Talmont-Saint-Hilaire

Talmont-Saint-Hilaire est une commune du Centre-Ouest de la France, située sur la côte de Lumière, dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Talmont et Saint-Hilaire.

Talmont-Saint-Hilaire

Le château de Talmont.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Vendée-Grand-Littoral
(siège)
Maire
Mandat
Maxence de Rugy
2020-2026
Code postal 85440
Code commune 85288
Démographie
Gentilé Talmondais
Population
municipale
7 831 hab. (2019 )
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 28′ 05″ nord, 1° 37′ 01″ ouest
Altitude 29 m
Min. 0 m
Max. 57 m
Superficie 90,48 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Talmont-Saint-Hilaire
(ville isolée)
Aire d'attraction Les Sables-d'Olonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Talmont-Saint-Hilaire
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Talmont-Saint-Hilaire
Géolocalisation sur la carte : France
Talmont-Saint-Hilaire
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Talmont-Saint-Hilaire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Talmont-Saint-Hilaire
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Le territoire municipal de Talmont-Saint-Hilaire s’étend sur 9 048 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 29 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 57 mètres[1],[2].

    Le château de Talmont, siège de la principauté de Talmont, était situé à l'extrémité occidentale de l'ancienne région du Bas-Poitou. Construit sur une hauteur, son caractère défensif se voyait renforcé par le fait que l'océan Atlantique baignait ses douves deux fois par jour.

    Le site du Veillon et ses traces de dinosauriens

    En 1963, M. Gilbert Bessonnat, passionné de sciences, découvrit des ichnites, traces fossiles, en effectuant un relevé géologique de la falaise. Il fut le premier à les identifier comme étant des traces de dinosauriens. Le site fut alors précisément étudié par F. Lapparent, C. Montenat et M. Ters[3].

    Lors de la découverte, le gisement fut pillé. Aujourd'hui, il est protégé et seule l'observation et les photographies sont permises.

    Les empreintes de dinosauriens ne sont visibles qu'à certaines périodes de l'année, surtout en hiver lorsque les courants marins entraînent le sable au large. Pendant la période estivale, l'observation paléontologique reste plus délicate car le sable et les algues envahissent les lieux[4].

    Un paléoestuaire

    Le paléoestuaire du Veillon est aujourd'hui essentiellement connu par les traces tridactyles de dinosauriens bipèdes qu'il recèle. Les empreintes, par milliers, se succèdent sur trois couches géologiques dont l'épaisseur totale ne dépasse guère une dizaine de mètres.

    À la base, la première strate présente des indices de sols de plaines alluviales tropicales, et l'on pense qu'il s'agissait d’une zone plane avec des apports liés à la crue du fleuve. Le second niveau témoigne d'un environnement de type lagune soumis à l'influence du fleuve. La troisième couche est constituée par un calcaire dolomitique argileux jaune plus ou moins coquillier connu sous le nom de « calcaire Nankin ». C'est ce dernier étage qui présente des traces de dinosauriens, inscrits sur une plage de fond de baie largement ouverte sur l’océan.

    Il y a 204 millions d’années, à la fin du Trias et au début du Lias inférieur, la flore était essentiellement constituée d’une végétation de l’ordre des coniférales, révélant une certaine aridité du milieu, sans doute liée à la salinité.

    L’étude des traces d'animaux (photographies, relevés…) permet de distinguer différents dinosauriens bipèdes dont : Eubrontes veillonensis, les Grallators olonensis et les Talmontopus Tersi. Le plus grand Eubrontes veillonensis atteignait environ m de hauteur et avait une enjambée d'environ 1,20 m.

    Urbanisme

    Typologie

    Talmont-Saint-Hilaire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Talmont-Saint-Hilaire, une unité urbaine monocommunale[8] de 7 657 habitants en 2017, constituant une ville isolée[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Sables-d'Olonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,3 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), prairies (8,7 %), zones urbanisées (8,2 %), zones humides côtières (5,4 %), forêts (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), eaux maritimes (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Histoire

    • Au XIe siècle, la terre de Talmont fut donnée par Guillaume le Grand, duc d'Aquitaine de 995 à 1030, à Guillaume le Chauve, l'un de ses plus fidèles sujets, qui y construisit un donjon, lequel fut agrandi dans la deuxième moitié du XIe siècle. Un quartier médiéval, doté d'une abbaye, d'une motte castrale et d'habitations se développe peu à peu à l'ombre de la forteresse[18]. Le port médiéval retrouvé lors de fouilles en 2021 date également de cette époque ; il est resté en usage jusqu’au XVIIe siècle[19].
    • Au XIIe siècle, le mariage, en 1137, d'Aliénor d'Aquitaine, duchesse d'Aquitaine, à Louis VII, roi de France, fait passer Talmont sous l'autorité de ce dernier, lequel fait incendier le château en 1138 pour punir la trahison de Guillaume de Lezay, qui en avait la garde. L'annulation de ce mariage (1152), et le remariage d'Aliénor avec le futur roi Henri II d'Angleterre (1154) font des terres d'Aquitaine un sujet de dispute avec la couronne de France. La forteresse est renforcée par Raoul III de Mauléon, alors seigneur de Talmont, vassal de Richard Cœur de Lion, duc d'Aquitaine de 1169 à 1196, qui craint les attaques de la France[18].
    • La seigneurie appartint par la suite aux Mauléon, dont Savary Ier de Mauléon, aux Thouars et à la famille d'Amboise
    • Au XVe siècle, Louis XI en fit donation à son historiographe Philippe de Commynes.
    • Le château fut assiégé au XVIe siècle par Henri de Navarre et son donjon fut démantelé au XVIIe siècle par Richelieu pour que les Anglais et leurs alliés ne puissent pas s'implanter durablement en Poitou.
    • La dernière famille ayant le titre de Prince de Talmont, est la famille Trémoille. L'un des plus célèbres princes est Antoine-Philippe de La Trémoille, qui monta sur l'échafaud en 1794.
    • La ville garde le souvenir de Béatrix de Machecoul, dont la légende fit une ogresse[réf. nécessaire][20],[21].
    • Après une première tentative entre 1834 et 1849, la commune de Talmont a fusionné en 1974 avec Saint-Hilaire-de-Talmont peuplée de 2 314 habitants au recensement de 1968[22], formant ainsi la commune de Talmont-Saint-Hilaire, peuplée de plus de 3 300 habitants ; ladite commune de Saint-Hilaire-de-Talmont avait porté, durant la Révolution, le nom de Le Tanès[22].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent aux trois tours crénelées de gueules, couvertes et girouettées du même, ouvertes, ajourées et maçonnées du champ.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Talmont-Saint-Hilaire[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1795 1796 M. Landais    
    Première défusion (1796-1834)
     ? 1847 François Gillaizeau    
    1847 1848 Alexis Duroussy   Conseiller d'arrondissement du canton de Talmont (1833-)
    1848 1849 Martial Bironneau    
    Seconde défusion (1849-1973)
    1974 mars 2001 Jean Thibaud de La Rochethulon UDF-PR
    puis DVD
    Agriculteur
    Conseiller général du canton de Talmont-Saint-Hilaire (1967 → 2004)
    Maire de Saint-Hilaire-de-Talmont (1965 → 1974)
    mars 2001[24] mars 2014 Pierre Berthomé DVD-UMP Cadre de banque
    Réélu en 2008[25]
    mars 2014[26] en cours Maxence de Rugy LR Chargé de mission au conseil général de la Vendée
    Conseiller régional des Pays de la Loire (2015-2021)
    Président de Vendée-Grand-Littoral (depuis 2017)
    Conseiller départemental du canton de Talmont-Saint-Hilaire (depuis 2021)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Pour les périodes 1796-1834 et 1849-1973, voir Talmont et Saint-Hilaire-de-Talmont.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2019, la commune comptait 7 831 habitants[Note 4], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5503964645726003 0873 1233 363724
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6949801 0431 0401 0271 0431 0471 1591 155
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2091 3331 2331 1161 1661 1071 1011 0141 014
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0461 1103 3473 8654 4095 3636 5336 6937 259
    2017 2019 - - - - - - -
    7 6577 831-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,8 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 797 hommes pour 3 951 femmes, soit un taux de 50,99 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    2,2 
    10,5 
    75-89 ans
    11,5 
    27,0 
    60-74 ans
    25,9 
    19,8 
    45-59 ans
    21,2 
    14,5 
    30-44 ans
    14,5 
    12,3 
    15-29 ans
    11,1 
    15,3 
    0-14 ans
    13,6 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,1 
    8,4 
    75-89 ans
    11 
    19,5 
    60-74 ans
    20,4 
    20 
    45-59 ans
    19,4 
    18 
    30-44 ans
    17,1 
    14,9 
    15-29 ans
    13,2 
    18,5 
    0-14 ans
    16,8 

    Économie & Industrie

    Lieux et monuments

    • Château de Talmont[33] du XIe, XIe, XVe et XVIe siècle.
    • Château des Granges-Cathus[34] du XVIe siècle. Il s'agit de l'un des rares châteaux de la renaissance en Vendée, achevé vers 1525. Transformé en 1878, il conserve néanmoins de belles sculptures italianisantes en façade et un superbe escalier à vis aux voûtes sculptées.[35]
    • Château de la Garcillière.
    • Château de Bourgenay.
    • Église Saint-Hilaire.
    • Église Saint-Pierre, de style XIIIe siècle.
    • Chapelle Saint-Pierre du Xe siècle.
    • Chapelle de Bourgenay.
    • Manoir du Veillon.
    • Halles du XIXe siècle.
    • Ostréiculture à la Guittière [36].
    • Marais salants de la Guittière.


    Musées

    Tourisme

    La capitainerie et la marina de Port-Bourgenay.

    La commune de Talmont-Saint-Hilaire dispose d'un bureau de tourisme ouvert à l'année, situé 6, rue de l’Hôtel-de-Ville, et d'un bureau de tourisme ouvert en saison situé à La Croisée à Bourgenay. Ces bureaux de tourisme dépendent de l'office de tourisme de la destination Vendée-Grand Littoral.

    En 1996, Talmont-Saint-Hilaire a été la première commune européenne à accueillir un village aéronautique sur son territoire, le Vendée Air Park situé au nord-est du bourg à la limite de la commune de Poiroux[réf. nécessaire].

    Port-Bourgenay est un port de plaisance artificiel d'une capacité de six cents anneaux, dépendant de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Événements

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Commune 14980 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Talmont-Saint-Hilaire », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. Christian Montenat & Gilbert Bessonnat, « L'ichnofaune reptilienne hettangienne du Veillon (Vendée, France) », Le Naturaliste vendéen, no 3, , p. 41-45.
    4. (fr) « Le site à dinosauriens du Veillon en Vendée - 30/09/2003 », sur Futura Sciences (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Talmont-Saint-Hilaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Les Sables-d'Olonne », sur insee.fr (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    14. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. http://www.talmont-saint-hilaire.fr/module-Contenus-viewpub-tid-2-pid-169.html, sur Site officiel de la commune de Talmont-Saint-Hilaire. Consulté le 23/08/2014.
    19. La rare découverte d’un port du Moyen-Âge en Vendée enthousiasme les archéologues, ouest-France.fr, 22 octobre 2021;
    20. Dame Béatrix, l'ogresse de Talmont, ouest-France.fr, 19/08/2018;
    21. Née en 1190 et morte en 1235. A épousé, Guillaume de Mauléon, oncle de Savary, puis vers 1214, Aimeri, qui devint plus tard vicomte de Thouars, sous le nom d'Aimeri VIII. Elle est inhumée à l'abbaye des Fontenelles.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Hilaire-de-Talmont », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    23. Les différents maires de 1790 à nos jours des communes de Saint-Hilaire-de-Talmont, de Talmont et de Talmont-Saint-Hilaire (consulté le 21 janvier 2019)
    24. « Talmont : Pierre Berthomé élu », Ouest-France, (lire en ligne).
    25. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
    26. « Talmont. Maxence de Rugy, le jeune qui monte », Ouest-France, (lire en ligne).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Talmont-Saint-Hilaire (85288) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    33. Michel Dillange - Talmond Château - p. 253-258, dans Congrès archéologique de France. 151e session. Vendée. 1993 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1996
    34. Jean Guillaume - Talmont-Saint-Hilaire. Les Granges-Cathus - p. 259-268, dans Congrès archéologique de France. 151e session. Vendée. 1993 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1996
    35. Jean Guillaume, « Talmont-Saint-Hilaire. Les Granges-Cathus », Congrès archéologique de France, vol. 1993, no 151, , p. 259-268 (lire en ligne).
    36. Le village d'ostréiculteurs de la Guittière

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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