Parempuyre
Parempuyre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Parempuyre | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Bordeaux | ||||
Intercommunalité | Bordeaux Métropole | ||||
Maire Mandat |
Béatrice de François 2020-2026 |
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Code postal | 33290 | ||||
Code commune | 33312 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Parempuyriens | ||||
Population municipale |
9 136 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 419 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 57′ 00″ nord, 0° 36′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 15 m |
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Superficie | 21,8 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Bordeaux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Portes du Médoc | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-parempuyre.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine en Haut-Médoc. C'est la commune la plus au nord de Bordeaux Métropole, sur la rive gauche de la Garonne.
Communes limitrophes
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Hydrographie
La Garonne baigne la façade est de la commune.
Son territoire abrite de nombreux marais, et est en majeure partie composée de champs marécageux. Une grande partie d'entre eux est d'ailleurs en zone inondable en cas de crue centennale de la Garonne.
Parempuyre dispose d'un port qui n'a ni activité industrielle, ni touristique.
Transports en commun
La commune, membre de Bordeaux Métropole, bénéficie donc d'une desserte par le réseau de transports publics TBM. La halte ferroviaire de Parempuyre, desservie par les trains TER Nouvelle-Aquitaine circulant sur la ligne reliant Bordeaux à la Pointe de Grave, dite ligne « du Médoc », est un « plus » pour la ville, avec le nouveau cadencement des trains à 30 allers et retours par jour de semaine. La nouvelle halte a été inaugurée en 2013.
La durée moyenne d'un trajet, en transports en commun, effectué entre Parempuyre et Bordeaux est d'environ 45 minutes, avec la ligne 22 en direction de Frankton (Blanquefort) et le tramway C en direction de Bègles. Il est aussi possible de rallier Bordeaux via la ligne 76, en moins d'une demi-heure, desservant directement le quartier de Bacalan, avec un terminus à la station de tramway Bordeaux Brandenburg. Les trains mettent, quant à eux, environ quarante minutes pour rallier la gare de Bordeaux-Saint-Jean.
La commune est également desservie par la ligne d'autobus 77 à destination de Blanquefort, ainsi que par les lignes d'autocars 705 et 706 du réseau départemental des transports publics, TransGironde. En soirée, la ligne d'autobus Flexo 57 prend le relais des autres lignes TBM et assure une desserte dans les deux sens jusqu'à la station de tramway Bordeaux Les Aubiers. Il faut alors prendre le tramway pour rejoindre le centre-ville de Bordeaux.
Réseau TBM
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers les lignes de bus 22, 77 et 76. En soirée, la commune est desservie par le Flexo 57.
Réseau TransGironde
La ligne 705 relie la station de tram Place Ravezies-Le Bouscat à Pauillac, Saint-Estèphe et Cissac-Medoc.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Parempuyre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[17] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,3 %), prairies (23,8 %), zones urbanisées (18,3 %), eaux continentales[Note 7] (7,9 %), forêts (7,1 %), cultures permanentes (3,7 %), zones humides intérieures (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de Parempuyre vient du latin d’origine grecque emporium qui signifie place de commerce portuaire. Sur certaines gravures de la fin du XIXe siècle, on trouve aussi l'orthographe Parempuire.
Histoire
Antiquité
Le lieu dénommé actuellement Parempuyre était, à la période gallo-romaine, la place de marché la plus au nord de Burdigala (dans la zone de la presqu'île délimitée par l'océan Atlantique à l'ouest et l'estuaire de la Gironde à l'est, et constituait une station romaine[23]).
Moyen Âge
Dans les siècles qui suivent la fin de l'Empire romain, s'organise la paroisse de Parempuyre placée sous le vocable de Saint Pierre, « une des premières paroisses mises sous la juridiction de la Collégiale » Saint-Seurin de Bordeaux[24]. Le chapitre de Saint-Seurin possédait dès lors la dîme de la paroisse.
Le territoire de Parempuyre se trouvait, comme le majeure partie du sud du Médoc, dans la seigneurie de Blanquefort, sur lequel ses seigneurs y exerçaient leur juridiction. Les fiefs qui s'y trouvaient étaient dans la mouvance de cette importante châtellenie[25].
Époque moderne
Du XVIe siècle à la fin du XVIIe siècle, la seigneurie de Lamothe ou Lamothe Parempuyre, dont le nom finira par se confondre avec celui de la paroisse, appartint successivement aux familles de Caupène, Alesme et Pichon, par le mariage en 1671 de Benoite d'Alesme avec François de Pichon président à mortier au Parlement de Bordeaux[26], dont les membres se qualifieront de barons de Parempuyre. Les maisons nobles de Vallier et Labouret en palud appartinrent également aux mêmes familles[27].
L'habitat se concentre sur le plateau graveleux où se trouvent le bourg et les hameaux, et ce n'est que progressivement à partir du XVIe siècle que la palud sera mise en valeur à la suite de son assainissement. Les principales familles paysannes possessionnées sont alors les Hosten, Labatut, Moreau, Bigot, Seguin, Meynard, Dubourdieu[28]... Principale famille de notables, la famille Jeantet, fermiers seigneuriaux au milieu du XVIIe siècle puis largement installés en palud et en grave, s'en distinguera par ses activités marchandes, de judicature ou de syndics de la paroisse au XVIIIe siècle[29],[30].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Ses habitants sont appelés les Parempuyriens[33].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 9 136 habitants[Note 8], en augmentation de 15,32 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Manifestations culturelles et festivités
- La commune dispose d'un espace de concerts, festivals, spectacles « L'Art y show ».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre, construite dans les années 1860-1870 dans le style néo-gothique sous la houlette du cardinal Donnet[38]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[39].
- Château Pichon, dit aujourd'hui Clément-Pichon, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [40] ;
- Château Ségur, domaine viticole construit au XVIIe siècle[41] ;
- Le Vieux Logis, datant de 1670 et entouré d’un parc public de 2 hectares, dispose d’une grande salle consacrée aux conseils municipaux et aux mariages ainsi que d'autres locaux mis à la disposition des associations[42].
- L'église Saint-Pierre.
- L'église Saint-Pierre.
- Le château Clément Pichon.
- Place de marché.
- Le presbytère.
- Locaux municipaux.
Héraldique
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Les armes de Parempuyre se blasonnent ainsi : Tranché, au premier de sinople au cor de chasse d'or, au deuxième d'azur chargé d'ondes d'argent[43].
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Parempuyre sur Géoportail, consulté le 4 décembre 2015.
- Parempuyre sur Géoportail, consulté le 4 décembre 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Bordeaux-Mérignac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Parempuyre et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- CIROT de la VILLE, Origines chrétiennes de Bordeaux, Bordeaux, , p.176.
- ibidem, p.176.
- BEAUREIN, Variétés bordeloises.
- O'Gilvy, Nobiliaire de Guyenne et Gascogne, .
- ibidem.
- AD Gironde, 3E notaires et terriers
- AD Gironde: série 3E, Mairie de Parempuyre: registre paroissial
- Thierry BÉNESSE, Les contrats de mariage en haut-Médoc dans la première moitié du XVIIIe siècle, , pages 19, 20, 24, 25, 48 et 59.
- Yvan Bric (1919-1995), démissionne en 1994, pour raison de santé au profit de son fils Jean-François. Celui-ci perdra son poste de maire aux municipales de 1995, laissant la place à la droite.
- Romain Béteille, « Parempuyre la « rurbaine » cultive sa différence », (entretien avec Mme le Maire), sur aqui.fr, (consulté le ).
- Parempuyre sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Église Saint-Pierre sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
- « Eglise paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Notice MH du château Clément-Pichon », notice no PA33000025, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Château Ségur sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
- Vieux Logis sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
- Le blason de Parempuyre sur caruso33.net.
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