Pont-sur-Sambre

Pont-sur-Sambre est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Pont (toponyme).

Pont-sur-Sambre

La tour du guet.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Michel Détrait
2020-2026
Code postal 59138
Code commune 59467
Démographie
Gentilé Pontois
Population
municipale
2 469 hab. (2019 )
Densité 218 hab./km2
Population
agglomération
110 876 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 50° 13′ 26″ nord, 3° 50′ 50″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 166 m
Superficie 11,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Maubeuge (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoye-Aymeries
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-sur-Sambre
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-sur-Sambre
Géolocalisation sur la carte : Nord
Pont-sur-Sambre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Pont-sur-Sambre

    Géographie

    Localisation

    L'écluse sur la Sambre.

    Situé au sud-est du département, à l'orée de la forêt de Mormal, Pont-sur-Sambre est un petit bourg de l'Avesnois. Il est situé à 30 km au sud-est de Valenciennes, 15 km au sud-ouest de Maubeuge et 15 km à l'ouest d'Avesnes-sur-Helpe.

    Liaisons routières :

    Trains au départ d'Aulnoye-Aymeries, à 3,5 km : directs vers Paris, Lille, Amsterdam.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le bourg est situé dans un méandre de la Sambre, un affluent de la Meuse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 825 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 64 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Pont-sur-Sambre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 22 communes[17] et 110 876 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,2 %), terres arables (22,8 %), zones urbanisées (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), forêts (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Locus-Quartensis, Ponte à la fin du XIe siècle. Pons au XIIe siècle et Pont-Quartes. Au XIXe siècle : Pont-Sur-Sambre[réf. nécessaire].

    Histoire

    • À l'origine, on pense qu'une piste gauloise qui joignait Houdain à Étrœungt franchissait la Sambre à cet endroit. Plus tard, les romains utilisèrent cette même piste pour leur voie allant de Bavay à Reims et le pont permettait à cet endroit de traverser la Sambre. Le quatrième milliaire qui y était borné donna son nom au hameau de Quartes. C'est ainsi que naquirent Pont et Quartes dont l'union donna Pont sur Sambre. Quartes, Hameau de Pont-sur-Sambre, est une station romaine qui figure sur l'Itinéraire d'Antonin IVe siècle, sous le nom de Locus Quartensis de la Notitia Dignitatum. Le temple païen fut alors remplacé par une église.
    • Le socle du 4e milliaire, qui donna son nom au hameau de Quartes, y fut retrouvé sur la voie romaine de Bavay à Reims par Dom Bévy en 1777 ; plus récemment deux fragments de statues représentant Hercule et Minerve furent découverts et figurent au Musée de la Société d'Archéologie d'Avesnes.
    • L'église bâtie sur l'emplacement d'un temple païen remonte au XVIIe siècle. Au centre du village existe un beffroi qui remonte au XVIIe siècle et qu'on appelle Tour du Guet.
    • En 1246, Pont-sur-Sambre appartenait aux Seigneurs d'Avesnes et comte de Beaumont. Par la suite, le village changea de maîtres : le comte de Luxembourg, René d'Anjou, Nicolas de Rolin, Claude-Henri de Rocca et Pierre Bady seigneur d'Aymeries, en furent successivement les principaux propriétaires.
    • À la fin de la Première Guerre mondiale, en novembre 1918, la commune fut libérée par la 62e division de l'armée britannique juste avant l'entrée en vigueur de l'Armistice.
    Ancienne centrale EDF en cours de démolition[Quand ?].

    Une centrale solaire photovoltaïque dotée de vingt-deux-mille panneaux solaires est mise en service en décembre 2020[24],[25].

    Politique et administration

    La mairie et la salle de fêtes

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la douzième circonscription du Nord.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Berlaimont[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton d'Aulnoye-Aymeries.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, créée fin 1995 et qui succédait au syndicat Intercommunal de la Sambre institué au début des années 1960.

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : N. Noulin[27].

    Liste des maires successifs[28],[réf. nécessaire]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1892 Adrien Cathelotte    
    1892 1904 Henri Lucq    
    1904 1905 Adrien Cathelotte   Mandat écourté à la suite du décès du maire le 10 juillet 1905
    1905 1912 Adolphe Bruyère    
    1912 1919 Gustave Wuiot    
    1919   Omer Fostier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1973 mars 1977 Jacques Fétis    
    mars 1977 juin 1995 Roger Laguilliez    
    juin 1995 mars 2001 Bernard Huriau    
    mars 2001 mars 2008 Francis Burillon SE  
    mars 2008 mars 2012 Alain Bortolus SE Mandat écourté par la division du conseil municipal[29]
    avril 2012 En cours
    (au 28 février 2018)
    Michel Détrait SE Réélu pour le mandat 2014-2020[30]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2019, la commune comptait 2 469 habitants[Note 8], en diminution de 2,26 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9117798459311 1591 2121 2591 3201 310
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3261 4351 5021 5181 5031 4431 5191 6321 811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8871 9121 8851 8721 9891 9981 9702 1442 026
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 7002 7162 7492 5952 4432 5642 5992 6222 586
    2015 2019 - - - - - - -
    2 5392 469-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 192 hommes pour 1 313 femmes, soit un taux de 52,42 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,4 
    5,2 
    75-89 ans
    9,1 
    17,5 
    60-74 ans
    16,9 
    19,0 
    45-59 ans
    20,1 
    18,7 
    30-44 ans
    18,6 
    19,8 
    15-29 ans
    17,8 
    19,3 
    0-14 ans
    17,2 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Sports

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    • ImproDanse by Alicia ROTA BULO (successeur de l'École du Ballet d'Art Classique et Jazz, dont la Compagnie a fini Championne Européenne en 1998 à Rome).
    • École de Danse "rythme et révérence".
    • Association Endurance pontoise (athlétisme).
    • Association Les sambriennes (gymnastique).

    Économie

    Ancienne brasserie, maison natale du peintre Félix Del Marle.

    Depuis la fermeture de l'ancienne centrale électrique EDF en 1996, le village s'est tourné vers le tourisme, avec, par exemple, l'ouverture d'une auberge de campagne sur le site de l'ancienne brasserie, lieu de naissance du peintre Félix Del Marle (1889-1952), qui est complétée par des chambres d'hôtes, un gîte équestre, deux restaurants gastronomiques et un centre de bien-être.

    Siemens a construit en 2007-2009 à proximité de l'ancien site EDF une centrale au gaz à cycle combiné de 412 MW, exploitée par Poweo Pont sur Sambre. Poweo Pont sur Sambre est une filiale à 100 % de PoweoProduction, qui est elle-même détenue à 60 % par Poweo SA et 40 % par Verbund, l'opérateur national autrichien pour l'électricité[réf. nécessaire]. C'est la première centrale de ce type installée en France[réf. nécessaire]. Après un passage dans le giron du groupe KKR, la centrale est finalement rachetée par le groupe Total en septembre 2018[36].

    La société des ateliers mécaniques de Pont-sur-Sambre, qui est en 2009 la seule entreprise produisant des bombes pour avions du complexe militaro-industriel français, à son usine sur le territoire de la commune et emploie une vingtaine de personnes[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La Tour du Guet
    Symbole de Pont-sur-Sambre, ce bâtiment de 4 mètres de côté et de 18 mètres de haut reste une énigme pour les pontois. Construite probablement au XVIIe siècle, on pense qu'elle servait au guet. Classée monument historique, elle abrite une cloche datée de 1660 qui provient du collège des oratoriens de Thuin en Belgique.
    • L'église
    L'église, dont l'existence est mentionnée depuis 1125 dans une charte du chapitre de l'église Saint-Géry de Cambrai, est dédiée à Notre-Dame de Quartes et un pèlerinage a lieu tous les lundis de Pentecôte (guérison de la fièvre de quarte). On distingue trois parties dans l'architecture : Le clocher qui date de 1783, la nef du XVe et le chœur vers 1600.
    • Le cimetière militaire britannique situé dans le cimetière communal
    • Le mémorial du 2 septembre 1944
    • Chapelles
    • Ancienne brasserie, lieu de naissance du peintre Félix Del Marle (1889-1952)
    • Le musée de la maison de pays,inauguré en 1989.

    Personnalités liées à la commune

    • Félix Del Marle (1889-1952), peintre (art moderne), habita la commune.
    • Robert Louis Stevenson, cite son passage à Pont et Quartes dans son ouvrage « An Inland Voyage » (London - Chatto & Windus 1919), d'où le nom donné à l'école primaire de la commune.

    Héraldique

    Les armes de Pont-sur-Sambre se blasonnent ainsi : D'azur au lion d'or tenant en ses pattes une clef d'argent, le panneton en haut et à dextre.


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pont-sur-Sambre et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pont-sur-Sambre et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Maubeuge (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Fabien Lapostolle, « Pont-sur-Sambre : la ferme solaire est en marche », L'Observateur de l'Avesnois, (lire en ligne).
    25. Rafaela Biry-Vicente, « L'ancienne friche de la centrale à charbon de Pont sur Sambre reconvertie en ferme solaire », France Bleu, (lire en ligne).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
    28. « Les maires de Pont-sur-Sambre », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. Florence Delsinne, « Pont-sur-Sambre : le maire agite le spectre de la mise sous tutelle : Conseil très particulier, jeudi soir, à Pont-sur-Sambre qui s'est tenu dans la salle polyvalente devant de nombreux administrés. Il s'agissait d'exposer le rapport de la Chambre régionale des comptes. Échanges acerbes et règlements de comptes entre deux clans avec, en point de mire, de nouvelles élections municipales », La Voix du Nord - Maubeuge ma ville, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Pont-sur-Sambre: Michel Détrait a été réélu maire de la commune : Issus du scrutin du dimanche 21 mars, les vingt-trois élus, soit vingt pour la liste emmenée par Michel Detrait, maire sortant (69,77 %) et trois de la liste de Michel Dupont (30,22 %), se sont retrouvés pour le premier conseil de la mandature, vendredi soir à la salle polyvalente », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Michel Détrait, maire sortant, élu en avril 2012 à la suite de la division du précédent conseil, a été réélu très confortablement avec 20 voix sur 23. ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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