrière l'autel.
- Voir signatures sur la fresque.
- C'est un peu faux pour Pierre Saint-Paul, puisqu'il avait déjà travaillé avec Nicolas Greschny et par la suite avec Jean Lurçat. À noter, que durant cette période, il signait parfois "Patrice Sicre".
Références
- « Arrêté du 17 novembre 2016 portant réorganisation de postes comptables des services déconcentrés de la direction générale des finances publiques », sur legifrance.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Péguilhan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Péguilhan » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- Sandre, « la Gimone »
- Sandre, « la Gesse »
- Sandre, « le ruisseau de Larjo »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Péguilhan et Castelnau-Magnoac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Péguilhan et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Péguilhan sur le site de l'Insee
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