Payra-sur-l'Hers

Payra-sur-l'Hers est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Aude, en région Occitanie.

Payra-sur-l'Hers

Vue sur le clocher-mur de l'église

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Carcassonne
Intercommunalité Communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois
Maire
Mandat
Bernard Pech
2020-2026
Code postal 11410
Code commune 11275
Démographie
Gentilé Payranais
Population
municipale
205 hab. (2019 )
Densité 8,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 02″ nord, 1° 51′ 21″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 362 m
Superficie 24,52 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Castelnaudary
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Piège au Razès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Payra-sur-l'Hers
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Payra-sur-l'Hers
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Payra-sur-l'Hers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Payra-sur-l'Hers

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hers-Mort, la Ganguise, le Jammas, le ruisseau de brance, le ruisseau des Tuiles et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Payra-sur-l'Hers est une commune rurale qui compte 205 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 585 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Payranais ou Payranaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église de la Sainte-Vierge, classée en 1932 et inscrite en 1932, et le château, classé en 1984 et inscrit en 1984.

    Géographie

    Commune située dans le Lauragais sur l'Hers-Mort.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Hers Mort, la Ganguise, le Jammas, le ruisseau de brance, le ruisseau des Tuiles, le ruisseau de Boucenac, le ruisseau de la Jasse, le ruisseau de la Péguille, le ruisseau de Migou, le ruisseau de Nadiou, le ruisseau de Sourrète et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[4].

    La Ganguise, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-la-Comptal et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Beauteville, après avoir traversé 10 communes[5].

    Le Jammas, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Saint-Amans et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Salles-sur-l'Hers, après avoir traversé 7 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 850 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnaudary », sur la commune de Castelnaudary, mise en service en 1951[12] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 676,3 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 41 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[18].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »[20], d'une superficie de 31 216 ha, ayant une position de transition entre la Montagne Noire et les premiers contreforts pyrénéens. On y voit donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22] : les « collines et bois de Payra-sur-l'Hers » (3 061 ha), couvrant 6 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] : les « collines de la Piège » (27 918 ha), couvrant 40 communes dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Payra-sur-l'Hers est une commune rurale[Note 7],[25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,6 %), terres arables (27,7 %), forêts (19,2 %), prairies (7,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le toponyme « Payra », d’origine gallo-romaine, proviendrait du nom « Patrius » et du suffixe « -anum ».

    Histoire

    Le premier témoignage textuel de la localité intervient en 1119 sous la forme « Pairano ».

    En 1272, la communauté, déjà gérée par quatre consuls, dépendait de la baillie de Laurac. Elle fut ultérieurement rattachée à la bailie du Mas-Saintes-Puelles. La seigneurie appartenait en toute justice au roi (Henri IV) qui l’aliéna à Jacques de Marion, gouverneur de Castres, au milieu de XVIe siècle (La famille de Marion ayant rendu de grands services au Béarnais au cours des guerres de Religion, Henri IV fut le bienfaiteur de cette famille).

    Les seigneurs de Payra prirent une grande part aux guerres de Religion, qui n'épargnèrent pas la localité : le village, occupé par les protestants depuis 1568, fut en outre, traversé par l'armée de Coligny en 1570. En 1580, les troupes catholiques le détruisirent partiellement et, l'année suivante, revinrent l'incendier et investir le château. Sarah de Marion apporta Payra en mariage à Odet de Capriol-Mandoul, seigneur de Capriol, en 1592. La seigneurie demeura alors aux mains de cette vieille famille chevaleresque jusqu’en 1839. Trois autres co-seigneurs se partageaient ce domaine : l’hôpital de Villasavary, la confrérie de Laurac et le chapitre d’Alet. Enfin, la commune, qui prit en 1933 le nom de Payra-sur-l’Hers, culmina à 585 habitants en 1851. Aujourd’hui on ne décompte que 177 Payranais.

    Le Pech Donnadieu : En 1910, M. Fages, dans une communication à la Société d'études scientifiques de l'Aude (tome XXI), a signalé qu'il existait à 500 mètres du village, sur le pech Donnadieu, une motte carrée ancienne, sorte de camp retranché, surélevée de 2 mètres sur le terrain, ayant 16 mètres de côté et entourée d’un fossé de 13 mètres de largeur, à la partie supérieure. Ce fossé, de forme carrée, mesurerait 42 mètres de côté. Sa profondeur serait de 5 mètres côté motte, et de 3 mètres à l'extérieur. À 300 mètres, se trouverait un souterrain-refuge, orienté nord-sud, donnant accès à plusieurs salles creusées dans la molasse, à une profondeur d’un ou deux mètres. Un escalier donnerait accès à la première salle. L'ensemble est aujourd’hui obturé. Des objets préhistoriques y auraient été trouvés.

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1) d’azur au cerf saillant d’or, au 2) d’hermine plain.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Marcel Melet    
    mars 2008   Jean-Jacques Flourié    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2019, la commune comptait 205 habitants[Note 9], en augmentation de 9,04 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    404418521502538585575558585
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    574536528447477418364386391
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    410375349324313316347296282
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    241206192184158177157154187
    2017 2019 - - - - - - -
    205205-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Le portail classé de l'église de la Sainte-Vierge

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 86 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 200 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 520 [I 4] (19 240  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 6]8,7 %8,7 %7,1 %
    Département[I 7]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 125 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (69,8 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 32 emplois en 2018, contre 35 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 91, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 10].

    Sur ces 91 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    25 établissements[Note 12] sont implantés à Payra-sur-l'Hers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 52 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 25 entreprises implantées à Payra-sur-l'Hers), contre 8,8 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2620189
    SAU[Note 14] (ha)1 21312621203973

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[32],[Carte 4]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 973 ha[34],[Carte 6],[Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Payra-sur-l'Hers » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Payra-sur-l'Hers » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Payra-sur-l'Hers » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Payra-sur-l'Hers » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Payra-sur-l'Hers » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Payra-sur-l'Hers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « l'Hers Mort »
    5. Sandre, « la Ganguise »
    6. Sandre, « le Jammas »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Castelnaudary - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Payra-sur-l'Hers et Castelnaudary », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Castelnaudary - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Payra-sur-l'Hers et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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