Prinçay

Prinçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Cet article possède un paronyme, voir Princet.

Prinçay

Village et campagne environnante à Prinçay.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Frédéric Mignon
2020-2026
Code postal 86420
Code commune 86201
Démographie
Population
municipale
212 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 03″ nord, 0° 14′ 43″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 146 m
Superficie 16,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Prinçay
Géolocalisation sur la carte : France
Prinçay
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Prinçay
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Prinçay

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 664 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doussay », sur la commune de Doussay, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 592,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Prinçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,6 %), forêts (14,8 %), prairies (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Priascus avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis -ay et signifiant domaine de [20].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Frédéric Mignon    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2019, la commune comptait 212 habitants[Note 8], en diminution de 5,78 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    509484529478433459479459502
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    479454421440416455484471441
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    449465470450432453390391414
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    423353301254218195232237228
    2017 2019 - - - - - - -
    217212-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008,selon l'Insee, la densité de population de la commune était de 14 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[26], il n'y a plus que 17 exploitations agricoles en 2010 contre 29 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont légèrement augmenté et sont passées de 1 092 hectares en 2000 à 1 112 hectares en 2010[26]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[27].

    60 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (tournesol essentiellement) et 8 % pour le fourrage. En 2000, neuf hectares (deux en 2010) étaient consacrés à la vigne[26].

    L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie[26].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le château de la Roche-du-Maine est un manoir Renaissance construit de 1520 à 1525. C'est une ancienne maison forte ; un « tornavent », sorte de sas en bois, a été daté de 1540 par le laboratoire Archéolabs[28]. Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [29].
    • Le logis de la Haute-Porte : C'est une ancienne maison forte du XIVe siècle qui est devenue un manoir au XVIIe siècle. Son colombier rond est du XVIe siècle et possède 1 100 boulins (pigeonnier). Il est possible de voir un four à pain et une buanderie qui abrite une ponne, c'est-à-dire une énorme marmite en pierre utilisée pour faire la lessive. Un petit souterrain permettait aux habitants du site de se réfugier lors des conflits. Le pigeonnier et le logis sont inscrits comme Monument Historique depuis 1989.
    • Le château de Richemont
    • Le sous-sol en calcaire a longtemps constitué une importante source de revenus pour la population villageoise. Le tuffeau a été utilisé comme pierre de construction. Il a fait, par la suite, l’objet d’une exploitation intensive à partir du XIe siècle jusqu’au début du XXe siècle. Si l’’exploitation à l’époque romaine se faisait principalement à ciel ouvert, à partir du Moyen Âge, les carriers ou « pierreyeux » ont préféré creuser pour s’enfoncer dans la veine comme c’est ici le cas. Le tuffeau gardait ainsi une humidité qui en facilitait la taille. En effet, le tuffeau, à l’air libre, en s’asséchant, se durcit. Les galeries de Pinçay s’étendent sur 120 m et datent du XIIe siècle. Un morceau de bois trouvé sur place a été daté, grâce au carbone 14, entre 950 et 1050. Il attesterait, donc, d'une existence encore plus ancienne. Les souterrains servaient aux villageois de refuge, pour se protéger des bandes de pillards qui remontaient la Vienne. Le souterrain est réparti sur deux étages. Il se compose de quatre salles dont certaines sont très vastes que relient des couloirs et un escalier en colimaçon. Une d'entre elles pourrait être une crypte de l'église. Il est fort probable que ces souterrains aient été utilisés jusqu'à la Révolution française. Au cours du XIXe siècle, une partie était encore fréquentée notamment pour filer le chanvre soit au frais l'été soit lors des hivers rigoureux car la température y est constante. Le travail des carriers était particulièrement difficile. Il demandait une grande force physique. À l’aide d’un pic à long manche, le carrier creusait dans le front de taille une saignée d’environ 60 cm pour isoler le bloc à extraire. Il insérait ensuite dans ce sillon des coins en bois dur et sec avec un maillet. Ce coin était mouillé afin de gonfler et, ainsi, par pression, provoquer une rupture à l’arrière du bloc. Le bloc était, ensuite, débité en pierres de construction qui étaient chargées sur une charrette pour être stockées à l’air libre et séchées. Les carriers à temps plein étaient rares. C’étaient essentiellement des paysans qui travaillaient à la carrière l’hiver pour s’assurer un complément de revenu. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, cette activité disparut à la suite de l’importance de la mortalité masculine pendant la guerre, d’une désertification des campagnes et du fait, aussi, de la concurrence du ciment qui résiste au gel contrairement au tuffeau.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais ou Sainte-Madeleine de Prinçay est inscrite comme Monument Historique depuis 1952[30]. Elle est bâtie en tuffeau. L'édifice, roman, a été remanié de nombreuses fois au cours des siècles. Le chœur est doté de voûtes gothiques au XIIIe siècle. Une chapelle seigneuriale est rajoutée en 1497. Aux XVIIe/XVIIIe siècle, une porte de style classique, ornée de pilastres ioniques, est percée dans le mur occidental de la nef. La façade a été reconstruite vers 1850. Une partie du dallage est installée en 1899. Le porche d'entrée date du XXe siècle. La charpente et la couverture sont restaurées en 1923. Les chapiteaux d'entrelacs et de feuillages sont romans. Le clocher, monté sur une coupole sur pendentifs, date du XIIe siècle. Il se dresse latéralement, au sud, disposition commune dans le Loudunais. Il conserve sur la façade est, son décor d'arcatures aveugles. Dans la partie supérieure, il est ajouré de baies en plein cintre. La cloche a été fondue en 1855, présentée à l'exposition universelle de 1855, avant d'être installé dans le clocher en 1856. Le mur sud du chœur est orné d'une fresque, abîmée, qui toutefois laisse deviner une Vierge à l'Enfant devant laquelle se prosternent des hommes. Il pourrait s'agir de chevaliers car une frise de blasons entoure la scène. La fresque date de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle. la chapelle seigneuriale porte sur sa clef de voûte, les armes de la famille Tiercelin, rendue célèbre par Charles, compagnon d'armes des rois de France Louis XII et de François Ier. C'est dans cette chapelle que se niche le chauffoir qui accueille une cheminée. Elle était destinée à réchauffer les seigneurs pendant l'office religieux. Elle constitue l'un des rares exemples de cheminée construite dans une chapelle d'église.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Doussay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Prinçay et Doussay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Doussay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Prinçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loudun », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    21. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    27. Agreste – Enquête Structure 2007
    28. Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1, LCCN 2007475228), p. 13.
    29. « Château de la Roche-du-Maine », notice no PA00105661, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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